Arrivé hier dans notre pays, le médiateur de la Cedeao est venu s’enquérir des avancées du processus de transition. Son programme prévoit des rencontres avec les autorités de la Transition, la classe politique, la société civile, la médiation internationale de l’Accord pour la paix et la réconciliation
Le médiateur de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), Goodluck Jonathan, est en visite au Mali pour 72 heures afin de s’enquérir de l’évolution du processus de transition. L’ancien président du Nigeria a été accueilli, hier, à l’aéroport international président Modibo Keita-Sénou par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop. Les deux personnalités se sont ensuite entretenues au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale.
L’émissaire de la Cedeao est attendu aujourd’hui au siège de l’Autorité indépendante de gestion des élections (Aige). Il rencontrera ensuite la médiation internationale de l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger et les représentants du corps diplomatique accrédité au Mali. Le programme de la journée se poursuivra avec une séance de travail avec le Comité interministériel pour le suivi du chronogramme politique et électoral au ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation.
Goodluck Jonathan rencontrera après la classe politique et la société civile au Centre de formation des collectivités territoriales. Mercredi, l’hôte de marque se rendra à la Cour constitutionnelle et au Conseil national de Transition (CNT). En fin de séjour, Goodluck Jonathan sera reçu en audience par le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta.
Ces différentes rencontres sont des phases d’écoute servant pour l’émissaire à mieux cerner les préoccupations des Maliens. Après la levée le 3 juillet 2022 de la double sanction imposée par la Cedeao et l’Uemoa, cette visite au Mali de Goodluck Jonathan fait suite à plusieurs autres effectuées courant l’année dernière. Le médiateur est présent dans notre pays pour constater de visu les avancées enregistrées dans le processus de transition.
Ce déplacement du médiateur de la Cedeao pour le Mali intervient dans un contexte où notre pays enregistre des avancées notables : l’adoption du calendrier détaillé de la Transition pour une durée de 24 mois ; l’adoption et la promulgation de la loi électorale en juin 2022 ; la création et l’opérationnalisation de l’Aige.
S’y ajoutent l’augmentation des membres du CNT, l’élaboration de l’avant-projet de la Constitution, la création auprès du ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, d’une commission de suivi du chronogramme des réformes politiques et institutionnelles. Mais aussi, la mise en place d’un cadre de concertation entre les pouvoirs publics, les partis politiques et la société civile.
Quant au processus de paix et la lutte contre le terrorisme, l’accent a été mis, entre autres, sur l’amélioration de la sécurité et l’adoption d’une posture offensive contre les groupes armés terroristes. Toutes choses qui sont consécutives au renforcement des capacités opérationnelles des Forces de défense et de sécurité.
L’émissaire de la Cedeao a entamé ses missions de bons offices au Mali au mois de juillet 2020 au moment de la contestation populaire contre le régime du président Ibrahim Boubacar Keïta. Depuis, il a effectué plusieurs déplacements à Bamako pour suivre l’évolution de la Transition.
Le médiateur de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), Goodluck Jonathan, est en visite au Mali pour 72 heures afin de s’enquérir de l’évolution du processus de transition. L’ancien président du Nigeria a été accueilli, hier, à l’aéroport international président Modibo Keita-Sénou par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop. Les deux personnalités se sont ensuite entretenues au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale.
L’émissaire de la Cedeao est attendu aujourd’hui au siège de l’Autorité indépendante de gestion des élections (Aige). Il rencontrera ensuite la médiation internationale de l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger et les représentants du corps diplomatique accrédité au Mali. Le programme de la journée se poursuivra avec une séance de travail avec le Comité interministériel pour le suivi du chronogramme politique et électoral au ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation.
Goodluck Jonathan rencontrera après la classe politique et la société civile au Centre de formation des collectivités territoriales. Mercredi, l’hôte de marque se rendra à la Cour constitutionnelle et au Conseil national de Transition (CNT). En fin de séjour, Goodluck Jonathan sera reçu en audience par le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta.
Ces différentes rencontres sont des phases d’écoute servant pour l’émissaire à mieux cerner les préoccupations des Maliens. Après la levée le 3 juillet 2022 de la double sanction imposée par la Cedeao et l’Uemoa, cette visite au Mali de Goodluck Jonathan fait suite à plusieurs autres effectuées courant l’année dernière. Le médiateur est présent dans notre pays pour constater de visu les avancées enregistrées dans le processus de transition.
Ce déplacement du médiateur de la Cedeao pour le Mali intervient dans un contexte où notre pays enregistre des avancées notables : l’adoption du calendrier détaillé de la Transition pour une durée de 24 mois ; l’adoption et la promulgation de la loi électorale en juin 2022 ; la création et l’opérationnalisation de l’Aige.
S’y ajoutent l’augmentation des membres du CNT, l’élaboration de l’avant-projet de la Constitution, la création auprès du ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, d’une commission de suivi du chronogramme des réformes politiques et institutionnelles. Mais aussi, la mise en place d’un cadre de concertation entre les pouvoirs publics, les partis politiques et la société civile.
Quant au processus de paix et la lutte contre le terrorisme, l’accent a été mis, entre autres, sur l’amélioration de la sécurité et l’adoption d’une posture offensive contre les groupes armés terroristes. Toutes choses qui sont consécutives au renforcement des capacités opérationnelles des Forces de défense et de sécurité.
L’émissaire de la Cedeao a entamé ses missions de bons offices au Mali au mois de juillet 2020 au moment de la contestation populaire contre le régime du président Ibrahim Boubacar Keïta. Depuis, il a effectué plusieurs déplacements à Bamako pour suivre l’évolution de la Transition.
Rédaction Lessor
Qu’on nous foute la paix! Tant que la sécurité n’est pas assurée il n’est pas question de parler des élections. Quant aux politiciens véreux qui veulent coûtent que coûtent que les choses soient à leur volonté machevelique qu’il se detrompent
Ces imbeciles Emballo, Ouattara, Bazoum, Nana et Sall tous des sous-préfets de la maudite France a Bissau, Niamey, Dakar, Accra, et Abidjan ne comprennent qu’un seul mot: degage! Que vive la Federation Burkina-Guinee-Mali pour une Afrique souveraine, prospere et libre.
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