Présidée par le ministre de l’Economie Numérique, de l’Information et de la Communication, la Cérémonie d’ouverture a regroupé plusieurs membres du gouvernement.
Cette rencontre est jugée capitale par le gouvernement dans le contexte actuel marqué par la crise politico- sécuritaire que traverse le pays depuis 2012. Elle s’adresse aux chargés de mission des départements ministériels et des institutions de la République, aux acteurs d’ agences de communication, aux communicateurs traditionnels, aux responsables des associations professionnelles de la presse, aux journalistes des medias publics et privés.
Les principaux résultats attendus de cet atelier, a indiqué le ministre de tutelle, est l’élaboration d’une stratégie de communication qui permettra de mobiliser et d’orienter les actions et les énergies des différents partenaires. Mais aussi et surtout l’élaboration d’un ensemble de plans de communication axés sur le rétablissement de la paix et de la sécurité, la réconciliation nationale, la relance économique, la justice, la gouvernance, les élections communales et régionales.
Pour le ministre, le déficit de communication fait partie des facteurs qui masquent les efforts et les résultats obtenus par les décideurs ou des acteurs du développement sur nombre de chantiers.
Pour jouer tout son rôle dans le processus de développement du pays, la stratégie de communication gouvernementale doit être précise et concise. Elle doit évaluer les risques et s’adapter aux risques. Et c’est sur ce modèle de communication que le ministre de tutelle a invité les participants à bâtir la stratégie de la communication gouvernementale du Mali.
«L’état des lieux de la communication gouvernementale ; communication gouvernementale ; enjeux et défis ; la communication gouvernementale en temps de crise» sont, entre autres, des communications faites, au cours de cet atelier, par des experts en communication parmi lesquels, des anciens ministres de la communication.
Et Dr Choguel Kokala Maïga de rassurer que les résultats issus de cette rencontre seront traités, traduits en décision et mis en œuvre dans les meilleurs délais. Afin de dissiper, dit-il, la récurrente critique selon laquelle «le gouvernement communique mal »
Abou Berthé
C’EST MIEUX QUE DU TEMPS DE MR BABY.
DANS L’ENSEMBLE CA VA MAIS IL NE PEUT PAS ETRE COMPARE A BRUNO DE LA CI QUI A UNE MAITRISE ET UNE EXPERTISE DE LA COMMUNICATION GOUVERNEMENTALE.
CE QUE JEUNE AFRIQUE A DIFFUSE CONCERNANT LES ACHATS D’ARMES NE PASSE PAS ELLE EST TROP GROS
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