Mise en place en juin 2019, le Comité régional du cadre politique de gestion de la crise au centre a été officiellement lancé hier à Mopti. Présidé par le Premier ministre, Dr. Boubou Cissé, le lancement a été l’occasion pour le chef du gouvernement de rappeler les objectifs du cadre : ramener “très rapidement” la paix, la sécurité, le développement et l’autorité de l’Etat dans les régions du centre.
Tout pour faire régner la stabilité dans la région du centre. C’est la volonté affichée du gouvernement de la République du Mali. Annoncé en mai 2019, puis mise en place en juin, le gouvernement a initié ce cadre politique de gestion de la crise pour “apaiser la situation sécuritaire“ dans les régions du Centre.
Ce cadre, présidé par le Premier ministre lui-même, est constitué par des représentants des Affaires sociales, de la Justice, de la Défense, de la Sécurité, de l’Administration territoriale, des Affaires étrangères, de la Cohésion sociale, des Affaires religieuses, du Budget et de la communication.
Selon Dr. Boubou Cissé, l’objectif principal de cette “nouvelle mesure“ est de combiner les approches politiques et militaires. Ce qui devrait permettre, dit-il, de ramener la paix dans les régions du centre d’une manière durable.
Le Secrétaire permanent du Cadre, l’ambassadeur Boubacar Gaoussou Diarra, a rappelé que cette nouvelle mesure intervient après plusieurs autres dont le dernier est “le Plan de Sécurité Intégré des Régions du Centre“, qui est mis en œuvre depuis 2018. Ce plan vise le “renforcement du dispositif sécuritaire dans les régions de Ségou et Mopti“.
Cependant, ajoute-t-il, ces différentes mesures ont eu du mal à apaiser les tensions communautaires et les attaques terroristes dans ces zones. “Nous voulons impliquer cette fois-ci toutes les légitimités, les populations locales et les responsables chargés du développement et de la sécurité. Le but est d’initier des dialogues de haut niveau pour permettre le retour à la paix, la quiétude, le développement et l’autorité de l’Etat“, a précisé M. Diarra.
A peine lancé, le Comité prévoit des séries d’évènements dans la région de Mopti et de Ségou. Selon le secrétaire permanent, il y aura, dès la semaine prochaine, des dialogues et des ateliers pour impliquer les médias, les médiateurs intercommunautaires, les leaders religieux et coutumiers.
Sory I. Konaté
(envoyé spécial à Mopti)
Toute politique qui n’implique pas une conviction réelle chez nos dirigeants ira nulle part. Il faut avoir une idéologie politique ferme qui consiste a faire face (de façon implacable) aux crimes du terrorisme d’où qu’ils viennent. Pour ce faire, il faut commencer par l’application stricte et immuable de la loi contre certaines catégories de criminels… en révisant les pénalités, afin d’élargir le champs de l’ application de la PEINE DE MORT aux traitres, aux instigateurs et commendataires des conflits intercommunautaires, aux enleveurs, aux poseurs de mines antipersonnelles, aux vendeurs et fabricants illégaux d’armes etc.. il faut avoir une volonté réelle a faire frapper ces types de criminels par la full force de la loi sous l’égide de LA JUSTICE!
En suite, il faut donc renforcer la capacité du volet économique … investissements dans les secteurs vitaux spécialement dans les région affectées.
Ce n’est jamais avec des vas- et viens mous et incessants et des discours souples qu’on va résoudre quoi que ce soit dans la crise actuelle du Mali. C’est simplement un vœux pieux! Il nous faut un veritable leadership basé sur une idéologie radicale et claire qui vise a faire la peau du mal sans tergiversation! Le mal ne reculera jamais ..jamais devant les faibles et les mous sans idéologie; au contraire il va grandir pour devenir un monstre imbattable partout où il n ‘y a pas d’idéologie claire contre lui. Il faut que terroristes et criminels puissent se confirmer a l’idée qu’il s’agit reellement d’une autorité capable de les tuer a l’occasion…. et non d’une autorité qui badine de gauche a droite toujours dans business des discours stériles, des réconciliations bidon et des négociations sans issue…
Toute politique qui n’implique pas une conviction réelle chez nos dirigeants ira nulle part. Il faut avoir une idéologie politique ferme qui consiste a faire face (de façon implacable) aux crimes du terrorisme d’où qu’ils viennent. Pour ce faire, il faut commencer par l’application stricte et immuable de la loi contre certaines catégories de criminels… en révisant les pénalités, afin d’élargir le champs de l’ application de la PEINE DE MORT aux traitres, aux instigateurs et commendataires des conflits intercommunautaires, aux enleveurs, aux poseurs de mines antipersonnelles, aux vendeurs et fabricants illégaux d’armes etc.. il faut avoir une volonté réelle a faire frapper ces types de criminel la full force de la loi sous l’égide de LA JUSTICE!
En suite, il faut donc renforcer la capacité du volet économique … investissements dans les secteurs vitaux spécialement dans les région affectées.
Ce n’est jamais avec des vas- et viens mous et incessants et des discours souples qu’on va résoudre quoi que ce soit dans la crise actuelle du Mali. C’est simplement un vœux pieux! Il nous faut un veritable leadership basé sur une idéologie radicale et claire qui vise a faire la peau du mal sans tergiversation! Le mal ne reculera jamais ..jamais; au contraire il va grandir pour devenir un monstre imbattable partout où il n ‘y a pas d’idéologie claire contre lui. Il faut que terroristes et criminels puissent se confirmer a l’idée qu’il s’agit reellement d’une autorité capable de les tuer a l’occasion…. et non d’une autorité qui badine de gauche a droite toujours dans business des discours stériles, des réconciliations bidon et des négociations sans issue…
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