La cérémonie d’ouverture de cette conférence a eu lieu le 18 avril 2015 à la Maison des Aînés et a été présidée par le président du parti, Bocar Moussa Diarra, en présence du ministre de la fonction publique, chargé des relations avec les institutions, Mme Diarra Racky Talla, de tous les secrétaires généraux du district, militants et sympathisants.
Dans son allocution de bienvenue, le coordinateur des secrétaires généraux du District de Bamako, Djibril Sangaré, dira que plus d’une décennie, les gens ont géré les affaires de ce pays et parlé en leur place du fait qu’ ils ne sont pas représentés aux postes de décisions, notamment ceux des conseillers municipaux. Selon lui, Bamako est indexé comme la zone la plus malade de toutes les structures du parti, ce qui constitue un grand malheur pour l’avenir du parti. « Il faut que nous soyons dans les conseillers communaux, c’est la lutte que nous allons faire », a martelé Sangaré. Il a appelé tous les jeunes du parti à taire leurs divergences pour mettre le parti à l’abri de toute tempête.
Selon le président du parti, Bocar Moussa Diarra, dans les habitudes et pratiques politiques actuelles, il n’y a pas de restitution. Abordant le vif du sujet, Diarra dira qu’en politique, ce qui est important est la représentativité et que Bamako qui constitue le nœud du problème doit donc tout faire pour relever ce défi. « Nous sommes là pour vous choquer, vous inciter à réagir pour qu’aux prochaines échéances, Bamako soit visible », a-t-il indiqué à l’endroit de ses militants.
Aux dires du président Diarra, il faut que le parti ait des assises communales, raisons pour lesquelles il (parti) doit marcher par la tête, qui est Bamako dont le devoir est d’occuper la place qui est la sienne au sein du parti. « Les membres du parti doivent être un maillon important dans la vie politique du pays », a précisé le président. Il s’agit pour lui de porter plus haut le flambeau que le premier Président du Mali, Feu Modibo Keita, a porté.
Cyrille ADOHOUN
de quels enseignants voulez-vous parler?
Où sont vos enseignants que vous avez instrumentaliser quand vous étiez ministre de l’éducation?
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