La Bonne Gouvernance au bas de l’échelle :
Lutte contre la corruption et bonne gouvernance, deux maîtres mots dont l’opérationnalisation permet de bâtir d’institutions et d’hommes forts dans un état démocratique ont été presque assassinées avec l’arrivée au pouvoir du Président Ibrahim Boubacar et acolytes. «Cicatrisant» d’avantage la mémoire de vrais patriotes, les effets pervers de la mauvaise gouvernance ont gagné du terrain en 2014. Mais si dans un premier temps, le Président IBK, aveuglé par les honneurs dus à son rang et un entourage affamé avait décidé de protéger les pourfendeurs du Trésor public, il a fini par donner raison à l’opposition en limogeant les membres du gouvernent cités dans l’affaire de mauvaise gestion en 2014, une année pourtant dédiée à la lutte contre la corruption. Soumaïla Cissé, le Président de l’URD dit avoir confiance en la justice qui aura les mains libres pour situer les responsabilités afin de laver l’honneur souillé du Mali et restaurer la confiance auprès de nos partenaires.
Le Nord s’embrase, le mal ronge le reste du pays:
C’est le constat fait par Soumaïla Cissé. Face, dit-il à l’inaction, au manque de stratégie et à l’amateurisme du pouvoir en place, le Nord s’embrase, le centre s’installe dans la psychose et dans la violence, le reste du pays est partagé entre inquiétude et désespoir.
«L’insécurité généralisée et grandissante affecte dangereusement la paix sociale et annihile tout effort de développement et d’épanouissement des entreprises. Les mines terrestres anti personnelles, les attaques à mains armées, les vols de bétails, de cyclomoteurs, de voitures, les viols et autres agressions physiques sont connus de tous. C’est pourquoi la restructuration des Forces Armées et de Sécurité s’impose plus que jamais. L’URD a toujours rappelé la nécessité impérieuse de bâtir une armée forte, professionnelle et républicaine capable de garantir de manière durable la sécurité et l’intégrité du territoire national. La restructuration d’une telle armée repose sur une gouvernance de qualité, une gouvernance irréprochable», rappelle le Président de l’URD.
Toutefois, il regrette la monté fulgurante des attaques djihadistes et terroristes au Nord et au Centre du pays: Kidal, Gao, Ménaka, Ansongo, Nampala, Djoura, Dogo et Tenekou. L’inadmissible tentative d’assassinat du Général Ould Meydou et les récents événements de Gao viennent, dit-il corroborer l’inquiétante insécurité qui angoisse pour le moins le quotidien des Maliens, en général et des Bamakois en particulier.
Selon Soumaïla Cissé, le processus de réconciliation reste aux abonnés absents, les déplacés vivent dans des conditions précaires-et la nouvelle Commission Vérité, Justice et Réconciliation créée en urgence depuis mars 2014 est devenue «ancienne» sans avoir vu le jour.
2015, une année incertaine, selon Soumi :
Le challenger d’IBK en 2013 s’inquiète pour autant pour les élections à venir. «L’année nouvelle s’annonce encore plus incertaine dans la mesure où l’on s’achemine vers les élections communales et régionales en avril 2015. Mise à jour du fichier électoral biométrique; organisation des opérations de révision exceptionnelle des listes électorales; Retour de l’Administration dans les circonscriptions administratives et dans les collectivités territoriales des régions du nord du Mali; participation des réfugiés et des déplacés au processus électoral, toutes ces opérations peuvent-elles être accomplies d’ici Avril 2015 ? Les élections seront-elles organisées sur toute l’étendue du territoire ? Le doute est permis», affirme-t-il.
Cela est d’autant plausible que les défis sont nombreux. Mais le calendrier n’est pas intenable si l’opposition accepte de coopérer pour le bonheur des Maliens.
Cependant, l’arbre ne doit bas cacher la forêt. Soumaïla Cissé a félicité le Gouvernement pour les efforts consentis dans le cadre de la lutte contre le virus Ebola : «l’espoir suscité en début d’année par les résultats satisfaisants obtenus dans la lutte contre la maladie à virus Ebola grâce à l’aide précieuse de l’OMS, des amis du Mali, l’engagement et l’abnégation des techniciens maliens, que nous félicitons vivement n’a pu dissiper ces légitimes inquiétudes. Le pays doit rester mobilisé pour que les consignes de prévention continuent d’être respectés, et que le personnel de santé soit mieux outillé afin d’éviter toute surprise désagréable»
- KANTE
Des pourris
Soumi , en toute franchise votre disque est raillé donc changer le de grâce , toujours des tapages inutiles , des critiques insensés , des calomnies qui ne finissent pas , vraiment merci d’avoir montrer votre vrai visage au Malien …
Être un opposant , c’est de bosser pour ton pays sans l’avis de qui que ce soit , de montrer plus que jamais ton patriotisme car ceci résume tout ; mais hélas chose que nos opposants d’ici ignorent complètement !!!
Quelle honte ……
L’opposition ,merci de nous alerter sur les tares de ce pouvoir imcompétent et malhonnête qui pille nos maigres ressources et gère très mal les grands défis qui se posent à notre pays
L’opposition malienne ne sait pas sur quel pied il faut danser.
Pour les membres de l’opposition,il faut critiquer futilement même si le gouvernement a raison.
C’est pas dans l’intérêt de l’opposition de voir la signature de accord définitif,car il veulent enfin dire que le président a échoué,ce qui leur semble plus de popularité.
Voila le mensonge de l’opposition sur le gouvernement à propos de la table ronde organisé le samedi 7 février 2015, au Centre international de conférence de Bamako (CICB), une Table ronde d’information et de concertation avec les forces vives de la Nation sur le «projet d’Accord de paix et de réconciliation au Mali», soumis par l’équipe de la médiation aux différentes parties.
Le gouvernement du mali avait envoyé une lettre d’invitation à toutes les forces vives de la nation pour la tenu de cette table ronde,mais toutes les parties ont répondu présentes excepté l’opposition malienne.Pour motif,qu’ils n’ont pas été invités à temps nécessaire.
Nous pouvons nous poser la question si réellement Soumaila cissé, Modibo sidibé et tièbilé dramé on des idées concrètes pour contribuer à ce projet d’accord de paix.
Ou encore l’opposition n’avait-elle pas pensé à l’intérêt supérieur de la nation en refusant de répondre à l’invitation du premier ministre?
ces sa opposition de critique
Comments are closed.