Pour les députés, la dissolution de l’Assemblée nationale n’est pas une solution. Elle contribuerait, au contraire, à une généralisation de la crise. En retour, ils n’excluent pas des solutions de décrispation pouvant aller, si nécessaire, jusqu’à la reprise du scrutin dans les circonscriptions concernées. Les élus de la Nation demandent plutôt la démission du Président de la Cour Constitutionnelle, qui à leurs yeux peut être source d’apaisement de la tension.
En cas de grande tornade, chacun se cherche. Les députés réunis jeudi 18 juin 2020 n’ont pas fait dans la dentelle sur la situation de crise politique qui sévit actuellement au Mali. Au moment où une partie de la classe politique et de l’opinion estiment que seule la dissolution de l’Assemblée nationale, la démission du Président de la Cour Constitutionnelle font parties des solutions de sortie de crise, les élus de la Nation disent à ceux-ci qu’ils se trompent de solution.
Aliou Diallo, élus ADP-Mali, élu à Kayes et membre du groupe parlementaire « Benso », dans une déclaration au nom du « Club des députés du peuple » (CDP) ont-ils rappelé « que, sur les 147 députés de l’hémicycle, ceux ayant été proclamés élus sans irrégularités constituent plus de 80% des députés de cette 6e Législature ».
C’est pourquoi dira M. Diallo « Nous, députés du peuple, estimons que la dissolution de l’Assemblée Nationale n’est pas une solution. Elle contribuerait, au contraire, à une généralisation de la crise ». Le CDP est même allé à faire des propositions : « Nous demandons plutôt la création d’une commission des sages chargée de discuter avec nos collègues et les candidats malheureux des circonscriptions faisant l’objet de vives contestations ». S’ils écartent la thèse d’une dissolution de l’Assemblée nationale, le Président d’honneur de l’ADP Maliba, propose « d’envisager des solutions de décrispation pouvant aller, si nécessaire, jusqu’à la reprise du scrutin dans les circonscriptions concernées ». Cette dernière proposition n’a semble pas été bien accueillie par le Président de l’Assemblée nationale, Moussa Timbiné qui se voit ainsi dans le viseur de son camarade de « Benso ».
Selon l’ancien patron de Wassoul’or, pour calmer les esprits, il urge de demander la démission du Président de la Cour Constitutionnelle, Manassa Danioko. « Nous demandons également la démission de Madame le Président de la Cour Constitutionnelle », a-t-il souligné dans la déclaration lue.
Et enfin, les députés CDP affirment « nous entreprendrons toutes les démarches utiles et nécessaires pour participer à la recherche de solutions pacifiques et à l’apaisement du climat sociopolitique afin d’alléger les souffrances de nos laborieuses populations ».
Selon nos informations, excepté quelques députés, l’écrasante majorité est signataire du communiqué.
Dissoudre l’Assemblée ou reprendre les élections dans les zones contestées, la solution revient au Président IBK, qui seul à la latitude de faire le choix.
Mamadou Sidibé
Diallo est un homme sans vertu et sans honneur, Boua le ventru IBK est un hommes sans vertu et sans honneur et enfin Manassa est une femme sans vertu et sans honneur. Diallo est heureux avec 20% des deputes illegitimes choisis et pas elus et il nous fait croire que ce taux ne rend pas l’Assemblee nationale illegitime, veritablement Diallo n’a pas honte et a mange son honneur et sa digntie, au Mali le ridicule ne tue plus. Diallo doit comprendre que les 20% des deputes qu’il qualifie de choisis ont ete choisis par Boua le ventru IBK et nommes par Manassa, alors les deputes doivent degarpir donc l’Assemblee National dissolute par Boua! Que Boua le ventru degage et Manassa la sorciere doit demissionner comme les autre membres de la cour constitutionnelle! Voici la solution au probleme Malien
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