Situation sécuritaire au Mali : Le Gouvernement invite la « MINUSMA à s’en tenir au plan de retrait convenu dans le strict respect du délai fixé »

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Le Républicain
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Le vendredi 13 octobre 2023, Abdoulaye Diop, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Mali, a présidé une réunion d’informations à l’intention du corps diplomatique accrédité au Mali. Trois membres du gouvernement ont aussi pris part à la rencontre, à savoir le Colonel Abdoulaye MAÏGA, ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Porte-parole du Gouvernement, le Colonel Sadio CAMARA, ministre de la Défense et des Anciens Combattants, et Alhamdou AG ILYENE, ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration.

Selon le ministère des affaires étrangères et de la coopération internationale, plusieurs questions majeures à l’échelle nationale, sous-régionale et multilatérale ont été au cœur des discussions, notamment le retrait de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA), le processus de transition, la Charte du Liptako-Gourma instituant l’Alliance des États du Sahel, la coopération du Mali avec certaines organisations sous-régionales, ainsi que les perspectives de l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger.

Le ministre Abdoulaye Diop a commencé la séance en exprimant la compassion et la solidarité du Mali envers les pays victimes de catastrophes naturelles, tout en dénonçant les violences dans la bande de Gaza et en appelant à des solutions politiques et pacifiques entre Israël et la Palestine.

En ce qui concerne le retrait de la MINUSMA, les ministres ont réaffirmé l’engagement du Mali à un désengagement coordonné et sécurisé, avec l’objectif final de recouvrir l’intégrité territoriale du pays et d’exercer pleinement sa souveraineté, tout en garantissant la paix et la sécurité pour tous les citoyens. « Ils ont souligné avec regret le manquement grave et le déficit de coordination qui ont caractérisé la récente situation à Kidal, ayant favorisé l’occupation du camp1 de cette ville par des groupes armés et faisant perdre à l’État malien plusieurs équipements militaires, y compris des véhicules. Pour les Ministres, les textes des Nations Unies indiquent clairement que les emprises occupées par la MINUSMA ne devraient être transférées qu’à l’État malien seul. A cet égard, ils ont solennellement invité la MINUSMA à s’en tenir au plan de retrait convenu et communiqué, et ce, dans le strict respect du délai fixé par la résolution 2690 du Conseil de Sécurité des Nations Unies », selon le communiqué du ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale.

Lors de la rencontre, le processus de transition a également été abordé, avec des explications sur le changement intervenu dans le calendrier des élections en raison de difficultés techniques. Les ministres ont souligné la volonté du gouvernement de conduire le processus dans une démarche inclusive malgré des difficultés d’interactions avec la CEDEAO.

En ce qui concerne l’Accord pour la paix et la réconciliation, les ministres ont réaffirmé l’attachement du Mali à l’accord en tant que mécanisme politique complémentaire aux opérations militaires pour instaurer une paix durable.

La réunion a également abordé la Charte du Liptako-Gourma, qui vise à renforcer la sécurité et la défense des pays membres dans un contexte géopolitique complexe.

Les participants ont enfin salué l’initiative du gouvernement de fournir des informations officielles sur des questions cruciales. Ils ont exprimé le souhait que de telles réunions d’informations aient lieu de manière régulière, offrant ainsi une plateforme pour poser des questions et contribuer à la prise de décision.

M.D

 

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  2. LESMNATIONS UNIES ONT DIVISÉ LE SOUDAN, NI LE SOUDAN DU SUD N A CONNU LA PAIX NI LE SOUDAN NORD QUI A SON TOUR EST ENTRAIN DE SE MORDRE EAST CONTRE OUEST, VOILÀ , LES TROUPES DE L ONU À DJUBA ET AU DARFOUR, LE SOUDAN EN TROIS.

  3. Demander le départ de la MINUSMA,c’est provoquer les groupes armés dans un CONTEXTE DE CESSEZ-LE-FEU.
    Dans ce cadre, ce n’est pas à la MINUSMA de passer ses camps à l’Etat du Mali absent,mais à celui qui est capable de les occuper de s’en emparer.
    C’est ça qui va être fait à Kidal!!!
    LA MINUSMA NE CHOISIT PAS SON CAMP ENTRE LES BELLIGÉRANTS QUAND L’ÉTAT DU MALI N’EST PAS SEUL MAÎTRE DU TERRAIN.
    Un cessez-le-feu signé signifie que l’endroit appartient à celui qui est là au moment de sa signature.
    L’ÉTAT DU MALI A SIGNÉ UN CESSEZ-LE-FEU QUAND LES GROUPES ARMÉS ÉTAIENT MAÎTRES DE LA VILLE DE KIDAL.
    Il s’agit de déclarer la fin du cessez-le-feu et engager la lutte armée pour récupérer la ville de Kidal avant le départ de la MINUSMA.
    Ça n’a pas été fait préférant accuser la MINUSMA.
    Ce comportement est propre au FOUGARIDEN.
    LE CESSEZ-LE-FEU EN 2014 A SIGNIFIÉ QUE L’ÉTAT DU MALI ACCEPTE L’AUTORITÉ DES GROUPES ARMÉS SUR LES TERRITOIRES CONQUIS JUSQU’À L’APPLICATION INTÉGRALE D’UN ACCORD SIGNÉ.
    L’Etat du Mali ne met pas en cause ni le cessez-le-feu, ni l’accord signé.
    LA LOGIQUE COMMANDE DE DONNER LES CAMPS À CELUI QUI A L’AUTORITÉ SUR LA ZONE QUI COUVRE LES CAMPS MINUSMA.
    Si on ne veut pas respecter le cessez-le-feu, on le dit,tout sera clair pour la MINUSMA qui va les donner à celui qui sera maître de la ville au moment de son départ.
    LES ANIMATEURS ACTUELS DE L’ÉTAT DU MALI VEULENT OCCUPER LES CAMPS MINUSMA SANS SE BATTRE ALORS QU’UN CESSEZ-LE-FEU EST EN COURS.
    Pourquoi s’arrêter à ANEFIS alors qu’on connaît la date indiquée par la MINUSMA?
    C’est difficile de parcourir 110 kilomètres pour chasser les groupes armés de Kidal avant le départ de la MINUSMA?
    Au constat des agissements du ministre des affaires étrangères, il n’y a t’il pas là le signe que l’armée malienne est incapable d’avancer vers Kidal à partir d’ ANEFIS?
    Les TIEFARI( opposé de lâche) agissent sans placer mots.
    Les FOUGARIDEN(les lâches) se plaignent régulièrement alors qu’ils savent qu’une armée est en face.

  4. IL FAUT APPRENDRE À AGIR DENT POUR DENT OEIL POUR OEIL, C EST LEUR METHODE, EUX ILS T ARRACHENT LA DENT POUR RIEN.

    SI LA MINUSMA NE SUIT PAS LES REGLES STRICTS IL FAUDRA LEUR FAIRE SUBIR AU DECIDEURS MINUSMAENS DES CONSÉQUENCES QU ILS PEUVENT SENTIR.

  5. Il faut faire déguerpir la MINUSMA tout de suite sinon notre situation ira du mal en pire, car ils sont en contact directe avec ces terroristes et ces touaregs de la CMA, nous restons convaincus que cette organisation fantoche cherche à réorganiser ces bandits contre le Mali, cela est sans aucune équivoque. Leur comportement n’est que diversion pour distraire l’armée malienne compte tenu de son avancée sans nul doute.
    Il faut que nos nos autorités de l’armée retiennent ceci « Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre. » Winston Churchill.
    Nous avons été poussés dans cette guerre par le biais de nos touaregs, il faut que nous battions pour recouvrer notre dignité. Et il faut cesser de se méprendre car nous sommes contre le monde entier à part la Russie qui nous aide à cause de nos ressources et non par nos beaux yeux. Qu’Allah protège notre cher pays.

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