Depuis les rumeurs sur sa possible candidature à la prochaine élection présidentielle, des politiciens en état de putréfaction très avancé et potentiels candidats disqualifiés d’avance par leurs propres turpitudes mènent, à travers certains mercenaires de la plume, une véritable campagne de dénigrement systématique contre Seydou Coulibaly. Les médias alignés sélectionnés pour ce sale boulot ne ratent aucune occasion pour tenter d’induire en erreur leurs lecteurs pour qui ils n’ont manifestement aucun respect.
La dernière en date est un article commandité publié dans un journal de la place cette semaine selon lequel le PDG de Cira-Mali aurait bénéficié d’un marché de 5 milliards sous IBK relatif à un projet de construction des rails reliant Bamako à Kidal.
L’auteur de ce torchon pousse l’outrecuidance jusqu’à affirmer que les 5 milliards avaient été débloqués et mis à la disposition de Seydou Coulibaly “aux fins d’études de faisabilité dudit projet” et que jusque-là rien n’a été fait à ce sujet et pis, “personne ne sait où sont partis les fonds débloqués par l’Etat”.
Si certains sont nés pour mentir et traîner d’honnêtes citoyens dans la boue, d’autres ont vocation à rétablir la vérité et l’honneur. Nul besoin de dire que ces allégations sont mensongères, car toute personne dotée d’un peu de jugeote saura faire la part des choses.
Le seul projet de rails qui existe au sein de Cira est l’objet d’un contrat entre cette entreprise et la Chambre des mines portant études de préfaisabilité du Projet de mise en œuvre d’infrastructures ferroviaires. Ce projet dont le montant est de 72 997 101 FCFA date de 2019 et la somme devrait être payée par Cira et la Chambre des mines. Jusqu’à nos jours, seul le PDG de Cira a payé sa part.
Il faudra demander donc aux ingénieurs des calomnies d’où vient ce projet ferroviaire de 5 milliards.
Il faut souligner que Cira est une entreprise crédible présente dans 26 pays et son plus gros marché au Mali ne dépasse pas 4 milliards alors qu’il en a plus au Cameroun, au Gabon… pour ne citer que ces pays. C’est bien de faire la communication politicienne. Mais il est indécent de ternir l’image des entreprises privées qui emploient beaucoup de gens dans un pays où le taux de chômage est très élevé. Seydou Coulibaly est parti de rien pour arriver à ce standing social aujourd’hui grâce aux études et à son travail bien fait. Il fait la fierté du Mali sous plusieurs cieux dans le domaine des infrastructures.
Alors chers journaleux, êtes-vous sûrs que vos bailleurs (politiciens) ont réussi sans l’argent public ?
Sego Communication