Le bureau politique national du PRVM Fasoko était à l’honneur dans la capitale des balazans (la région de Ségou) pour sa rentrée politique et la conférence régionale de la section qui s’est tenue le samedi 14 octobre 2016 dans la salle Mieruba. Cette cérémonie était une occasion de mettre en place la section de la 4ème région. Mais aussi de rencontrer les militants afin de dégager les visions sur les élections communales et autres à venir.
A un (01) mois des élections communales, c’est une rentrée politique particulièrement mouvementée dans la région de Ségou. Ségou, le parti tient énormément à la région. L’évènement a commencé par une visite traditionnelle aux notabilités de Ségou à l’issue desquelles des échanges ont eu lieu globalement sur la vie de la région.
Dans son allocution, dans la salle, le secrétaire général de la section de Ségou, s’est dit très heureux de la composition du bureau et de la présence du bureau politique national. Après avoir rendu un vibrant hommage à la délégation, le tout nouveau secrétaire général soulignera que le défi sera relevé dans la ‘’Danaya – Dambé – Ladiriya’’ mais, à ses dires, cela nécessitera une union sacrée des militants.
Quant à l’Honorable Adama Kané « rien n’a été fait par les tenants du pouvoir jusqu’à présent pour le développement du pays tandis que la population est en train de payer les impôts ». Il a terminé son intervention par un éclaircissement sur la gestion du pays.
Le président du bureau politique national, Mamadou Sidibé, a remercié les militants pour la mobilisation et la confiance à ce jeune parti qui est né avec ses 32 dents car compte deux (02) députés à l’assemblée nationale du Mali en moins de trois (03) d’existence. Le Président Sidibé s’est penché sur trois (03) aspects principaux à savoir : la rentrée politique, la conférence régionale, la nouvelle loi électorale. Cette rentrée politique s’est achevée sur un mot d’ordre du bureau politique national « il faut secouer l’échiquier politique national du Mali afin d’atteindre les objectifs qui ne sont autres que le développement du pays qui passe en prime par la satisfaction de la population ».
Abdramane Samaké
