La chute du régime d’ATT le 22 mars dernier suite à un coup d’état, a mis fin à un système. L’avènement du CNRDRE a ouvert une nouvelle page. Après huit mois d’atermoiements, il est impérieux qu’un Président de la transition soit désigné par les forces vives de la Nation suite à des concertations nationales dignes de ce nom, clament la plupart des partis, associations et sympathisants de partis politiques regroupés autour de l’Union pour la Justice et la Réconciliation (UJR). Cette association donne sa recette pour sortir le pays de la situation actuelle.
A l’UJR, une association politique qui vient de voir le jour et regroupant d’autres associations et militants de certains partis politiques, pense que la solution pour sauver la transition malienne actuelle qui bat de l’aile, est de désigner un Président de la transition qui a une forte personnalité. Un homme d’état qui s’assume. L’objectif affiché est d’avoir un Exécutif fort avec des hommes et des femmes engagés. Pour le président de l’UJR, M. Moussa Koné : « la transition malienne ne pourra être sauvée que lorsqu’un Président sera désigné avec une mission claire et précise avec un mandat précis et dotée de moyens conséquents (financiers et humains). La durée de la transition devra être fixée afin d’éviter tout débordement ». Pour notre interlocuteur : « le Président de la transition devra être indépendant et libre dans ses prises de décisions pour lui permettre de refonder en 2013, une armée républicaine», ajoute M. Koné en guise de conseil.
A l’UJR, l’organisation de concertations nationales demeure une nécessité absolue compte tenu de la gravité de la situation et appelle tous les maliens à se donner la main dans une synergie d’action. C’est-à-dire faire l’union sacrée.
Bokari Dicko
vous voullez qu’on recomence a ZERO. de reprendre les choses au point de depart.NON….NON…
Le pays a beaucoup souffert.
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