Lundi 7 mai 2018, la nouvelle de la démission du ministre de l’Education nationale a vite fait le tour de Bamako, après avoir été confirmé par son entourage. Housseni Amion Guindo, président de la Convergence pour le développement du Mali (CODEM), vient d’assener un coup dur à la majorité présidentielle. La CODEM constitue en effet la 4è force politique du pays avec un poids considérable en termes d’élus au Parlement national et de conseillers communaux. Toutefois, les vraies raisons de la rupture entre Housseni Amion Guindo et le camp du président IBK ne sont pas encore connues.
Mais le désormais ancien ministre de l’Education nationale, précédemment ministre des Sports, avait déjà des dents contre certains membres de l’entourage du chef de l’Etat. Pour certains analystes, la pomme de discorde entre les deux camps est liée à la crise autour du renouvellement du bureau de la Fédération malienne de football(FEMAFOOT).
Des barons du pouvoir avaient mené la vie dure à Poulo, dit-on, en voulant imposer un de leurs protégés à la FEMAFOOT. La tension était telle que le président de la CODEM avait menacé de jeter l’éponge en tant que ministre des Sports. Les choses se sont arrangées à la FEMAFOOT contre le gré de l’ancien ministre des Sports.
Peu après, le gouvernement lui a donné un lot de consolation en lui attribuant le portefeuille de l’Education nationale dans le gouvernement Soumeylou Boubèye Maïga. C’est toujours la portion congrue, selon le président du parti de la quenouille qui estime, tout comme de nombreux militants, que le poids politique de son parti a été trop longtemps sous-évalué.
Le comble de la provocation viendra de la démission récente du député Hady Niangadou de la CODEM en faveur d’un soutien au président IBK. Le départ de cet élu qui représentait la CODEM en commune II du district de Bamako cache en réalité une crise beaucoup plus profonde.
Mais Poulo sait se faire désirer par IBK comme ce fut le cas en 2007, alors qu’il régnait en maitre sur Sikasso. A l’époque, en prenant ses distances avec IBK il a laissé un vide que ce dernier avait du mal à accepter. Ce que la majorité peut craindre de pire, c’est un rapprochement entre Poulo et d’autres forces politiques en vue dans la région.
Soumaila T. Diarra
67 partis pour soutenir IBK? C’est faux et archi-faux, il n’en est rien, c’est du tapage en gaspillant l’argent du contribuable malien. Le soir du 29 juillet IBK saura qu’il a été berné par les maliens qu’il croit être soutenu. En déclarant sa candidature IBK vient d’annoncer sa perte du pouvoir à jamais. Les maliens sont en train de mourir de faim. Ventre affamé n’a point d’oreille dit-on.
Merci , IBK n’a meme pas le RPM dont il est un des fondateurs a fortiori 67 partis politiques pour le soutenir. Mais vous savez , la campagne electorale fait en Príncipe des heureux et des malheureux . Les candidats se font berner , en gaspillant les ressources (argent, materiels et autres ), meme les marabouts et les feticheurs y gagnent bien . C’est cela aussi la democratie a la malienne. Cette annee je demande a tous de ne pas refuser les cadeaux qui ne sont que l’argent du tresor public detourne, j’allais dire vole pour satisfaire ses desirs electoraux.
FB est absent, il se tait comme une carpe mais il doit savoir que “le roi est nu”.
La mouvance présidentielle continue sa saignée, il faut cependant remarquer que tous ces farfelus de candidats sont comptables du bilan du “Dictateur” actuel. Il faut que les vrais candidats s’engagent à occuper la scène politique avant qu’elle ne soient envahies par des prédateurs de tout acabit.
BULL SHITS!!!!!
FOUTAISES!!!!!!
QUELLE ANALYSE!!?!!! VOUS OSEZ COMPARER LE MINISTÈRE DES SPORTS AVEC CELUI DE L’EDUCATION?????
TANT SUR LE PLAN DES MISSIONS, DE LA PRÉSÉANCE QUE CELUI DU BUDGET ALLOUÉ, QUELLE COMMUNE MESURES VOYEZ-VOUS?????
ESPÉRONS QUE CE MEC AUSSI NE CRIERA PAS AU VOL DE SA VICTOIRE, LE SOIR DES ÉLECTIONS, QUAND IL SE RETROUVERA AVEC UN SCORE PROCHE DU ZÉRO ABSOLU.
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