Chose attendue, chose faite. Ce vendredi 27 juillet 2012 dans l’après midi, le président de la transition, le Pr Dioncounda Traoré est de retour à Bamako après plus de deux mois de séjours a Paris où il recevait des soins médicaux, suite à son agression le 21 mai dernier dans ses bureaux à Koulouba, par des manifestants hostiles à son maintien au pouvoir.
Au bas de l’échelle du vol présidentiel, ce fut l’exécution de l’hymne national du Mali. Il y avait du beau monde à l’aéroport et sur l’itinéraire du cortège présidentiel dans la ville de Bamako dont certains étaient vêtus de de t-shirts portant photo du président Dioncounda Traoré et scandaient ‘’Dioncounda président’’. Tous les ingrédients étaient réunis pour réserver un accueil chaleureux au président Dioncounda et son épouse. Un impressionnant dispositif constitués de 1500 éléments de la garde national de la police nationale de la gendarmerie et de la protection civile, étaient déployés sur le terrain de l’aéroport et le long de l’itinéraire du cortège présidentiel.
Dans le salon d’honneur de l’aéroport international Bamako-Senou, le chef de l’État, le Pr Dioncounda Traoré a exprimé toute sa satisfaction face à l’accueil qui lui a été réservé. « J’ai été très sensible à l’accueil qui m’a été réservé. Un tel accueil montre que le peuple malien a soif d’unité et de solidarité. Je crois que c’est là que réside la clé de la réussite des missions que nous devons conduire pendant cette transition. Le Mali est un grand pays », a-t-il déclaré. Le président Dioncounda s’est dit heureux de retourner au bercail. Il a fait savoir que le Mali traverse une période difficile à cet effet, dit-il, que l’ensemble du peuple malien doit se pardonner mutuellement pour faire face à l’essentiel qui est le Mali. Le Capitaine Amadou Haya Sanogo a fait le déplacement à l’aéroport, a témoigné de sa satisfaction du retour du président Dioncounda Traoré. Le Capitaine Amadou Haya Sanogo, a précisé qu’en tant que président du Comité militaire de reforme et de suivie, il veillera afin que les forces armées et de sécurité ne ménagent aucun effort pour assurer la sécurité du président de la République, le Pr Dioncounda Traoré.
Les taches du président intérimaire s’annoncent lourdes pour la formation d’un gouvernement d’union nationale d’ici fin juillet, la requête pour l’envoie des troupes de la Communauté économiques des États de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) au Mali, la reconquête des territoires occupés par les groupes armés et l’organisation d’élections libres, transparentes, crédibles d’ici Mai 2013.
Aguibou Sogodogo
foudkg = asterix = mina.ble petit put- lâche de bordeaux qui n’a pas de vie. 😈 😈 😈 😈
JE ne suis même pas capable de me trouver une petite toubab.
Mais une malienne a eu pitié de moi!!!!
hey le fou de bordeaux trouve-toi une vie,
regarde ta fass de kul de babouin———-> 😳
LA NOUVELLE ORGANISATION DE L’EXECUTIF AU MALI RENFORCE LA GOUVERNANCE GLOBALE PAR UN TRAVAIL EN RESEAU ENTRE LES INSTITUTIONS : CE QUI EST AVANTAGEUX POUR TOUT LE MONDE (PRESIDENT, PREMIER MINISTRE ET LE PEUPLE MALIEN) DANS LE CADRE D’UNE BONNE GOUVERNANCE
Bonjour,
Je profite de cette contribution pour souhaiter une bonne prise de fonction à Monsieur le Président, Dioncounda Traoré. Je le félicite pour son discours.
Le fait d’avoir un Haut Conseil de l’Etat (HCE) relié à la Présidence est une bonne chose et permet une distribution du pouvoir. Le Premier Ministre reste chef du gouvernement.
Les difficultés de cette nouvelle organisation seront la nécessité d’un découpage idoine des tâches, la nécessité d’un travail en réseau entre les différentes institutions et la nécessité de la synchronisation entre la Présidence, le Haut Conseil de l’Etat, la Primature, la commission aux négociations et le conseil national de transition (rôle consultatif). Il existera aussi un comité national aux élections.
L’intérêt d’une telle organisation, c’est le fait de RENFORCER LA GOUVERNANCE GLOBALE par l’aspect réseau en reliant adéquatement les trois institutions, la Présidence, le Haut Conseil de l’Etat (HCE) et la Primature, ainsi que la commission aux négociations et le conseil national de transition.
Ce qui exige une bonne entente et une bonne communication entre les responsables de l’exécutif (Président, Vice-présidents du HCE, le Premier Ministre, le responsable de la commission aux négociations et le responsable du conseil national de transition).
Dans le cadre d’une bonne gouvernance, une telle organisation sera avantageuse pour tout le monde, pour la Présidence, pour la Primature et pour le Peuple qui interviendra par l’intermédiaire de la commission aux négociations et du conseil national de transition pour prendre en compte ses besoins et revendications.
N’ayant pas précisé la composition détaillée de cette commission aux négociations et de ce conseil national de transition, il serait souhaitable que :
(1) La commission aux négociations puisse avoir des ramifications au niveau des régions pour que toutes les communautés et les citoyens participent à la vie de la nation et aux grandes problématiques qui préoccupent la nation.
(2) Le conseil national de transition puisse aussi intégrer des représentants des régions.
Je propose pour des soucis de simplification et de réduction des interactions que le conseil national de transition soit un sous-ensemble du Haut Conseil d’Etat.
IL SERAIT CONCILIATEUR DE RECONDUIRE LE PREMIER MINISTRE ACTUEL.
Avec une telle organisation, le pouvoir est bien distribué, reste à en assurer une bonne gouvernance pour que tous les acteurs, dont le Peuple, en tirent pleinement profit.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr
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