En exigeant la signature d’un accord politique de gouvernement avant de siéger dans l’équipe de « large ouverture et de mission » du Premier ministre Dr Boubou Cissé, les regroupements de l’opposition FSD et COFOP ne veulent pas se décrédibiliser aux yeux de l’opinion.
– Maliweb.net – Même si certains de leurs jeunes cadres voudraient bien entrer dans le gouvernement Boubou Cissé pour soulager un tant soit peu leur oisiveté politique, les ténors de l’opposition estiment que collaborer à la gestion publique par ces temps est « un piège à cons ».
En effet, les multiples difficultés que traverse la gouvernance IBK depuis 2013 n’enchantent pas les acteurs politiques alliés ou adversaires du pouvoir. Et surtout le bilan à peine mitigé du régime de ces dernières années n’encourage aucunement les amis de Soumaïla Cissé, Housseini Amion Guindo, Oumar Mariko, Modibo Sidibé, Aliou Boubacar Diallo et autre à apporter leur caution au locataire du palais de Koulouba.
Cela s’est déjà illustré par les communiqués publiés par les partis politiques de ces différents leaders au lendemain de la nomination du chef du gouvernement. L’on se souvient que la présidence de la République avait d’abord, dans un communiqué, tenté de faire croire que la nomination de Boubou Cissé était le fruit d’un consensus entre les opposants et IBK. Ce qui avait eu le mérite de susciter de vifs rétablissements de la vérité de la part de ces différents états-majors. Ce qui avait créé un climat plutôt tendu entre Koulouba et ces adversaires politiques. Un climat de méfiance que les consultations et visites de prises de contact du Premier ministre n’ont pas pu dissiper.
A cela s’ajoute surtout les énormes défis auxquels le pays fait face : sécuritaire, social avec les nombreuses grèves qui couvent, économique et financier avec la rareté de l’argent, la dette intérieure insupportable et la vie chère, etc. Ces problèmes semblent assombrir l’avenir à court et moyen terme du pays, au point que les adversaires politiques du pouvoir s’interrogent sur le bien-fondé d’un coup de main à IBK, visiblement dépassé par les événements.
En effet, à quatre petites années de la fin de son second mandat, IBK semble avoir dos au mur, poussé dans ses derniers retranchements par de violents vents de revendications sociopolitiques. C’est à peine si une certaine opinion ne réclame une remise en cause des institutions pour l’ouverture d’une transition politique en bonne et due forme.
Trimballé par certains leaders religieux, qui ont visiblement une revanche à prendre sur lui, IBK semble limité et cherchant désespérément une bouée de sauvetage pour redonner espoir au pays. Surtout que même son propre parti, le RPM semble lui tourner le dos en initiant une motion de censure contre son énième gouvernement dirigé par Soumeylou Boubèye Maïga.
Dans ces conditions une situation plaidant en faveur d’un gouvernement d’ouverture est une aubaine pour IBK afin de desserrer l’étau de la contestation et de la défiance qui pèse sur lui, tous seul. C’est pourquoi, le locataire de Koulouba ne s’est pas fait prier pour ouvrir l’attelage gouvernemental à des opposants. Histoire aussi de se donner des chances de succès aux réformes politiques majeures, dont les signaux de rejet étaient déjà perceptibles.
Conscients de cette réalité et perplexes quant à l’urgence de ces réformes, les opposants ont fait le choix d’un « partage de responsabilité » avec le locataire du palais présidentiel. Ils poseront rapidement comme préalable à leur entrée au gouvernement la conclusion d’un accord politique assorti d’une feuille de route de mise en œuvre y afférent. Ce qui est loin de rencontrer l’adhésion d’IBK, malgré la fragilisation de son pouvoir. Et Pour Soumaïla Cissé, « mieux vaut ne pas embarquer dans un train bien en péril dans son voyage… ». Même son de cloche chez les autres leaders de l’opposition, qui redoutent que Boubou Cissé ne peut mieux faire que son prédécesseur. D’où l’impasse, d’autant qu’IBK sait que sans le FSD et la COFOP à bord de son train, l’arrivée à la prochaine gare à bon port peut apparaître comme un…mirage. Dommage pour le Mali, gravement malade et presque abandonné au seul médecin de Koulouba, IBK !
Boubou SIDIBE/Maliweb.net
Boua a lamentablement echoue, c’est evident et clair! Nous sommes devant des echecs multiples depuis 2013 et il faut admettre.
kinguiranke’, il faut continuer a’ faire l’idiot!
Vous avez ete’ ecrase’s aux urnes! AUX LEGISLATIVES VOUS SEREZ ECRASE’S ET EN 2023 VOUS SEREZ ECRASE’S DE NOUVEAU A’ LA PRESIDENTIELLE!
AW NEGUE’ BORA!
Le roi MAUDIT de segou, tu dois comprendre meme si tu es un idiot avec un QI inferieur a celui d’une vieille anesse et un digne fils de wuruwaye que ton BOUA a echoue lamentablement. Boua a vole les elections avec la complicite de la CMA et a rendu la cour constitionnelle, la cour supreme et l’Assemblee Nationale illegales et illegitimes. Boua ne sait pas ou mettre sa tete car il a complement echoue et Boubou ne peut pas sauver Boua IBK. L’opposition doit se mefier et doit pas accepter de partager l’echec et la honte de Boua IBK. BOUA KA BLA!
IBK, le Mali ne peut pas rester sans gouvernement! Vous avez montre’ votre bonne volonte’ mais nos amis de l’opposition sont dans la logique du coup d’etat! Ils tiennent a’ avoir votre tete sur un plateau d’argent! Il est temps d’avancer sans eux! QU’ILS RESTENT SUR LA TOUCHE! Comme on le dit, les cimetieres sont remplis d’hommes et de femmes qui pensaient que rien n’est possible sans eux!!!
MALI MUST MOVE ON!!!!
kinguiranke’, tu es tres idiot!!!
comrades communique from Julu Mandingo to Julu Ubuntu, Muslim Ubuntu plus Christian Ubuntu. To put conditions in nutshell virtually all of IBK problems stem from lack of financial resources that should exist. This lack is unduly creating need to borrow from banks of this world at high interest rate that repayment rob government workers including teachers of income they should enjoy for work they do. Immediate solution if Mali is not already so deeply in debt that it must continue to enslave itself to banks of foreigners for decade before it is able to have economic freedom is to cancel CFA franc. With monies Mali is being robbed by participation to CFA franc becoming available to fulfill needs of government workers plus social programs of Mali especially free public school with free breakfast plus lunch. In order to rid itself of CFA franc Mali qualified personnel must partake in steps plus stages plan for currency that may in transparent fashion be implemented. Unto this is fulfilled there will be chaos plus longer it take to enact such plan more problematic plus poverty stricken our position become.
Mali is no place for Old Men to lead. Thus young leaders are obligated to work twice as hard plus twice as smart to correct our condition but, of equal importance is transparency plus to inform public of what must be done plus what there role is in making our actions success. Moreover, leave Trump like lies behind. They are financially costly plus hinder timely success.
Young leaders free of corruption as reward for correcting our condition should corner area of Mali economic market as their financial reward.
We must work together featuring transparency plus accountability.
Appearance have it that Old Men lacking energy to duly act are somewhat jealous of young guys desire to succeed plus be a part of something feel will timely work. That is young energetic spirit we need. It is contagious among young people. Even my old ass I like it!
Very much sincere,
Henry Author(people of books) Price aka Obediah Ubuntu IL-Khan aka Kankan aka Gue.
translationbuddy.com
Bonjour
Au lieu d’investir leurs fortune pour aider cette pauvre population,non!
Ils cherchent du bois et faire cuire cette pauvre population
Tous soidisent leaders politiques qui ont tous leurs parents dans la brousse soufrant de problèmes provoqué par eux même, pourquoi ils viennent pas leurs donné du travail avec leur argent au lieu d’aller chercher la solution pour brûler le mali ?
Mes amis regarder un peu les faits du politicien malien.
Ils savent parler pour convaincre mai, ils n’ont pas l’ide d’investir dans même leurs villages où sont ses parents
Bravo toi qui cherche pas à connaître ton ennemi imposture
Mercie mes frères
Je partage entièrement l’analyse du pseudonyme “Mali”. Les acteurs politiques du 26 Mars sont tous comptables de la situation qui prévaut. Donc, opposition et majorité doivent s’entendre pour tirer le Pays du gouffre.
IBK n’est pas de bonne foi. Il fait semblant.
soumaila et les autres ont parfatement raison…… tu echoues lamentablement apres avoir deliberemment refuse d’ecouter les gens; maintenant tu reallises ton echec cuisant, tu demandes aide , ile veulent t’aider et la encore tu as le culot de faire le gros dos……. vagabond…. il faut dégager …..
a la place de ces gens on va continuer a te donner des coups de pieds ****r….. ***…..!
Bjr c’est à dire l’opposition à parfaitement raison, il faut se maître d’accord sur la feuille de route (les priorites et partage au grand public) avant d’intégrer le gouvernement. Ci non sa être le cas de SBM. Si non sa être les volontés d’IBK.
Donc il serait mieux d’adopter une politique consensuelle de sorties de crises ensemble, et cette feuille de route soit suivi par le nouveau gouvernement.
Ne pas participer au gouvernement ,comme ils le disent devant l’état chaotique du pays, est un mauvais calcul.L’état du pays n’est autre chose que le bilan de 20 années de démocratie qui s’est empiré sous IBK.La question qui se pose est:Que tous les fils du pays se donnent les mains pour sauver le pays,ou laisser le Mali mourir est essayé de la sauver après ibk????.Pourquoi ne pas demander purement et simplement le poste de PM?.L’opposition peut aussi rentrer dans le gouvernement à condition aussi,s’ils ne sont pas écouter peuvent aussi démissionner.La situation du Mali n’est plus majorité opposition,il s’agit de sauver le MALI,sinon demain qu’est ce que l’opposition va pouvoir récupérer.C’est dans l’intérêt de toutes les bonne volontés qui aiment ce pays ,sinon les politiques ne sont plus la solution pour ce pays Ce pays pendant plus de vingt ans souffre de la mal gouvernance,ou pas du gouverner ,ou gouverner,par des politiques incapables ,et leurs familles sans expériences dans la gestion de l’état.Les maux de ce pays sont purement politique avec tout ce qu’elle a engendré entre autre la gestion de l’état à des fins personnelles,népotisme,corruption.UNE AUTRE POLITIQUEs’impose pour enrayer ces fléaux qui ont gangrenés le pays.
Bonjour, les réticences de Soumaila Cissé n’ont rien à voir avec un échec quelconque de IBK, mais plutôt avec le fait qu’en participant audit gouvernement, il perd son statut de chef de file de l’opposition et donc par conséquent les 500 millions CFA, de budget annuel qui vont avec son statut.
Son refus c’est bassement une question pécuniaire.
Soumi tu as raison, il ne faut pas accepter de partager la grande honte et l’echec lamentable de Boua IBK. BOUA KA BLA!
La boulimie du pouvoir, ce n’est pas que dans les rangs de la majorité. L’épidémie de famine a, depuis la présidentielle, atteint l’opposition malienne. Une opposition qui, dans tous ses compartiments, à l’occasion de ce remaniement ministériel, est en train d’être ravagée par un appétit glouton face à l’offre opportune du président IBK de mettre en place un gouvernement de large ouverture. Toutes choses qui a aiguisé les crises d’estomac au sein d’une opposition qui désormais, d’une seule et même voix, s’égosille et réclame sa part du gâteau gouvernemental : « un Accord politique clair de partage de responsabilités assorti d’une feuille de route transparente connue de tous »
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