C’est dans une atmosphère de profonde douleur que le Prési IBK s’est exprimé, la semaine dernière, devant la nation malienne pour manifester son indignation face à la série noire de pagaille organisée. Abordant le cas ” honteux ” sur les hauteurs de Kati suite à d’incongrus bruits de bottes de bidasses maliens, le Chef de l’Etat a parlé le cœur ” meurtri ” au point de faire une lamentation poignante. Sans détour, le Prési de tous les maliens a été très ferme et très rigoureux, à cet effet. Il a décidé de punir les coupables, pour prouver qu’il reste le chef suprême, à charge de faire régner l’ordre et la discipline au Mali où l’autorité de l’Etat semble être à terre depuis.
IBK a aussi fait montre d’autorité pour neutraliser les crises de nerfs entre bidasses. Sans doute, cela a été fortement salué par le peuple d’en bas qui peut désormais compter avec le Prési IBK. On sait que ce marathonien a eu les faveurs populaires pour avoir tenu le langage de la restauration de l’autorité de l’Etat dans biens des cas.
Bien avant sa sortie sur les douloureux événements de Kati : Face à la pagaille organisée des groupes armés à Kidal et les attentats terroristes à Tombouctou, le Prési IBK a craché la fermeté pour dire haut et fort qu’il a le pouvoir et les moyens de faire respecter l’autorité de l’Etat. En témoigne, sa rencontre du 17 septembre 2013 avec les groupes armés (MNLA, HCUA, MAA et FPR). Fixant le cadre des futures négociations, il a rappelé le principe suivant : “Tout peut être discuté sauf l’intégrité territoriale et l’unité nationale”. Une déclaration responsable qui a été bien accueillie par la majorité des maliens ayant placé leur confiance en lui pour son sens de l’autorité de l’Etat.
Pourvu que le nouveau locataire du palais de Koulouba puisse maintenir le cap pour surmonter l’épreuve du temps c’est-à-dire passer aux actes, afin de redresser le Mali dans ses multiples facettes (armée, administration, citoyens, rébellion…).
M. Maïga
Le Scorpion est devenu le journal le plus lèche Q du paysage médiatique malien! Combien de millions le directeur de publication reçoit-t-il de Koulouba pour pondre ses articles minables? L’argent des maliens sert donc à ça?? C’est pire que sous l’époque ATT…
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