Comme il n’a cessé de le proclamer et de le prouver, le Président de la République, Son Excellence Ibrahim Boubacar Kéïta, vient de prouver à la face du monde qu’il est un Homme à l’écoute de son Peuple. En reportant le référendum, prévu pour le 9 juillet 2017, le Chef de l’Etat n’a pas du tout renoncé au projet de révision constitutionnelle, plutôt il a démontré qu’aucun sacrifice n’est de trop quand il s’agit de l’intérêt supérieur de la Nation.
Prévu initialement pour le 9 juillet 2017, après que l’Assemblée Nationale ait adopté le projet de la Révision de la constitution de 1992, le référendum qui a suscité de remous au sein de la société civile et de la classe politique est reporté à une date ultérieure.
Si ceci est annoncé à la suite du communiqué du Conseil des Ministres du mercredi 21 juin dernier, force est de reconnaître que c’est grâce à l’Homme de paix, de stabilité et de dialogue qu’est le Chef de l’Etat que cela est advenu.
En effet, animé d’esprit d’écoute et de dialogue, le Président IBK s’est personnellement consacré à cette semaine qui s’achève par une kyrielle de rencontres avec des partenaires sociaux sur la question liée à la révision constitutionnelle. Le lundi 19 juin 2017, le Président de la République du Mali, en tant que Première Institution de la République, a rencontré les Présidents des Institutions de la République, à savoir le Gouvernement, l’Assemblée nationale, la Cour Suprême, la Cour Constitutionnelle, le Haut Conseil des Collectivités Territoriales, le Haut Conseil Economique Social et Culturel puis les Leaders religieux et les notabilités des familles fondatrices de Bamako.
Au lendemain, c’était le tour successif de l’intergroupe parlementaire des partis politiques de la Majorité présidentielle, et de l’opposition d’être reçus par le Chef de l’Etat.
Les échanges au cours de ces différentes rencontres ont porté sur le référendum qui sera reporté, par la suite, à une date ultérieure.
Le Président IBK, soucieux de l’intérêt général de son Peuple et de la paix durable au Mali, a pris bonne note de l’avis individuel de chacun des partenaires sociaux, tous préoccupés par la situation actuelle dans notre pays.
Pas question d’instaurer la monarchie
Abordant le sujet de ce référendum lors de la remise de la Charte pour la Paix, l’Unité et la Réconciliation nationale, le Président IBK est plus que clair : «Notre propos n’est pas autre dans l’exercice aujourd’hui qu’on ne dit pas, conformément à l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale qui nous met sur le chemin d’une révision constitutionnelle , non pas pour faire un Homme d ‘Etat plus fort, plus orgueilleux , plus vaniteux. Surement pas ! Nous avons le sens du ridicule par notre éducation, et notre culture, nous nous garderons d’être sobres».
Loin de s’éterniser au pouvoir
Contrairement à ce qui est véhiculé par ses détracteurs, au premier rang desquels les Responsables de l’opposition, le Chef de l’Etat a été net : «Nul mandat à proroger ou à prolonger, ou à multiplier par je ne sais combien ; nul changement de qualité sociale de la vie entre citoyens maliens. Tout cela est vérifiable à souhait et à satiété».
Pas de renoncement à la révision
Le Chef de l’Etat, en reportant la date du référendum, ne renonce pas à la révision constitutionnelle ; car, cela y va du confort de notre système démocratique.
«Il faut le confort d’un exercice auquel l’ensemble du Mali a donné sa pleine adhésion , la paix et la conformité dans cet exercice de recherche de paix , à nos engagements, nous conduit aujourd’hui à l’exercice de révision constitutionnelle pour créer les conditions nouvelles de partage de l’espace, de partage de la vie en commun, de vivre ensemble mieux , harmonieusement , plus fortement, plus fraternellement. C’est de cela qu’il s’agit », a précisé IBK
Il s’agit pour lui de tenir un engagement national, pris devant la communauté internationale pour le confort de la fraternité au Mali.
«Nous sommes engagés à cela, nous le ferons par les voies idoines, dans le respect des convictions, avec les convictions des uns et des autres, pourvu qu’au bout du compte le Mali s’y retrouve. Il n’y a aucune vanité à notre niveau….Mais la paix, oui, je m’y engage parce que je m’efforcerai toujours à être à l’écoute de mes compatriotes comme je le dis à des multiples reprises. En tant que Président de la République, je me suis imposé le devoir de cultiver la preuve l’écoute dans le souci de rester attentif aux attentes sincères de notre Peuple, de toujours veiller à préserver le tissu social de notre nation mais sans jamais rien céder à la démagogie, à la surenchère et outrances », a déclaré sagement le IBK.
En définitive, le report du référendum n’est pas un renoncement, à plus forte raison un échec du pouvoir. C’est plutôt à concevoir au sens de l’écoute et de dialogue que veut prôner le Chef de l’Etat afin que le texte soit bien assimilé, avant d’être voté. Donc, il ne s’agit point un signe de faiblesse, mais, en revanche, une preuve qu’IBK est un Homme de paix, de dialogue, d’écoute de son Peuple en tout lieu et en toute circonstance de la vie de la nation malienne.
C. A.
Je pense que cest ce qu’il a toujours et il a raison. Le peuple et non ces gens qui ont précipité les choses alors qu’il fallait au preable même avec les leaders d’opinions de nous autres des villages. Nous ne sommes plus en 1960.
projet de revision de la constution ! Sans ce projet Ibk est cuit pour les elections a venir. parce que il ne puorra presenter aucun bilan positf au peuple Malien qui puisse justifier sa candiidature aux echeances venir. Il est arrive au pouvoir sans programme de gouvernance, il le quitteta avec son projet de revision de constutition. Quel gâchis !
a lundi !!! !!
Le Référendum offre l’opportunité au duplex malien de voter sur l’État fédéral du Mali introduit suivant le Conseil de Ministres extraordinaire du 14 octobre 2016. Le Réseau Joko ni Maaya a organisé une Conférence de presse pour informer que chacune des 5 Régions serait souveraine et pourrait être reconnue comme indépendant.
Aucune mobilisation pour dire non malgré une vidéo. C’est la léthargie intellectuelle à été observée chez les maliens. La Commission des Lois avaut posé la question 3 fois sur le régime. La réponse avait été les Regions-États Unies du Mali.
la Nouvelle Constitution aurait dû être explicite pour la République fédérale du Mali.
La Crise Institutionnelle considérée comme une opportunité mais le jeu politique peut aboutir à l’atomisation du pays avec des Collectivités territoriales devenant indépendantes comme Soudan anglais.
soyons sages et respectueux des droits constitutionnels de ceux qui sont différents.
On a******** d’IBK et il a compris la douleur du baton ce n’est pas quelqu’un qui ecoute qui que ce soit pour quoi que ce soit, il connait tout mais il n’a pas compris le ****du peuple que maintenant, comme on le dit en Bamanan: *******. A bin entendeur, salut.
Du respect au président. Il faut aider le président à mieux faire au lieu d’insulter.
Comments are closed.