Le président guinéen Alpha Condé a du respect pour l’argent public : il réduit son budget de 40%. Le président malien Ibrahim Boubacar Kéïta dépense sans compter l’argent public : il augmente son budget de plus de 100% en deux ans. Comparaison n’est certes pas raison, mais cet exemple prouve à quel point IBK reste attaché aux dépenses de prestige au détriment du contribuable public qu’il entend lester de plus de 19 milliards cette année contre 9 milliards en 2014. Si le chef de l’Etat malien pouvait s’inspirer de l’exemple modèle de son homologue du sud-ouest ! Ou encore de celui plus près des députés burkinabè qui manifestent leur solidarité à l’endroit du peuple éprouvé du Faso en renonçant à 19% de leur salaire !
L’Afrique a encore des dirigeants qui essayent tant bien que mal de s’adapter à la situation de leur pays.
Solidarité envers le peuple
Le président Alpha Condé vient de donner une belle preuve, en diminuant considérablement le budget de la présidence de la Guinée, un des pays les plus pauvres au monde. L’homme a pris la mesure de la gravité de la situation de son pays, pourrait-on affirmer. Ainsi, le budget 2016 de la présidence de la République a été revu en baisse par rapport à l’année dernière. Il passe de 500 milliards GNF à 300 milliards, soit une chute de 40%. C’est là un sacrifice qui, sans doute, reflète les difficultés du budget national. Le geste est salué en Guinée et au-delà. « Le budget de la présidence est amputé de plus de 200 milliards GNF. C’est vraiment l’exemple de sacrifice que s’est donné le président de la République. Il est fortement réduit pour refléter la difficulté du budget guinéen », a révélé récemment le Dr Ousmane Kaba, président de la commission finances de l’Assemblée nationale.
Il n’y a pas qu’en Guinée que les dirigeants savent être sensibles aux difficultés de leur pays. Le Burkina Faso, à travers ses députés, a confirmé sa réputation de « pays des hommes intègres ». En effet, les élus du peuple ont convenu de diminuer leurs salaires à hauteur de 19% pour être solidaires de leurs compatriotes. L’annonce, faite le mardi 19 janvier dernier, fait toujours l’objet de commentaires à travers le monde.
« L’ensemble des députés, des groupes parlementaires, des vice-présidents, ont convenu de procéder à un rabattement des salaires des députés du Burkina Faso de 19%, en guise de solidarité avec notre peuple (qui a connu une insurrection en octobre) qui a fait face au coup d’Etat du 16 septembre, et qui vient de connaître les attaques barbares des djihadistes », justifie le président de l’Assemblée nationale burkinabè, Salif Diallo.
Du coup, désormais, le salaire de base d’un député sera de 960 397 F CFA contre 1 200 000 F CFA auparavant. Une différence de 240 000 F CFA, qui va certainement servir à beaucoup de choses.
Ces actes posés en Guinée et au Burkina Faso pèsent peut-être peu en termes de finance, mais ils valent leur pesant d’or au sein de l’opinion nationale. Les populations y verront une réelle prise de conscience des gouvernants face à leur détresse.
Pour le confort du président !
Sous d’autres cieux, on préfère les mots aux actes. Le régime actuel du Mali, un pays affaibli par une crise institutionnelle et sécuritaire, en est une illustration parfaite. Ici, seul le confort du président IBK importe. Les révélations faites par le Parena étalent toute l’étendue de la capacité budgétivore du chef d’Etat qui semble n’avoir cure de la crise économique et financière qui frappe le pays et du malaise généralisé au sein des populations. La preuve ? Le budget de la présidence connait, ces trois dernières années, une augmentation continue. En effet, le premier budget préparé par l’administration IBK a affecté à la présidence de la République la somme de 9,3 milliards de francs CFA pour 2014. En 2015, ce budget a été porté à 16 milliards, soit une augmentation de plus de 57%. Les Maliens n’étaient pas encore au bout de leur peine. Le dernier budget affecté à la présidence de la République est de 19,3 milliards de nos francs. Qui dit mieux ?
Entre les dépenses de prestige pour son confort personnel et le dénuement des Maliens dû à la cherté de la vie, IBK et ses concitoyens semblent vivre dans deux univers différents (le paradis et l’enfer ?). A titre de comparaison, le budget 2015 des 10 principaux hôpitaux du Mali (Point G, Gabriel Touré, hôpital du Mali, Kayes, Kati, Sikasso, Ségou, Mopti, Tombouctou et Gao) est de 14 milliards 400 millions de FCFA. Mieux, l’alimentation de Koulouba était de 300 (contre 61 en 2013) millions de FCFA, non loin du budget de la sécurité alimentaire de tout le pays en 2015 qui était estimé à 500 millions CFA.
Pourquoi le budget de la présidence, qui devrait être normalement revu en baisse dans le contexte actuel de grave crise, est augmenté? Aujourd’hui, les Maliens sont convaincus que leur situation est le cadet des soucis du président IBK, préoccupé plutôt à l’amélioration de son confort personnel et de tout ce qui implique lui et/ou son image. L’on se rappelle encore de l’affaire du Boeing présidentiel dont la vraie histoire n’est toujours pas connue. S’y ajoute la rénovation du pavillon présidentiel de l’aéroport de Sénou, pour la bagatelle de 8 milliards de FCFA. Ce sont là autant de folles dépenses d’un homme, au moment où de milliers de Maliens meurent dans les hôpitaux et centres de santé, faute du minimum vital dans ces structures.
« Elus pour nos poches ! »
Que dire des salaires et primes de nos députés. À l’hémicycle, les intérêts sont liés aux postes à travers des missions et des primes de responsabilité. Depuis 2015, le président de l’Assemblée gagne mensuellement (pendant les périodes de sessions) plus de 30 millions de FCFA, contre 26 600 000F CFA pour la législature passée. Ce gain est composé, entre autres, de prime de session (900 000 F CFA) ; prime de responsabilité (400 000 F CFA) ; prime pour achat de véhicule (400 000 F CFA) ; salaire mensuel (700 000 F CFA) ; fonds mensuel de souveraineté ou caisse noire (3,5 millions de F CFA).
Le vice-président a comme total émolument mensuel pendant les périodes de sessions : 2 750 000 F CFA, contre 1 950 000 F CFA pour la législature passée. Ce magot est composée de prime de session (900 000 F CFA) ; de prime de responsabilité (200 000 F CFA) ; de prime de loyer de maison (150 000 F CFA) ; de salaire mensuel (300 000 F CFA) ; de prime de représentativité (500 000 F CFA).
Si les Secrétaire parlementaire et Président de groupe parlementaire ont pour total émolument (pendant les sessions) mensuel 2 650 000F CFA (contre 1 950 000F CFA pour la législature passée) ; le Questeur de l’Assemblée Nationale a 5 550 000F CFA/mois contre 4 850 000 F CFA pour la législature. Un simple député (sans responsabilité) a 2 550 000 F CFA, contre 1 850 000 F CFA pour la législature passée avec l’honorable Dioncounda Traoré
Faut-il rappeler que c’est pendant la législature 2002-2007 que le président de l’Assemblée Nationale, Ibrahim Boubacar Kéïta, a décidé de porter la prime de responsabilité du questeur de l’Assemblée Nationale à 3 000 000F CFA.
Le budget de l’Assemblée Nationale est passé de 9 milliards pendant la législature passée à 12 milliards en 2015. Bien que nous n’ayons pas le budget 2016 de l’Assemblée, on peut affirmer sans se tromper que nous avions une assemblée aussi budgétivore que la présidence de la République. C’est ça le « Mali D’abord ». Et dire que certains de ces députés se plaignent de leurs conditions. Or, étant des représentants du peuple, les élus doivent refléter le niveau de vie des populations. Leur salaire ne doit absolument pas être misérable mais proportionnel à la vie quotidienne dans le pays. Ceci est d’autant plus important qu’il est inadmissible qu’un pays pauvre, où une crise financière sévit, puisse payer plus chèrement que les pays dit développés. C’est ce que les élus burkinabè ont compris. Reste à savoir si leur acte servira d’exemple…
Issa B Dembélé
Je pense qu’on a pas besoin de réduire ses dépenses publiques pour montrer qu’on est solidaire de la souffrance de son peuple. Notre gouvernement a conscience des aspirations de son peuple. Donc, il faut faire confiance au président pour sortie notre pays dans sa léthargie. Pour ce faire, il faut éviter les comparaisons à la con avec ses Etats voisins car nous n’avions pas les mêmes réalités.
Réduction des dépenses publiques en Guinée et au Burkina Faso : Et si le Mali s’inspirait de ses voisins… 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡
Il faut demander à ces pays de bien vouloir troquer leurs problèmes contre les nôtres et aussi de changer leur conditions sociales contre les nôtres. Le Mali ce n’est pas le Burkina, ce n’est encore moins la Guinée.
Les Maliens ont des aspirations des problèmes différents de ceux des guinéens aussi bien que ceux des burkinabés qui ne sortent pas de crise comme nous alors ce genre de comparaison ne tiennent pas la route. Ça relève vraiment de l’enfantillage! 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
” Réduction des dépenses publiques en Guinée et au Burkina Faso : Et si le Mali s’inspirait de ses voisins. ”
Je pense que lorsque ces deux pays ont réduit leurs dépenses publiques, ce qui implique forcement que des aspirations de la population sont laissées pour contre. Ce qui n’est pas du gout de celle-ci qui voit ces attentes non réalisées. Pour ce faire, nous suivrons pas un tel exemple.
« Elus pour nos poches ! » 🙄 🙄 🙄 😆 😆 😆 😆
Mon cher journaliste, les députés sont élus pour entre le porte-parole des populations à l’hémicycle. Et pour mener à bien leur mission, ils ont besoin de moyens c’est-à-dire un salaire et des primes. C’est tout à fait normal qu’ils gagnent un salaire à la hauteur de leur fonction. Alors ne tentez pas de faire croire le contraire.
Le régime actuel du Mali, un pays affaibli par une crise institutionnelle et sécuritaire, en est une illustration parfaite.
Raison pour laquelle le budget de la présidence de la République connaît une baisse. Elle est due à la création d’un chapitre budgétaire spécial détaché pour les services de la Sécurité D’État pour, dit-on, redynamiser des renseignements, dans le contexte actuel de lutte contre le terrorisme”.
Si la présidence diminue son budget pour le consacrer aux services de renseignements cela montre la réelle volonté de nos autorités de redynamiser ce secteur important dans la lutte contre le terrorisme.
Si le budget du pays a été revu à la hausse c’est parce que notre pays a plusieurs nouvelles prérogatives surtout concernant l’accord de paix, la sécurisation et autres. Il ne faut donc pas qu’on compare l’incomparable.
” C’est ça le « Mali D’abord ” 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
Mon cher journaliste, vous êtes libre d’interpréter ce slogan comme vous voulez. Mais, faire des comparaisons avec des pays dont les réalités sont différentes de la nôtre, je pense que c’est faire fausse route.
En plus notre population malienne croit de 3,6% par an. Le Mali est un pays sous-développé qui doit relever des défis multiples et variés. Ses finances publiques se caractérisent donc par une croissance régulière et importance des dépenses et une baisse continuelle des ressources régulières.Alors évitons de comparer notre sitation au autres pays
Si ce n’est pas dans mon pays je n’ai jamais vu de pays où on compare le budget de son pays à celui de d’autres. Nos pays ont des réalités et des préoccupations aussi diverses que différentes. C’est pour répondre à ses attentes que le budget est proposé à l’assemblée national pour débattre des différents compartiments avant de décider de l’adopter ou pas. Si nos députés ont à plus de 80% votés pour ce budget c’est qu’il réponds aux besoins du pays.
On ne peut pas diminuer nos dépenses mais on peut quand même l’améliorer, car Toute amélioration de la gestion des dépenses passe par l’implication des différents acteurs du processus budgétaire .
Je crois que vous avez raté votre vocation parce que des comparaisons de ce genre démontrent la carence intellectuelle de son auteur. Le Burkina Faso encore moins la Guinée n’a d’accord de paix à mettre à mettre en œuvre avec tout ce que cela implique comme dépense. Aussi vu le nombre de députés qui ont approuvé ce budget cela sous-entends qu’il approuvent aussi ce à quoi cet argent sera utilisé.
” Pour le confort du président ! ” 👿 👿 👿 😆 😆 😆
A mon avis, le budget de la présidence est votée en fonction des besoins de ladite institution. Alors qu’on veuille nous faire croire que ce budget est augmenté pour le confort du président, je dis non. Et cela ne voudrait non plus dire que le président n’est pas soucieux du bien-être de sa population. Une présidence a besoin de fonctionner. Et pour fonctionner, elle a besoin d’argent.
Les journalistes maliens aiment trop critiquer le gouvernement alors sachez que qu’il y a une réalité au Mali ,c’est la crise et le processus de paix .On ne peut pas mettre en place une réduction des dépenses publiques ici.
Mon cher journaleux tu l’as dit comparaison n’est pas raison. Il faut donc ouvrir un peu les yeux. Le Burkina te la guinée ont des réalités carrément différentes des nôtres. Notre pays est un pays où presque tout est à refaire dans les domaines les plus sensibles de la vie sociale. C’est trop ridicule de faire ce genre de comparaison. 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
On sait que les journalistes Maliens ne réfléchissent même pas avant de rédiger leurs articles.
Mais sachons que notre pays vient de sortir d’une crise alors on ne peut en aucun cas suivre leur exemples.
On reconnait la capacité d’un journaliste à travers ses articles et ces idées qu’il évoque.
Le Mali ,Le Burjkina et la Guinée n’ont pas les même réalitées du terrain.
Monsieur le journaliste, tous ceux ce vous disent dans vos articles sont loin de la réalité car, grâce à IBK le mali est dans une nouvelle phase d’évolution alors arrêter de comparer la situation du Mali à d’autre pays .
Pourquoi le budget de la présidence, qui devrait être normalement revu en baisse dans le contexte actuel de grave crise, est augmenté? FAUX ET ARCHI FAUX!
Dans le texte voté par les députés, l’enveloppe budgétaire de la présidence pour 2016 est de 14,17 milliards F CFA contre 16,45 milliards en 2015.
Arrêtez de nous mentir; les archives sont là et le budget na’ été voté il n’y a que 1 mois.
Certes, le Burkina et la Guinée viennent de poser un acte salutaire, mais cela ne voudrait pas dire que notre gouvernement n’est pas conscient des difficultés du moment de sa population. Alors, il faut éviter les comparaisons sans fondement. Ces deux pays ont leurs réalités qu’aient différente de la nôtre.
En plus du coton (12e producteur mondial en 2004) et de ses dérivés (graine de coton), le Mali est un important producteur de mangues (200 000 tonnes) dont une faible partie seulement est exportée (3 000 tonnes) malgré un énorme potentiel. C’est un gros producteur et exportateur de bétail dans la région. L’or est la première source d’exportation du pays, devant le coton et le bétail.
Avec IBK on cherche à évoluer et non à être les mendiants de l’Afrique.
L’activité économique est surtout limitée autour de la région fluviale irriguée par le fleuve Niger. Environ 10 % de la population est nomade et environ 80 % travaillent dans l’agriculture ou la pêche. L’activité industrielle est concentrée autour des activités agricoles. L’immigration constitue une très importante manne de revenu.
Ce que nous avons dévélloppés en moins de 2ans de reigime d’IBK aucun de ces 2 pays n’a fait le tièr du quart
Alors encourageons IBK
Les députés ont voté le vendredi 18 décembre, la loi de finances 2016, par 117 voix pour (sur 147 députés) 21 contre et 0 abstention.
Ce vote démontre que les 3/4 des membres de l’hémicycle sont d’accords sur les investissements qu’il y a à faire. Notre pays plusieurs problèmes auquel l’état doit pouvoir répondre.
Concernant l’augmentation du budget il y a des ajustements qui ont été fait pour répondre à certaines exigences par exemple au niveau de l’armée. Grâce à une dotation de la loi de programmation militaire, le budget de la Défense qui est de 182,400 milliards passera à 211,45 milliards en 2016”.
Parce qu’il faut que le budget de l’armée soit rehaussé pour que les forces de défenses et de sécurités puissent avoir de plus en plus de moyens pour être plus efficace dans leurs actions.
” L’Afrique a encore des dirigeants qui essayent tant bien que mal de s’adapter à la situation de leur pays. ”
Effectivement, il faut s’adapter à la situation qui se présente. Mais dans le cas d’espèce de notre pays, je pense que nos dirigeants ont tenu compte de la situation actuelle de notre pays avant d’approuver ce budget. Et les besoins du moment sont énormes au vue de la crise que nous connaissons, ce qui a valu une augmentation du budget. De grâce mon cher journaliste, arrêtez de faire des comparaisons stupides…
Pour ma part, il arrive parfois qu’inspire de quelqu’un ou de quelque chose dans la vie pour avancer. Cependant, lorsque ce journaleux préconise qu’on se serve de l’exemple de la Guinée et du Burkina qui ont réduit leurs dépenses publiques, je pense que nous n’avions pas les besoins sans oublier que nous revenons d’une crise et que tout est à reconstruire. Donc, ce n’est pas un exemple à suivre.
Mon cher journaliste, sachez que l’augmentation du budget est toujours fonctions des besoins du pays. Donc, faire une comparaison de notre économique et celle de la Guinée ou que sais-je encore ne tient pas la route.
” Comparaison n’est certes pas raison, mais cet exemple prouve à quel point IBK reste attaché aux dépenses de prestige au détriment du contribuable public qu’il entend lester de plus de 19 milliards cette année contre 9 milliards en 2014. ” 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Mon cher journaliste, vous aviez dit que comparaison n’est pas raison. Pour votre gouverne, les réalités et les aspirations du moment du Mali ne sont pas les mêmes. De grâce, arrêtez votre comparaison à la con.
Cher journaliste véreux,sachez que les Burkina et la Guinée ne sont pas des exemples économiques que ontre pays doit suivre.
Alors,trouvez autre chose pour essayer de dénigrer le président IBK car celui là ne passe pas.
Pour votre information c’est le gouvernement IBK que l’économie qui a été assainie. Le FMI a salué cet exploit et a même octroyé une aide de 5,5 milliards pour la relance économique.
Donc il faut revoir la signification d’un budget et son fonctionnement
Nos journalistes malhonnêtes doivent savoir que le budget est ce qui prend encore toutes les dépenses du pays.
Je voudrais donc savoir quel est le domaine dans lequel ils voudraient que le gouvernement diminue les dépenses étant que tout est priorité dans notre pays.
Le Koulouba n’est pas un domaine privé du président donc pour sa réhabilitation le ministre Igor a abusé de la confiance du président pour se remplir les poches.
Le président va améliorer les conditions de vie de son peuple.
Je rétorque aussi que comparaison n’est pas raison, Voilà pourquoi ces 2 pays ne peuvent pas atteindre le niveau de développement de notre pays.
Lorsqu’on veut se comparer à quelqu’un,il faut s’arranger pour que cette personne soit en avance sur toi;ainsi tu essaieras de faire comme lui et tu tu t’amélioreras.
notre pays doit donc prendre l’exemple sur les pays phares de la sous région et non sur les derniers de la classe.
Dommage monsieur le journaliste car vous êtes hors sujet.
Comparaison n’est certes pas raison, mais cet exemple prouve à quel point IBK reste attaché aux dépenses de prestige au détriment du contribuable public qu’il entend lester de plus de 19 milliards cette année contre 9 milliards en 2014. Si le chef de l’Etat malien pouvait s’inspirer de l’exemple modèle de son homologue du sud-ouest ! 😀 😀 😀 😀 😀 😀
🙁 🙁 🙁 Les années ont passé et les réalités du pays ne sont plus les mêmes. Un budget ne signifie l’argent de poche du président mais pour servir le pays.
Cela prend en compte les investissements, fonctionnement et tout le reste.
Notre pays doit se comparer aux pays comme la Cote d’Ivoire, le Nigeria pour ne citer que ceux-là qui ont un budget de plus 5.000 milliards.
Il faut comparer les salaires minables de nos fonctionnaires à leur fonctionnaire. Espèces de bornés.
Avant de suggérer que notre pays revoie ses dépense en baisse,nos journalistes feraient mieux de chercher à comprendre comment fonctionne le budget d’un État et qu’est ce qu’il prend en compte.
Il faut noter mon cher journaliste que nous sommes inscrits dans un processus de paix et cela demande assez de moyens. L’insertion et le cantonnement des ex-combattants sont pris en charge par l’état.
Vraiment nos journalistes sont des idiots!
Comment vouloir comparer notre pays à des pays qui n’ont pas les mêmes réalités que nous?
C’est vraiment dommage pour notre presse.
Il ne faut pas s’en tenir aux idioties de Tiébilé pour accuser la gestion budgétaire de notre pays. Le budget de la présidence est revenu à la baisse. Mais compte tenu de certaines situations du pays, il faut augmenter certaines parties afin de faire face à celles ci
Le président veut équiper notre armée. Pour cela il faut assez de moyens pour arriver à faire cela. Nos journalistes doivent savoir que les choses sont différentes dans les 2 pays et il est vraiment idiot de votre part de faire de telle comparaison
Si le président a rénové le pavillon présidentiel de l’Aéroport de Sénou c’est pour l’image de notre pays. Je me demande si ce journaliste a bien effectué un voyage à l’extérieur. Cet idiot de votre part de faire ce tel critique.
Je ne sais pas comment un journaliste peut être borné à ce point. Ces pays ont une réalités différentes de la nôtre. Nous devons investir et cela demande beaucoup de moyens donc il est temps que vous faites travailler vos têtes.
Les pays n’ont pas les même potentialité et les même besoins. Le mali ne peut pas être comme le Burkina Faso ou la Guinée. Donc IBK ne peut pas s’inspirer des dirigeants de ces deux pays. Mais néanmoins on veut que les dépenses de prestiges cessent.
Avant de demander à IBK de s’inspirer des dirigeants de la Guinée et du Burkina Faso, il faut plutôt l’inviter à adopter son propre système de faire changer ce pays. Je ne veux pas qu’IBK prend l’exemple de la Guinée ou du Burkina pour l’appliquer dans ce pays.
Vouloir comparer IBK à Alpha Kondé, c’est vouloir conclure avec le diable ;
Vouloir comparer IBK à Kondé, c’est vouloir cohabiter avec le diable ;
Vouloir comparer Le Mali au Burkina Faso, c’est vouloir crever sa propre fin ;
Vouloir comparer le Mali à la Guinée, c’est vouloir de la poudre aux yeux ;
Vouloir comparer IBK à Alpha Kondé, c’est vraiment le monde à l’envers.
On ne peut et on ne doit pas comparer deux pays différents. Le Mali doit adopter son propre système de changement.
Je pense qu’IBK doit rester lui-même, c’est le plus important. Il doit prendre en considération les faits des régimes passés en bien et en mal, voir le présent et le futur et fait une étude générale de la politique du pays. Cette ainsi qu’IBK saura quelle chemin emprunter et c’est cela qui sera très crédible pour le pays. Il ne doit s’inspirer de personne.
Monsieur le journaliste faite preuve de maturité et de modération. On dit souvent qu’en matière de journalisme que la manière d’écrire reflet la personnalité de son auteur, je crains que cela ne soit pas aussi votre cas sinon je dirai que vous êtes un journaliste corrompus, manipulé en plus de cela mal saint et idiot.
Voilà un journaliste ignorant. Un vrai journaliste doit être beaucoup plus cultivé. Le Mali est différent de la Guinée et du Burkina voisins. Nous sommes fiers de la gestion d’IBK et nous ne voulons pas qu’il diminue le salaire de nos fonctionnaires.
Moi je préfère la politique de sortir de crise qu’à élaborer IBK, je trouve que c’est meilleur. D’autant plus que les résultats commencent apporter leurs fruits avec plusieurs œuvres aboutissants. La gouvernance d’IBK est le système adéquat pour sortie le Mali de la crise multidimensionnelle.
Personnellement, je ne conseille ni à Ibrahim Boubacar Keïta, ni à aucun autre chef d’Etat de la sous-région de s’inspirer d’un autre président. Les réalités des pays ne sont pas les mêmes.
Hélas tu passes encore une fois de plus à côté de la plaque. Ta manière de voir et de raisonner est toujours déraisonnable. Fais preuve de maturité et de professionnalisme.
Les problème, les qualités et même les mentalités de ces pays différents. Le gouvernement malien fait de son mieux avec les dispositifs qui lui accessible pour la gestion de son pays. Le gouvernement malien est conscient des maux dont traverse le pays.
IBK ne peut s’inspirer de la Guinée, ni du Burkina Faso car sur le plan national et international les crises que travers ses deux pays sont différents et sont traité différemment même sur le plan international par la communauté internationale. Les deux pays ont des réalités très différentes donc monsieur le journaliste votre raisonnement est nul.
Attention la situation politique du Mali et ces deux sont différentes sont très différente. Depuis la veuille des indépendances le Mali enchaine des crie politiques,. Le Mali s’est vue un peu très seul depuis ses temps anciens et les multiples crises ont freiné l’évolution du pays.
IBK a toujours tenir sa promesse cela ne sera pas la première fois. Il a besoin simplement d’être soutenir par sa population dans tous ses actes. Les maliens doivent former une barre de fer d’acier derrière IBK et son régime, car l’avenir du Mali repose dans les creux de ses mains qui ouvre les portes d’un grand destin.
Les maliens veulent que leurs autorités fassent preuve de solidarité envers le peuple comme les dirigeants du Burkina et de la Guinée l’ont fait. Les dépenses de prestiges ne veulent absolument rien dire.
La situation politique du Mali est différents de celui des pays frontaliers. Le Mali traverse l’une des moments les plus difficile de son existence, la crise malienne ralentie de plus en plus l’émergence du pays.
Comparaison n'est pas raison, les pays n'ont pas les même problèmes. Le cas du Mali est différent de tous ces pays voisins, malgré cela le gouvernement malien fait de son mieux pour régulariser la situation.
Les dépenses de prestiges sont des freins au développement d’un pays pauvre. La Guinée a fait un bon exemple en ce qui concerne la réduction des dépenses de prestiges. C’est vraiment une bonne chose, quand les responsables d’un pays se montrent solidaires avec le peuple.
Comparaison n’a pas raison, mon cher journaliste. Le Mali n’est pas comparer à ces deux pays. Certes, les dirigeants de ces pays ont posé des actes patriotiques mais le Mali n’est pas près pour faire ainsi. Les dépenses de prestiges.
Les dirigeants de la Guinée et du Burkina Faso sont à remercier, encourager, féliciter et solliciter d’avantage pour les actes de solidarité envers leur peuple. C’est une bonne chose d’avoir des dirigeants qui se soucient beaucoup de leur peuple.
Les cadres de ces pays voisins, la Guinée et le Burkina Faso, sont à saluer pour ces actes patriotiques au nom de la solidarité vers le peuple. Le président de la république malien ne tardera pas à s'inspirer de cet exemple des pays voisins.
Les cadres de ces pays voisins, la Guinée et le Burkina Faso, sont à saluer pour ces actes patriotiques au nom de la solidarité vers le peuple. Le président de la république malien ne tardera pas à s'inspirer de cet exemple des pays voisins.
Les réalités des pays ne sont pas les mêmes. Le Mali ne peut pas s’inspirer de ces deux pays. Dans un pays qui se veut sans corruption doit mettre ses fonctionnaires dans des conditions pour les dissuader de se donner à la corruption.
ou est la société civile dans tout ça
Dans un pays voisin la rue a demandé le départ d un ministre pour un délit qu il a commis aux états unis
il est temps d interpeller le premier ministre pour qu il revoit a la baisse le train de vie de l état
Que toute la presse se mobilise pour dénoncer ce comportement odieux ds dirigeants maliens qui viennent aux affaires pour se servir
le mali est un cas special sans le cadre de la delinquance financiére
société civile de grace reveillez vous pour sauver le mali
les votes sont la seul solution apres ces 5 ans.Puisqu’ils ne sont pas venus par coup d’etat les urnes doivent parler en 2018 pour mettre fin a tous ces gabegies.
la population a un pouvoir mais elle ne saurai pas utilisee.Je me demande combien de malien liront cet article?
sans commentaires!!!!!! très bon article. Nous ne demandons que ce genre d’articles pour édifier le peuple. Courage à L’AUBE.
Monsieur le Premier Ministre: Le peuple malien vient de renouveler sa confiance en vous. Vous demande de mettre sur votre table la situation économique de l’éducation nationale. Cependant, la DRH de l’éducation ne fait que piller l’argent de l’école malienne en organisant des soit disant atelier et formations. Elle (DRH) demande à ses fournisseurs attitrés d’établir de faux documents que le département paye, tandis que rien n’a été livré. Les chefs DG et son Adjoint remplissent leurs poches. Mais en réalité, le directeur, lui il finance le fonctionnement d’un parti politique que même les plantons connaissent.PM: le peuple vous prie de bien vouloir instruire aux deux Ministres en charge de l’éducation de prendre des dispositions pour sauver l’argent des enfants de ce pays. Les “Mutations, orientations, les changements d’appellations sont obtenus quand tu donnes de l’argent. Mr le PM, trouve une solution définitive à cette catastrophe.
CES RÉVÉLATIONS SONT UN CRIME CONTRE L’ HUMANITÉ 👿 , UN GÉNOCIDE D’ UNE FORME PARTICULIERE 👿 , UNE HAUTE TRAHISON EN FAISANT DU PAYS UN CAMP DE CONCENTRATION NAZI Á CIEL OUVERT 👿 .
NOUS TENONS COMPTE, ET DOCUMENTONS…. 👿 IL N’ Y AURA PAS D’ OUBLI… 👿 .
on se pose toujours la question de savoir ce qui ne va pas avec les maliens…… une inconscience generalisee
Entre Ladji national et le fric, c’est une véritable histoire de dingue, parbleu ! Et malheur à celui qui n’y a rien encore pigé… 😀 😀 😀
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Pensées rebelles.
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