Homme politique, candidat malheureux, à l’élection présidentielle passée, Racine Thiam est aujourd’hui chargé à la communication de la présidence. Il informe et soigne l’image du président de la République. Ce poste qui est une récompense après son soutien en la cause d’IBK rime bien avec sa carrière. Car il fut d’abord responsable à la communication du multinational Orange Mali ; cette veste qu’il a accrochée à la patère en échange d’une carrière politique.
Vendredi dans la matinée, Racine Thiam, convie la presse malienne dans son écrasante majorité au secrétariat général de la présidence pour un point de presse. Objectif : s’exprimer sur les visites d’IBK en France et Inde et divulguer le prochain agenda du président.
En pesant les mots en un premier temps, il défend le bilan de la visite de son chef en France positif à la limite inédite, du jamais réussi par un régime depuis le Mali démocratique. Une démarche qui effleure l’opposition ; elle qui voit en tout venant d’IBK la nécessité absolue à jeter dans la poubelle. Avait-il besoin d’une telle sortie au moment où le pays est à feu de critiques entre les politiques (opposition-majorité-gouvernement) et aussi la société civile ? Non ! Le bon sens aurait été de ne plus revenir sur cette première visite dont les conséquences nous éloignent de l’essentiel. Notre pays souffre et nous devons le sortir de ce mal.
Thiam arrive en retard ! Toute chose contraire à sa mission… bondir le premier sur les faits à justifier, mais pas après IBK, le gouvernement etc. Effet, néant !
Thiam y va loin avec la promesse sûre que les prêts et dons annoncés à paris tomberont dans les semaines à venir. Tout est clair cette fois-ci contrairement aux conclusions de Bruxelles à travers lesquelles le Mali émergent était promis par IBK et ses inconditionnels. Et la suite, que de scandales reconnus par le chef qui sous les critiques même des pays greniers a fini par mettre certains sur le banc de touche. Devons –nous croire à ces promesses de paris ? Même si elles seront à notre disposition serviront-elles le Mali au lieu de tomber, comme à l’accoutumée, dans les poches de ces délinquants financiers dont le nombre qui entoure le président IBK est incalculable ?
Une chose est sûre. Bruxelles a été un échec. Thiam même le reconnait. Cela servira certainement d’alibi pour l’opposition à sabrer IBK et compagnons de nouveau ; car c’est son entourage qui le dit après elle ses critiques.
BY
La colère de dieu?
On peut aussi dire que c’est la réponse de satan.
Les pélerins du prochain pélérinage oseront ils encore simuler une lapidation de Satan?
Je trouve la simulation de lapidation de Satan par des adultes vraiment enfantin.
Le monde a t-il besoin de réligions?
Voilà des adultes qui font des milliers de kilomètres pour aller sadonner à ce rituel.
Et de retour au pays,ils se donnent le titre d’El Hadj comme si à partir de ce moment là,
ils sont devennus des Saints.
Pauvres africains!
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