[Vidéo] – La grosse colère de IBK à Addis-Abeba

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Le dernier sommet de l’UA à Addis-Ababa le 30 Janvier dernier fut le théâtre de ce qu’on pourrait qualifier d’incident diplomatique entre le Mali et l’hôte du sommet. Un officier chargé de la sécurité du sommet n’aurait pas reconnu le président malien Ibrahim Boubacar KEITA et l’aurait bousculé à l’entrée. Il en faut dix fois moins pour faire sortir IBK de son gong. Sa réaction fut des plus énergique, ne pouvant être retenu par le protocole, il a voulu lui même régler ce manque de considération dû à son rang de chef d’état officiellement invité. S’exprimant bien en anglais langue officielle locale il a tenu à faire savoir son agacement et son indignation. Il a menacé de surseoir à sa participation au sommet en insistant sur son désir d’avoir l’identité de l’officier de la sécurité afin de rendre compte a qui de droit. Le refus de l’officier aggravait la colère et l’impatience du président malien qui finira par laisser son protocole s’en occuper.

 
Depuis cet incident, quatre mois se sont écoulé mais aucune trace n’est parvenue dans la presse malienne. L’entourage du président sait bien garder les petits secrets du train train quotidien de la vie présidentielle. La leçon à tirer de cet épiphénomène est qu’il ne faut jamais chercher à commettre des écarts dans le protocole présidentiel quand le président se nomme Ibrahim Boubacar KEITA.
Un homme averti en vaut deux.

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Elijah De Bla

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6 COMMENTAIRES

  1. IBK a parfaitement raison de se montrer en colère car un tel officier doit être corriger,mais le protocole n’a pas joué son pleinement son rôle un président d’une grande nation comme le Mali ne doit pas être l’objet d’une imprudence,d’un acte nuisible due à un manque de précaution de la part du médiocre officier! il demande son nom pour le corriger autrement sanctions voir d’autres mesures! que les Maliens soient respectés!

  2. N’importe quoi, un faux problème, Monsieur le Président, tu ne peux pas venir dans une foule comme ça et ne pas être boousculé. Vas plutôt chercher des solutions à nos problèmes au lieu de vouloir créer un problème à un simple vigile. Vous valez mieux que ça

  3. Sans avoir vu l’incident… c’est difficile de se prononcer….

    D’ailleurs … ce n’est meme pas difficile de se prononcer… IBK A BIEN RAISON DE DEMANDER SON NOM … JE NE VOIS PAS DE PROBLEME AVEC CELA…

    Bien sure qu’il etait enerve… mais je ne trouve pas sa reaction au dela de la raison…

    Je suis meme surpris … qu’il s’est retenu… parce que le Ladji Bourama… de “KATI NE FERA PLUS PEUR A BAMAKO … EN TOUT CAS PAS A KOULOUBA…”…. THCIEH…. CA POUVAIT ETRE PIRE…. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    Moussa Ag,… c’aurait ete meilleur que la diplomacie s’occupe de ca … au lieu du president… mais je ne vois rien de disproportionne ici…

  4. C’est normal qu’il gère lui-même les questions protocolaires car Ladji Bourama est accompagné par un directeur du protocole qui n’a aucun sens de son métier, un vrai nullard amateur. Ladji ferait mieux de s’en éloigner le plus tôt possible car il risque de lui faire faire de sérieuses gaffes: il est déjà discrédité au sein de protocole d’état. Wait and see…

  5. Ben ladji boura a raison mais il a un peut exagerer parceque l’erreur est humaine et il devrait comprendre cela car la secuirte est pour faire son boulot en reconnaissant imperativement tous les chefs d’etat pour leur propre securite cela ne veut pas dire qu’un agent ne pas faire se tromper. Il devrait etre plus sage que ca et laisser le protocol s’occuper de cet incident malheureux.
    En tout cas ladji boura si vous devenez la source a un pauvre un agent de la securite a perdre son boulot, ca serait tres dommage et je n’aurai plus le petit estime que j’ai envers Vous. Vous devriez meme approcher cette personne et parker avec lui de l’incident et le clore.

  6. C’est honteux le comportement de IBK. C’est le comportement d’une personne colérique, vengeur et imbue de sa personne. Que voulait-il faire avec l’identité de l’officier ? Une correction exemplaire pour avoir offensé l’hégémonique Président Ibk ?
    Un homme d’État de son rang doit apprendre contrôler ses émotions et accepter les excuses.

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