Le Parti pour le Développement Economique et la Solidarité (PDES) est aujourd’hui dans une tourmente volontairement créée et entretenue par quelques individus qui ont décidé de ne voir que leurs seuls et propres intérêts au détriment de ceux du parti.
Crée il y a seulement quelques mois, avec des responsables politiques issus de divers milieux, le PDES aurait pu faire l’économie d’une crise de leadership, puisque tous affirment se retrouver autour du Président de la République. Le PDES est né il y a moins d’une année par la volonté d’hommes et de femmes qui se sont réunis autour du projet présidentiel pour défendre les acquits et l’héritage du Président ATT. Mais depuis quelques temps, ce parti met à nu des dissensions internes essentiellement pour le choix du leadership. Un parti issu de la convergence de diverses opinions et de clivages de fortes personnalités, devait pourtant s’attendre à de telles empoignades, d’autant plus que son parrain ATT, ne veut pas ou tarde à y mettre de l’ordre. Ne serait qu’en sortant de sa réserve et de son mutisme qu’il donne à plusieurs supputations et spéculations. Mais est-ce à dire que le PDES est pour autant au bord de l’éclatement, comme le pensent certains observateurs ? Oui et non.
Oui, si certains militants et militantes continuent de refuser de prendre le sens de la responsabilité et d’avoir la retenue nécessaire pour aller dans le renforcement de la cohésion et de l’apaisement au sein du parti. Non, si au contraire, militants et cadres perçoivent la nécessité de ne voir que les objectifs et les idéaux sur la base des quelles, le PDES a été crée. A savoir, la poursuite et la consolidation du Programme pour le Développement Economique et Social (PDES), projet présidentiel de société et de gouvernement. En effet, ATT, cet homme qui a pu donner à son pays et à son Continent, est aujourd’hui un symbole qui doit susciter la cohésion. Autour de qui ?
On sait que le Président de la République est au terme de son deuxième et dernier mandat constitutionnel, et qu’il ne peut briguer un troisième mandat. On sait également qu’Ahmed Diané Séméga, Président du parti, ne veut pas se lancer dans la course à la présidentielle. Mais les deux, parrains et président du PDES, ont besoin, tout comme les militants et cadres du parti d’une personnalité forte, jouissant d’un charisme indubitable, qui peut continuer inlassablement l’œuvre entamée. Aujourd’hui, il ne fait plus de doute pour personne que cette personnalité est celle-là même qui a fait ses preuves en tout lieu et tout temps. En effet, Jeamille Bittar, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a prouvé partout où il est passé qu’il est un homme clairvoyant, ingénieux, responsable et entreprenant. Un homme qui a le sens de l’Etat et la carrure nécessaire pour mener à bon port les objectifs du PDES. A la CCIM, il a su donner ses lettres de noblesse à une Institution qui était en perte de vitesse et suscitait la méfiance des opérateurs économiques. A la tête du CESC, depuis seulement quelques mois, il est entrain de transformer cette structure pour en faire une véritable Institution républicaine qui participe pleinement à la vie de la Nation.
Aujourd’hui, grâce à la vision, à la touche personnelle et aux efforts incessants de Jeamille Bittar, ces deux Institutions sont devenues des références. Battant, baptiseur et homme dialogue, il est aujourd’hui l’homme consensuel et providentiel dont le choix s’impose pour conduire le bateau PDES à très bon port.
Alors, militants et militantes du PDES, ne vous y trompez pas : Avec Bittar, vous faites le meilleur choix.
Ousmane Draméra, , militant du PDES, défenseur des œuvres d’ATT à Nyamakoro, rue 85- Bamako