Le président du Congrès national d’initiative démocratique (Cnid Faso Yiriwa Ton) et non moins ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Me Mountaga Tall, a profité du 11e Conseil national de son parti tenu le 25 mai 2014 à son siège à la zone industrielle, pour aborder des sujets d’actualité, notamment le dossier de l’avion présidentiel. Sur ce sujet, le président du parti du soleil levant a superbement ignoré la priorité d’un pays qui se relève d’une crise multidimensionnelle, pour justifier l’achat du Boeing présidentiel qui aurait coûté 20 milliards de nos francs pour le seul confort du président IBK.
L’opportunité d’acheter un nouvel avion présidentiel à 20 milliards de nos francs dans un pays qui sort d’une crise sans précédent, continue d’alimenter les débats et certains ministres ou autres proches collaborateurs du président IBK ne ratent aucune occasion pour tenter de justifier le bien-fondé de l’acquisition dudit Boeing.
Le président du Cnid Faso Yiriwa Ton, Me Mountaga Tall et non moins ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique fait partie de ce lot de défenseurs du président IBK.
En effet, lors du conseil national de son parti tenu le 25 mai dernier, Me Tall a, tant bien que mal, essayer de démontrer l’opportunité et la nécessité pour son chef de disposer de cet avion. Selon le président du Cnid, certains pays voisins comme l’Algérie, le Niger, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Sénégal et la Mauritanie possèdent tous un tel avion pour leur chef de l’Etat. C’est vrai, le président IBK, en temps normal comme les autres chefs de l’Etat, mérite d’être dans le confort. Mais, dans un pays en guerre contre des groupes rebelles et leurs alliés jihadistes, où notre armée a besoin d’être équipée pour faire face à sa mission régalienne de défense et de sécurisation du territoire national, le président IBK n’avait-il pas d’autres priorités que de s’acheter un avion à 20 milliards de Fcfa ? Cet argent englouti dans le seul confort du président IBK ne pouvait-il pas permettre à notre armée d’avoir au moins quelques hélicoptères de combat et des munitions ? Comme cela a été dit à plusieurs occasions, la priorité de notre pays n’était pas de disposer aujourd’hui d’un avion à 20 milliards de Fcfa. Car, la preuve est que notre armée sous-équipée, vient d’être mise en déroute par la coalition Aqmi, Mnla, Mujao, Hcua et Maa.
A ce titre, l’achat d’un avion présidentiel à 20 milliards de Fcfa ne saurait être justifié, quels que soient les arguments apportés par les défenseurs du président IBK, fussent-ils ministres.
Fombus
C'est ca la politique en Afrique chacun pour supporter le chef ou tu es virée quel kant soit ce kil afit
C’est petit et inacceptable de la part de Tall d’avoir un tel raisonnement: la myopie face à la situation au Nord du Mali. Ah, opportunisme quand tu nous tiens!!! C’est vrai que quand on voit comment il est venu au gvnmt, on ne doit pas s’attendre à autre attitude de sa part.
je n ai jamais vu un tall griot ! cherche ton pain mais ne ment pas. L e Mali n’a pas besoin d avion présidentiel aujourd hui il y a d ‘autres chantiers plus importants tu en sais quelques pour avoir visiter ttes les fac de l université de
bko. RESPONS, ETUDIANTS, PARENTS si Mountaga a eu le kilo de défendre l achat de l avion c est qu il se fiche éperdument de vous et de vos doleances
s
Me. Mountage continue sur sa lancée de faire le ”Griot” des Présidents. Après ATT, c’est le tour de IBK. Il lui faut un bon maître de Kora ou de NGoni à 4 cordes pour jouer du Nyaro peul pour IBK. C’est décevant, ces politiciens de seconde zone!!! Et dire qu’il vient de Ségou!!!
Bien dit……….
Mountaga me déçois !Apres ALpha konaré c est lui qui dois prendre les reines du pouvoir mais c est dommage quand tu as un coeur noir tu ne peux que t e en prendre qu a toi meme .Comprenez le apres sa honteuse defaite à segou lors des elections legislatives il est desesperé et désempare il cherchait un point de chute il l a eu . j n ai jamais su qu un intellectuel de son envergure est capable de se rabaisser de la sorte.
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