La cérémonie de la remise solennelle du projet de Constitution de la République du Mali a eu lieu, ce lundi 27 février 2023, dans la salle des banquets de Koulouba. Cet événement, placé sous la Haute Présidence du Chef de l’État, SE le Colonel Assimi GOÏTA, Président de la Transition, a enregistré la présence du Premier ministre, du ministre d’État, du Président du Conseil national de Transition, du ministre de la Refondation de l’État, chargé des Relations avec les Institutions, ainsi que des membres du Gouvernement.
À l’entame de ses propos, Fousseyni SAMAKÉ, Coordinateur de la Commission de finalisation du projet de Constitution de la République du Mali, a remercié tous ses collaborateurs ppour leur engagement et la qualité de leurs contributions. Le Professeur SAMAKÉ a saisi l’occasion pour expliquer la méthode de travail qui a prévalu tout au long de leurs activités, durant les quinze (15) jours qui leur avaient été donnés pour cette noble et exaltante mission.
Il a indiqué que les membres de la Commission de finalisation étaient animés d’une forte volonté pour la réalisation de ce projet. Ce qui explique leur participation sans failles aux différents travaux. Le Coordinateur de la Commission a souligné que l’avant-projet de Constitution a été amendé dans ses dispositions. « Des parties ont été supprimées, certaines fusionnées et d’autres reformulées. », a-t-il précisé.
Selon M. SAMAKE, certaines dispositions de l’avant-projet ont été simplement reformulées et des rajouts ont été également faits.
Grâce à ces amendements, le nombre d’articles de l’avant-projet finalisé a légèrement baissé. Ainsi, le projet remis comporte 191 articles contre 195 pour l’avant-projet.
Fousseyni SAMAKE a exprimé le souhait que ce projet soit l’acte fondateur d’un Mali nouveau.
Son discours a été suivi de la remise solennelle du projet de Constitution de la République au Président de la Transition.
Visiblement satisfait de recevoir ce document final, prenant en compte les préoccupations et les aspirations profondes de l’ensemble des Maliens, le Président de la Transition a indiqué que cette cérémonie de remise était l’aboutissement d’un processus de renouveau démocratique.
« Le document final, que je viens de recevoir aujourd’hui, cristallisera, à n’en pas douter, l’espoir de la nation tout entière quant à l’instauration d’une véritable démocratie », a expliqué le Chef de l’État qui reste convaincu que face « à la diversité des opinions et même des intérêts, des compromis sont possibles, des arbitrages sont tout aussi nécessaires ». Selon les précisions du Président GOÏTA, à toutes les étapes de la rédaction « de l’avant-projet de Constitution, nous avons tenu à donner un caractère pluriel et inclusif aux différentes commissions ».
« La base juridique du Mali Koura se raffermit progressivement, mais l’édifice national ne tiendra définitivement qu’avec l’engagement de tous et de chacun », a conclu le Président de la Transition.
PAR Présidence de la République du Mali
Alpha Omar Konare le grand farfelu qui a transforme la democratie Malienne en une machine corruption avec les premiers fonctionnaires milliardaires au Mali et qui a donne des galons de colonel a son fils tres farfelu Mala! Vraiment sangare tu dois avoir honte si tu avais une intelligence. Dommage!
Merci President Assimi et Prof Samake. President Assimi mille merci pour nous avoir redonne encore notre souverainite en nous libérant de la maudite Constitution Francaise de 1958 que des apatrides et nègres de service pour Paris nous avaient photocopie et impose sur le peuple Malien en 1992. Que vive le Malikura, que vive le President Assimi et que vive la Federation Burkina-Guinee-Mali.
“L’instauration d’une véritable démocratie”???
La véritable démocratie a débuté avec l’élection d’ALPHA OUMAR KONARE à la présidence de la République.
Après un quinquennat,les pratiques démocratiques ont révélé des insuffisances liées au SYSTÈME DÉMOCRATIQUE fondé par la LOI FONDAMENTALE du 25 février 1992.
Des constats d’insuffisance pour améliorer la pratique démocratique ont été faits,mais la LOI FONDAMENTALE reste en l’état.
LA PERSISTANCE DES INSUFFISANCES A DONNÉ DU GRAIN À MOUDRE AUX RESTAURATEURS.
Ils sont les thuriféraires de la dictature militaire.
Ils sont convaincus que la DICTATURE MILITAIRE a fait plus pour notre pays que l’ére démocratique,ne parlent jamais de son bilan économique,mais de l’armée qu’elle a laissée qu’on pense très forte.
LA NÉGLIGENCE À CORRIGER LES INSUFFISANCES A FACILITÉ LE RETOUR DES RESTAURATEURS AU POUVOIR À PARTIR DU 22 MARS 2012,DATE DU COUP D’ETAT CONTRE LE DEUXIÈME PRÉSIDENT DÉMOCRATIQUEMENT ÉLU.
IBK,un des éléments du mouvement démocratique proche d’ALPHA OUMAR KONARE,son ancien chef de gouvernement et ancien président de l’ADEMA PASJ au pouvoir,a basculé dans les rangs des RESTAURATEURS au constat qu’il n’est pas le candidat du président sortant.
Il est devenu le proche parent du dictateur MOUSSA TRAORÉ et FIGURE EMBLÉMATIQUE exploitée pour revenir au pouvoir.
Après le coup d’Etat contre ATT,les RESTAURATEURS ont compris que c’est le moment ou jamais de s’installer au pouvoir.
La FIGURE EMBLÉMATIQUE D’IBK est exploitée.
Il devient leur candidat contre le mouvement démocratique éparpillé entre le révolutionnaire radical OUMAR MARIKO et le techno politique SOUMAILA CISSÉ.
IBK,soutenu par les putschistes majoritairement sortis du prytanée militaire de kati c’est à dire une école militaire installée par la RESTAURATEURS,fait un plébiscite au deuxième tour.
À l’exercice du pouvoir des problèmes apparaissent dans les rangs des RESTAURATEURS.
IBK,à l’étonnement général,se range du côté des français qui lui imposent SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA honni par les thuriféraires du dictateur pour avoir activement participé à sa chute et l’harceler pendant sa détention.
Les français ordonnent, à raison, d’arrêter le putschiste SANOGO pour les crimes commis pendant la transition.
Lui et ses proches sont soit arrêtés soit poursuivis avec interdiction de sortir du territoire.
Pour eux IBK devient le traite à abattre.
Un deuxième soutien proche du dictateur MOUSSA TRAORÉ le chérif de NIORO accompagné de MAHMOUD DICKO,le chef des wahhabites,une confrérie encouragée à s’installer au Mali du fait d’une proximité entre MOUSSA TRAORÉ et les pays du moyen Orient.
MAHMOUD DICKO a dit dans une déclaration que si MOUSSA TRAORÉ m’appelle je cours pour répondre à son invitation car il est un des nôtres c’est à dire la communauté wahhabite.
LES DEUX RELIGIEUX PROCHES DE MOUSSA TRAORÉ ONT MOBILISÉ LA COMMUNAUTÉ MUSULMANE POUR IBK.
Le but était de barrer la route aux DÉMOCRATES qui ont levé les interdictions du mois de carême après la chute du dictateur.
IBK devrait les remettre en plus d’autres exigences des musulmans.
Ça n’a pas été fait les poussant à la révolte.
Un homme proche de MAHMOUD DICKO,son beau fils,KAOU JIM,a profité pour s’installer sur la scène politique malienne.
Un intrus,SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA,imposé par la France aux côtés d’IBK est particulièrement détesté par le chérif de NIORO et MAHMOUD DICKO.
Ils exigent qu’il soit dégagé du pouvoir.
IBK se trouve entre l’enclume des français et le marteau des deux religieux qui restent soudés tant que l’ennemi commun,SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA n’est pas dégagé.
Ce dernier, après le secrétariat général, occupe la primature.
CHOGUEL MAIGA,le visage incarné de MOUSSA TRAORÉ,est écarté du gouvernement pendant que l’ennemi intime, SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA,monte en puissance,rêve même de succéder à IBK.
Pendant ce temps,IBK se fait des ennemis dans son camp car son parti n’est pas content du rôle minimum qu’on lui attribue alors que les proches du fils KARIM KEITA sont choyés.
Ces éléments expliquent l’instabilité politique durant toute la présidence IBK.
Naturellement,pas de temps à consacrer à la production des idées notamment des réformes pour améliorer la pratique démocratique.
DES INSUFFISANCES DU SYSTÈME DÉMOCRATIQUE EN COURS DEPUIS 1992 S’ACCENTUENT AVEC IBK.
Il s’agit de l’enrichissement inouï d’un clan protégé par le PRÉSIDENT ROI.
UN MOUVEMENT POPULAIRE INITIÉ TROUVE UNE POPULATION LAVÉE DE SA NAÏVETÉ QUI A FACILITÉ LE PLÉBISCITE D’IBK EN 2013.
Des COLONELS proches du clan autour de KARIM KEITA profitent du mouvement populaire pour s’installer au sommet de l’Etat en obligeant IBK à démissionner.
En réalité,leur chef,le GÉNÉRAL MOUSSA DIAWARA,a appliqué une instruction venue de MACRON qui a pensé contrôler la transition par un coup d’Etat lui permettant d’élire facilement l’homme de main SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA.
UNE TRANSITION CONTRÔLÉE PAR LE M5 RFP FAISAIT PEUR À LA FRANCE SIGNIFIANT LA PERTE DU CONTRÔLE DE L’ÉTAT MALIEN.
Un évènement apparemment sans conséquence,le remaniement ministériel,provoque la colère des CINQ COLONELS qui ont compris qu’un processus de leurs mettre en écart est en cours.
BA DAW est déposé,ASSIMI GOITA, le chef putschiste prend sa place et fait appel aux ennemis de la France c’est-à-dire ceux écartés suite à la pression française,des proches de SANOGO.
Eux conseillent de prendre CHOGUEL MAIGA comme chef de gouvernement pour faire face à la pression française.
L’ennemi numéro un,SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA,est rapidement assassiné.
Une alliance tacite est faite avec les RESTAURATEURS.
Ces derniers contrôlent parfaitement le pouvoir.
S’ils organisent les élections,c’est pour passer le témoin aux démocrates.
Pas question,même s’il faut sacrifier la population.
UN PROCESSUS DE CONFISCATION DU POUVOIR EST EN COURS au lieu d’un PROCESSUS ÉLECTORAL permettant aux maliens d’élire leurs représentants.
Le premier acte du PROCESSUS DE CONFISCATION DU POUVOIR est la révision de la loi fondamentale.
Une manipulation pour discréditer les DÉMOCRATES doit permettre de faciliter l’élection d’un candidat du camp des RESTAURATEURS.
C’est pourquoi une campagne médiatique est menée contre les partis politiques.
Les élections sont retardées tant qu’une figure genre IBK n’est pas trouvée pour gagner aisément les élections.
Un effort est fait pour vendre la figure ASSIMI GOITA aux maliens.
Il doit nécessairement sécuriser le pays pour s’imposer aux autres candidats.
C’est pratiquement impossible.
C’est le hara kiri dans les rangs des RESTAURATEURS d’où des actions pour empêcher les DÉMOCRATES de s’exprimer.
S’ils organisent les élections dans le délai défini avec la CEDEAO,c’est passer le témoin de présidence de la République à un DÉMOCRATE.
S’ils échouent à les organiser,c’est affronter une deuxième fois la CEDEAO.
L’AVC risque d’être une épidémie dans les rangs des RESTAURATEURS.
Ils sentent qu’ils sont entrain de perdre le pouvoir.
S’ils refusent de partir par l’organisation des élections,il sera une exigence d’utiliser la force.
Un MOUVEMENT DÉMOCRATIQUE BIS est une nécessité pour obliger les RESTAURATEURS à abandonner les léviers de la primature afin qu’un homme neutre soit installé à la présidence de la République.
La démission d’ASSIMI GOITA doit être à l’ordre du jour,si on veut reprendre le processus démocratique arrêté le 22 mars 2012 après le coup d’Etat contre ATT.
Alpha Omar Konare le grand farfelu qui a transforme la democratie Malienne en une machine corruption avec les premiers fonctionnaires milliardaires au Mali et qui a donne des galons de colonel a son fils tres farfelu Mala! Vraiment sangare tu dois avoir honte si tu avais une intelligence. Dommage!
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