En élisant le président IBK, à la tête du Mali, les Maliens exprimaient leur farouche détermination pour l’instauration d’un nouveau cadre de vie, d’une justice saine, d’un Etat fort, basé sur le respect des normes de bonne gouvernance. Autrement dit le changement. Le vrai, et pour de bon. En terme clair, le président IBK se voyait accorder toute la confiance de la nation malienne d’entreprendre les actions pour réaliser les attentes. Le défi à relever était d’abord de prendre l’initiative d’imposer l’autorité de l’Etat. C’est pourquoi, depuis sa prise de fonction, on assiste jour après jour à des actions rigoureuses pour faire régner l’ordre non seulement au sein des services publics, mais aussi au niveau des forces armées et de sécurité.
Des actions similaires ont été également entreprises dans les autres secteurs de la vie socioprofessionnelle. Mais voilà que, ce même peuple tente de rebrousser chemin en plein jour. Pourquoi ? Pour certains observateurs avertis de l’évolution politique du Mali, beaucoup sont ces maliens qui ont compris à l’envers le sens du changement. La majorité de nos concitoyens estiment que le changement prôné signifierait la mise à sa disposition des meilleures conditions de vie. D’accord, mais cela nécessite des préalables. En ce sens que le changement prôné ne saurait déboucher que sur de simples slogans. Il y a lieu de se soumettre aux exigences de cette problématique. Et les Maliens doivent savoir que ce changement n’a pas de prix, mais un coût extrêmement cher. Comment ?
Il s’agira pour les Maliens de savoir que tout processus de développement passe en premier lieu par le respect des normes réglementaires et législatives. Et au peuple de comprendre que le principe de « nul n’est et ne sera au dessus de la loi » n’est pas fortuit. Il s’inscrit dans le cadre du redressement du comportement du Malien. Désormais, seul le travail et rien que le travail sera le socle de la réussite. Dans cette optique les uns et les autres doivent comprendre que la lutte contre la corruption et la délinquance financière occupe une place de premier choix dans la réalisation du changement.
Il est donc incompressible de voir et remarquer que ces mêmes personnes qui ont crié haut hier pour le changement, se permettent de murmurer le contraire aujourd’hui. Ce qui est important de souligner, c’est que la mise en exécution des initiatives du redressement du pays doit se faire dans les règles de l’art. Il sera donc regrettable que cette noble mission d’IBK soit transformée par d’autres pour régler des comptes personnels et exercer des abus de pouvoir. Si les Maliens veulent réellement que ce changement soit une réalité, ils doivent accepter la douleur et non la facilité.
Jean GOÏTA
😳 MUSELER LA PRISE DE CONSCIENCE ET BLOQUER LES PROCESSUS DE REVEIL DES CONSCIENCES, PAS LA JUSTICE, SINON JUGER TOUT DE SUITE AMADOU AYA SANOGO ET AUTRES ACCUSES A TORD ET TRAVERS SANS PREUVES DIRECTES OU MEMES INDIRECTES ALORS LES DEUX CAMPS DOIVENT ETRE AUX ARRETS , PAS SEULEMENT LES MILITAIRES ROUGES/VERTS MAIS AUSSI LES POLITIQUES DES MEMES COULEURS ❗
😉 LES TOMBEURS DU SYSTEME-DE-CORRUPTION ATT-ALPHA-ATT (MAINTENU PAR LES DITS PARTENAIRES ECONOMIQUES DE L’ AFRIQUE= EXPLOITATEURS -ESCLAVAGISTES-SANS VERGOGNE), SONT DES HEROS (SANOGO, YAMOUSSA, KONARE, DEMBELE, ET AUTRES… LE MALI VOUS SERA RECONNAISSANT UN BEAU JOUR ❗
😆 le malheur des africains est de ne pas vouloir appeller les choses par leurs noms ❗
😆 le Grand Malheur du Malien est de connaitre son enemi et lui permettre de dicter et de l’ envahir a Senou a Gao a Bamako a Sevare sous le nom de Minus-ma ou Serval ❗
😆 LES GRANDS MALHEURS DE L’ AFRICAIN ISLAMISE OU CHRISTIANISE ET LATINISE SONT:
➡ SON INTERPRETATION DE LA VIE ET DE LA MORT (CHOSES NATURELLES) ❗
➡ SA SINGERIE ET SON REFU DE SOI MEME, CAR ON LE LUI A INOCULE LA NEGATION DE SES VALEURS CREATIVES ET CASSE LE BACKBONE POUR QU’ IL NE SOIT PAS UN LEADER EN AUCUN SENS ❗
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