Primaires de l’Adema/Pasj : La démocratie à la maison d’abord

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Depuis le 12 mars dernier l’Alliance pour la démocratie au Mali (Adéma/Parti africain pour la solidarité et la justice) est entrée de plain-pied dans le processus de désignation de son candidat à la prochaine élection présidentielle au Mali annoncée pour juillet 2013. Le nom de celui qui aura la lourde responsabilité de porter les couleurs de l’Abeille à ce scrutin post-crise, sera, en principe, connu au plus tard ce soir à la faveur d’une réunion du comité exécutif (CE).

Oumar Ag Ibrahim, membre de la Commission de bons offices
Oumar Ag Ibrahim, membre de la Commission de bons offices

Les spéculations vont bon-train sur les choix possibles parmi la vingtaine de candidats ayant postulé à ce sujet. Pour ne pas faire les choses à moitié, la commission de bons offices (CBO) commise à cette délicate tâche par le CE a édicté un ensemble de 21 critères visant les uns les autres à moraliser la vie politique à travers des acteurs peut-être pas saints mais auxquels on pourrait reprocher très peu de choses.
Hier, dans ces mêmes colonnes, nous annoncions un probable duel entre deux des 19 candidats en lice et dont aucun n’avait renoncé officiellement à ses ambitions de défendre les couleurs du parti. Il s’agissait notamment du 1er vice-président, Ibrahima Ndiaye dit Iba et le secrétaire aux affaires juridiques, Me Kassoum Tapo également 4e vice-président de l’Assemblée nationale.
Il reste entendu cependant que le choix définitif incombe au CE et la date impartie à cet effet expire ce 10 avril 2013 à zéro heure après la prorogation du délai initialement accordé à la CBO, dirigée par Oumarou Ag Mohamed Ibrahim, président du Haut conseil des collectivités (HCC).
La démarche n’est pas nouvelle pour la formation politique, car, faut-il rappeler que depuis le congrès de 1999, le parti d’Alpha Oumar Konaré a fait le choix historique de ne pas cultiver l’esprit de “candidat naturel” à une élection.
C’est ainsi qu’à l’issue d’une convention épique le parti majoritaire d’alors avait opté pour Soumaïla Cissé au détriment de Soumeylou Boubèye Maïga. Pour la présidentielle avortée de 2012, le même processus, mené de façon consensuelle cette fois-ci, avait permis de désigner le Pr. Dioncounda Traoré pour défendre les couleurs du parti dont l’emblème est constituée d’une Abeille solitaire sur un fond rouge-blanc.
A la date d’aujourd’hui, l’Adéma/PASJ est le seul parti politique à organiser des primaires en son sein pour le choix de son candidat à l’élection du président de la République. Sachant qu’ailleurs, tous les autres partis politiques s’identifient à des personnalités politiques généralement principal bailleur de fonds du parti, il va de soi que la démarche constitue en elle-même un acte de courage politique et se veut démocratique, malgré les insuffisances et lacunes qu’on pourrait à tort ou à raison lui trouver.
La démocratie n’est-elle pas la recherche permanente du choix de la majorité ? Si oui, alors il s’agit d’améliorer ce qui se fait actuellement à l’Adéma pour que notre système démocratique puisse véritablement en bénéficier.
Bréhima Sidibé

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ADEMA/PASJ
Le candidat connu aujourd’hui
C’est aujourd’hui que la commission de bons offices de l’Adéma/PASJ rendra public le nom du candidat retenu pour la présidentielle de juillet 2013. Ça devrait se faire lors de la réunion hebdomadaire du comité exécutif (CE).
Le temps presse et les états-majors des partis politiques sont à pied d’œuvre pour être dans le timing de la présidentielle de juillet 2013. Si dans beaucoup de formations politiques, le candidat est déjà connu depuis l’année dernière, tel n’est pas le cas à l’Adéma où le candidat du parti à la présidentielle avortée du 29 avril 2012 est devenu président d’une transition dont les clauses lui interdisent d’être en course.
C’est dans ce contexte que 19 candidats se sont présentés à la candidature du parti. La commission de bons offices, dirigée par Oumarou Ag Mohamed Ibrahim Haïdara, a tout mis en œuvre pour obtenir le consensus dans un premier temps, mais contrairement à l’année dernière, aucun candidat n’a daigné se désister, chacun croyant son heure arrivée.
La commission, face à cette difficulté, a été obligée de prendre l’avis des différentes coordinations du parti. De ces consultations sont sortis 21 critères qui brossent le portrait-robot du candidat souhaité par la base.
Sur la base de ces critères, la commission a fait une synthèse pour se retrouver avec un carré d’as dans un premier temps, composé, dit-on, d’Ibrahima Ndiaye, Me Kassoum Tapo, Ousmane Sy et Dramane Dembélé.
Selon les dernières nouvelles, elle était arrivée à sortir deux candidats que sont les deux premières personnalités citées. Elle a consulté Dioncounda Traoré et Alpha Oumar Konaré. Forte de toutes ces actions, elle rendra public le nom de l’heureux désigné.
Chaque candidat croise donc les doigts et attend. Ils ont tous signé aussi un acte d’engagement les amenant à se plier au choix de la commission.
Abdoulaye Diakité

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11 COMMENTAIRES

  1. Cheick Oumar Diarrah, le politologue avait juste avant la chute de Moussa publie un livre BILAN D UNE GESTION DESASTREUSE DE L ETAT. Nous avons l impression que les DEMOCRATES PATRIOTES ET SINCERES se sont inspirer negativement des enseignements tires de ce livre o combien bien ecrit.ADEMA ET SES COMPLICES SONT DISQUALIFIES POUR LA GESTION DES AFFAIRES PUBLIQUES AU MALIBA. ILS DOIVENT SE FAIRE HARAKIRI SINON LA BOUCLER POUR TJOURS.

  2. Pour les prochaines primaires l’Adema doit aller jusqu’au bout de sa logique en donnant la possibilité aux militants du parti d’élire leur candidat. On ne peut faire la démocratie à moitié. Car, aujourd’hui nulle part dans les textes de ce parti, il est dit que cette tâche incombe à une quelconque commission même de bons offices. Pourquoi enfreindre chaque fois aux textes que le parti s’est librement donnés? Les textes sont faits pour être appliqués, sinon amendés ou simplement abrogés. Voilà, à mon avis ce qui doit être amélioré en premier pour l’organisation de primaires à l’avenir. Les dirigeants du parti en auront-ils le courage?

  3. vous êtes les ennemis de l’Adema. Sinon, vous savez pertinemment que Ousmane SY ne peut-être le prochain Président de la république du Mali. Alors pourquoi vouloir incister tant pour casser ce qui reste de l’Adema? Il est un acteur clé de la transition, donc forclos pour être candidat à toutes les élections de sortie de transition. A force de s’entêter, il va conduire son parti à la dérive. Mais à quoi bon donner des conseils à un agonissant? Chi ban tô tè ladikan min!

    • c’est toi peu etre qui décide qui est président qui ne l’est pas c’est plutot toi qui désire casser l’ADEMA CAR TU NE PEU PAS ETRE UN OUSMANE SY AUJOURDHUI IL TE BAT SUR TOUS LES PLANS vOUS NE VOUS ETES JAMAIS POSE LA QUESTION DE SAVOIR POURQUOI DIONCOUDA L A NOMME LA BAS C EST PARCEQUE C EST LE MEILLEUR D ENTRE VOUS et au Mali actuellment on a besoin des meilleurs nous avons dépassé ce débat d’acteur de la transition l ‘essentiel et l important est de savoir s ‘il a les capacité ou pas et je dirais oui vu son parcours et sa notoriété qui vous dépasse de loin vous avez du chemin à faire encore n ‘ayez pas peur il ne vous mangera pas il mettra seulement fin a vos sales méthodes quand il aura les rennes

  4. M. OUSMANE SY (MALI),

    LAUREAT DU PRIX INTERNATIONAL ROI BAUDOUIN POUR LE DEVELOPPEMENT 2004-2005

    ”pour la force de sa vision et le courage de ses idées au sujet de la gouvernance en Afrique, et pour l’originalité de ses actions au Mali où, par un processus participatif de décentralisation et l’organisation d’élections transparentes, il est parvenu à créer un cadre stimulant une meilleure gestion publique et une stabilité renforcée, deux conditions essentielles au développement.”

    Ousmane Sy, né en 1949, Malien, est la figure de proue de la décentralisation et de la réforme de la gouvernance dans son pays. Mais il l’est également au niveau de la sous-région de l’Afrique de l’Ouest, où il plaide pour que les réformes mises en œuvre aux niveaux local et national aillent de pair avec des réformes au niveau régional.

    Diplômé en agroéconomie et développement agricole, docteur en développement économique et social, Ousmane Sy est chargé de programme du PNUD au Mali de 1987 à 1993. De 1993 à 2000, il pilote la « Mission de décentralisation et des réformes institutionnelles » chargée de conduire ce processus voulu par le nouveau pouvoir démocratique. En 2000, il entre au gouvernement comme ministre de l’Administration territoriale et des Collectivités locales, ce qui lui permet de convertir le travail technique en travail politique. Il est également chargé d’organiser les élections présidentielles de 2002.

    Un ancrage local, un retour à la diversité

    Au début de l’opération de décentralisation, le Mali comptait 19 communes urbaines. En 1998, 703 communes avaient été instaurées, en impliquant les populations locales dans leur création. Aujourd’hui, une dizaine de partis participent à la gestion publique et exercent des responsabilités à différents niveaux : une diversité politique s’est installée à travers la décentralisation.

    Ousmane Sy résume l’enjeu : La décentralisation permet assurément de consolider le processus démocratique, en élargissant sa base. Elle l’ancre au niveau local, en soumettant la démocratisation à l’épreuve des réalités de l’échelle locale. Elle constitue également un levier pour la dynamisation de l’économie locale, en rapprochant les décideurs des acteurs locaux. (…) Désormais, les décideurs sont des proches, issus du terroir, et non plus des gens nommés par le pouvoir central. De plus, l’interpellation des pouvoirs locaux peut se faire dans les langues régionales : la décentralisation a été synonyme de reconnaissance de la diversité linguistique et culturelle.

    Le projet de décentralisation a effectivement servi de base aux négociations avec les mouvements rebelles des populations touaregs dans le Nord du pays. Il a permis de satisfaire les revendications de ces mouvements portant sur la reconnaissance de leur existence : la décentralisation est une réponse aux questions que pose la diversité. Celle-ci peut ainsi mieux s’exprimer. Il ne faut pas oublier que la nation malienne tire ses racines de vieux empires qui, dès les 8e et 9e siècles, s’étaient bâtis sur de vastes espaces régionaux, entre l’Atlantique et le Niger, de la lisière du désert au Liberia : l’empire du Ghana, du Mali, l’empire Songhaï… La décentralisation a permis à des communautés de retrouver des identités très anciennes.

    Un modèle exportable ?

    Fort de son expérience, Ousmane Sy a fondé avec d’autres africains le réseau « Dialogue sur la Gouvernance en Afrique », qui couvre actuellement 14 pays d’Afrique occidentale et centrale. Il préside depuis 1992 la Fondation rurale pour l’Afrique de l’Ouest (FRAO). Il a aussi créé son propre centre d’expertise et de conseil, le CEPIA (Centre d’expertises politiques et institutionnelles en Afrique).

    Beaucoup de pays d’Afrique ont pour point commun la mainmise d’une minorité sur les pouvoirs de décision et de gestion. Ils vivent une crise commune née de la centralisation héritée du pouvoir colonial. La décentralisation peut y apporter une réponse. En même temps, elle ouvre un débat fondamental sur le rôle et la place des autorités traditionnelles. C’est au tour de l’Afrique de trouver des réponses à cette question sur laquelle on a trop longtemps fait l’impasse.

    Aujourd’hui, j’accompagne une expérience au Tchad et une autre au Togo. Mais je n’y amène pas de recettes. Le plus important, c’est de mettre en avant un processus, une approche. Le premier principe que nous pouvons expliquer à d’autres, c’est que nous avons assumé la décentralisation comme une réforme politique et non pas comme une simple réforme administrative. Le deuxième, c’est que nous avons accepté d’ouvrir cette réforme à toutes les couches de la population. Pour cela, nous avons dû miser sur la communication. Le troisième veut que l’on accepte de tout mettre à plat, en faisant attention que cela ne mène pas au déchirement du pays.

    Le réseau « Dialogue sur la gouvernance en Afrique » met en commun les expériences développées au niveau local dans différents pays de l’Afrique de l’ouest, dont certaines sont plus anciennes que la décentralisation réalisée au Mali. Très vite, ces acteurs se sont rendu compte que la question de la gouvernance ne concerne pas seulement les Etats mais se pose aussi en termes d’intégration régionale : nos Etats sont trop loin des populations pour pouvoir agir sur le changement, la décentralisation s’impose donc à eux; mais ils sont aussi trop petits pour compter seuls face aux enjeux mondiaux de changement.

    Le changement est possible en Afrique

    Le message d’Ousmane Sy est clair, et sa conviction profonde : Le changement est possible en Afrique, malgré les images et l’actualité négatives qui engendrent trop souvent un afro-pessimisme. Tout mon discours, tout mon travail consistent à montrer que les changements sont possibles, à un certain nombre de conditions parmi lesquelles la décentralisation, une intégration des pays et une meilleure gouvernance s’inspirant du vécu des Africains figurent en bonne place.

  5. Après Dioncounda, pourquoi Ousmane SY est notre meilleur candidat pour la victoire
    (Les 22 raisons)

    1. Il a la légitimité historique, car ayant été là depuis le début de l’association et du Parti ADEMA-PASJ ;

    2. Il a toujours été d’une grande fidélité au Parti malgré son désaccord avec certaines décisions et choix faites au sein du Parti ;

    3. Il a toujours accepté et à assumer toutes les missions du Parti avec dévouement et disponibilité ;

    4. Il a toujours fait preuve d’intégrité et défendu les principes et valeurs du Parti et de la démocratie ;

    5. Il a toujours respecté et appliqué les orientations et décisions du Parti, même celles avec lesquelles il n’était pas d’accord ;

    6. Il a été l’un des rares hommes politique au sein du Parti a désapprouvé ouvertement le choix du Parti a accompagné le régime d’ATT et l’histoire vous a donné raison ;

    7. Il est la personne la mieux indiquée pour garantir la refondation du Parti sur les valeurs et les idéaux qui ont prévalus lors de sa création ;

    8. Il est un homme d’expérience tant sur le plan politique que professionnelle ayant le respect et l’estime des citoyens maliens bien au delà même du Parti ;

    9. Il a été un ministre emblématique de notre Parti (père de la décentralisation au Mali), l’une des plus grandes réussites institutionnelle au Mali et en Afrique ;

    10. Sa valeur et ses compétences en Gouvernance et Décentralisation ont été reconnues sur le plan international (Lauréat du Prestigieux Prix Baudouin en 2004-2005) ;

    11. Il croit en la jeunesse et aux femmes pour l’avenir du Parti et propose un projet pour toute la jeunesse du Mali et les femmes (un nouveau contrat) ;

    12. Il a une vision claire et précise pour sortir la Mali de sa situation actuelle (son ouvrage « Reconstruire l’Afrique, vers une nouvelle gouvernance fondée sur les dynamiques locales») et dispose de tous les atouts pour cela;

    13. Il a un sens très élevé de la responsabilité, du respect du bien public, de la morale et d’éthique ;

    14. Ses prises de positions courageuses et clairvoyantes par rapport à l’orientation stratégique du Parti, suite à la défaite en 2002, font de lui le porte étendard idéal pour notre Parti aux yeux de la majorité des citoyens ;

    15. Il a toujours été un homme de conviction et ardent défenseur des principes démocratiques au sein du Parti et dans le fonctionnement des institutions du pays ;

    16. Il est tout à la fois très moderne (informatisation de son ministère dès 2001, page facebook, blog, internet) et enraciné dans nos traditions et valeurs ancestrales (honneur, respect de la parole, modestie, responsabilité, disponibilité, don de soit..) ;
    17. Il connaît parfaitement le Mali profond et a été en contact avec les réalités locales et les problèmes de développement à la base durant ces 20 dernières années;

    18. Il est de ceux qui pensent que les valeurs morales et éthiques doivent toujours prévaloir dans le choix des responsables et non le volume de leur portefeuille ou des considérations claniques ou familiales ;

    19. Il est le mieux indiquer pour assurer la transition des générations au sein du Parti en donnant la priorité aux jeunes et aux femmes, mais sur la base du mérite et non du clientélisme ;

    20. Il est le candidat le plus en même d’assurer la victoire au Parti et de fédérer autour de sa personne de nombreux alliés en dehors du Parti ;

    21. Il est le candidat le plus consensuel, après Dioncounda pour préserver l’unité et la cohésion du Parti gage de tout succès électoral comme l’histoire du parti nous l’a démontré ;
    22. Il a la confiance de Dioncounda, symbolisée par le choix porté sur personne pour occuper le poste stratégique de Secrétaire Générale de la Présidence de la République

    L’ASSURANCE POUR BATTIR ENSEMBLE NOS FUTURES VICTOIRES

    • Ousmane SY ne peut pas être le prochain Président de la république du Mali. Il ne doit même pas être candidat si on avait encore un minimum de respect pour nos institutions. Alors pourquoi vouloir incister tant pour casser ce qui reste de l’Adema? Il est un acteur clé de la transition, donc forclos pour être candidat à toutes les élections de sortie de transition. A force de s’entêter, il va conduire son parti à la dérive. Mais à quoi bon donner des conseils à un agonissant? Chi ban tô tè ladikan min!

      • c’est toi peu etre qui décide qui est président qui ne l’est pas c’est plutot toi qui désire casser l’ADEMA CAR TU NE PEU PAS ETRE UN OUSMANE SY AUJOURDHUI IL TE BAT SUR TOUS LES PLANS vOUS NE VOUS ETES JAMAIS POSE LA QUESTION DE SAVOIR POURQUOI DIONCOUDA L A NOMME LA BAS C EST PARCEQUE C EST LE MEILLEUR D ENTRE VOUS et au Mali actuellment on a besoin des meilleurs nous avons dépassé ce débat d’acteur de la transition l ‘essentiel et l important est de savoir s ‘il a les capacité ou pas et je dirais oui vu son parcours et sa notoriété qui vous dépasse de loin vous avez du chemin à faire encore n ‘ayez pas peur il ne vous mangera pas il mettra seulement fin a vos sales méthodes quand il aura les rennes

        • le regard! toi tu es un comedien meme quoi! si Dionkounda etais un meilleure decideur il n’allais pas etre si imcompetant en dirigeant le Mali dans ces moment difficil. Mais sa m’etonne pas d’enttendre des jugements comme les tiens venant d1 malien. Bande d’ncapable!!! tchuuup

    • 18. “Il est de ceux qui pensent que les valeurs morales et éthiques doivent toujours prévaloir dans le choix des responsables et non le volume de leur portefeuille ou des considérations claniques ou familiales” tralalalalala ! Mon oeil! Qui croyez-vous pouvoir berner avec de telles salamalecs ? Pas le peuple malien en tous cas. Car, dans ce pays on connait heureusement qui est qui.

      • c’est toi peu etre qui décide qui est président qui ne l’est pas c’est plutot toi qui désire casser l’ADEMA CAR TU NE PEU PAS ETRE UN OUSMANE SY AUJOURDHUI IL TE BAT SUR TOUS LES PLANS vOUS NE VOUS ETES JAMAIS POSE LA QUESTION DE SAVOIR POURQUOI DIONCOUDA L A NOMME LA BAS C EST PARCEQUE C EST LE MEILLEUR D ENTRE VOUS et au Mali actuellment on a besoin des meilleurs nous avons dépassé ce débat d’acteur de la transition l ‘essentiel et l important est de savoir s ‘il a les capacité ou pas et je dirais oui vu son parcours et sa notoriété qui vous dépasse de loin vous avez du chemin à faire encore n ‘ayez pas peur il ne vous mangera pas il mettra seulement fin a vos sales méthodes quand il aura les rennes

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