Sauf cas de force majeure, les élections présidentielles se dérouleront en 2018 au Mali. A moins de deux ans du scrutin, les choses sont très claires et précises pour le parti présidentiel, le Rassemblement Pour le Mali. Pour les Tisserands, le candidat naturel du parti est connu. Et c’est Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), président de la République, désigné à l’issue des travaux du 4ème congrès ordinaire du parti comme, président fondateur à vie du RPM. IBK va remporter sans problème la victoire, promettent les barons du RPM. Cette carte est jouée d’avance. Un défi auquel se préparent activement le Président Treta et ses compagnons à relever à tout prix. Questions : Et si IBK refuse l’offre du RPM ? Sans IBK, que deviendra le RPM ? Autrement dit, que fera le RPM au cas où IBK dit non à l’appel à candidature ? Pour l’honneur du Mali et le bonheur des Maliens, IBK est prêt à tout, même renoncer à un second mandat. L’homme a été toujours imprévisible.
Le Rassemblement Pour le Mali, réconforté de sa suprématie, au sortir des élections communales du 20 novembre, entend amener à bon port la trajectoire entamée depuis les échéances de 2013. Son ambition est de soutenir les actions et le projet de société du président de la république SE IBK pour un Mali émergent. Aujourd’hui, le parti a juré de répondre désormais au coup toutes les attaques incessantes qui seront dirigées à l’encontre de son futur candidat. Pour certains observateurs avertis, la meilleure façon pour le RPM d’aider IBK, c’est de faire autrement la politique. Pour ceux-là, il s’agit de travailler dur afin de consolider la confiance du peuple au chef de l’Etat. Avec 187 maires, 2582 conseillers, le parti du Tisserand n’a pas besoin de répondre au coup pour se faire entendre. C’est dire que le parti doit se mettre au-dessus de la mêlée. Il s’agit surtout de sortir le grand jeu en montrant par les actes que la solution Mali, reste IBK. C’est à ce seul prix que le peuple et IBK lui-même sauront que le RPM est le parti sur lequel, il faut compter. On se rappelle que le chef de l’Etat a toujours réclamé une majorité présidentielle existante, sincère et solide. Cet aspect n’est pas à négliger pour amener l’homme à accepter, l’appel des Tisserands. D’autre part, dans un contexte particulier soumis à la pression de la géopolitique internationale, tout peut arriver d’ici 2018. Pour ce faire, le RPM, première force politique, doit avoir un plan B, pour anticiper toute surprise. Comparaison n’est pas raison, qu’à cela ne tienne, comme François Hollande, IBK pourrait ne pas vouloir briguer un second mandat. Le dire aujourd’hui, parait être surprenant, mais dans tout système politique, il faut tout prévoir. D’ores et déjà, il est important au sein de la famille du RPM, qu’on se consacre à l’essentiel, c’est-à-dire œuvrer pour reconquérir la confiance du peuple. A cet effet, Treta et ses lieutenants n’ont plus droit à l’erreur. Car le temps presse.
Jean Goïta
Source : L’Aube d’Afrique
LE RPM N’ÉTAIT DÉJÀ RIEN, SI LES MALFRATS DE KATI N’AVAIENT PAS SACRIFIER LE MALI EN LE LIVRANT À UN MORIBOND..
ILS NOUS FONT CROIRE QUE IBK A ÉTÉ ÉLU À 77%…CE SONT DONC LES 77% DE MALIENS QUI LUI DISENT AUJOURD’HUI …MERRRDE..
LA VAGUE QUI VA LE CHASSER DE KOULOUBA SERA PLUS FORTE QUE LES 900.000 CARTES NINA FRAUDÉES PAR SANOGO, SINKO ET KARIM…
” L’homme a été toujours imprévisible.” He oui! Quelle difference entre le PM d’AOK et le President d’aujourd’hui?
Mais on ne peut pas dire qu’on avait ete averti. En premier par celui qui etait son boss dans le temps
Et bien qu’il ferme la porte et vient regarder ma figure .
si seulement si le malien ce permet de reconduire les meme mafioso . Ce qui veut dire qu on ne prends pas conscient du problème de ce pays. IBK ou le RPM ; ces la meme chose .
IBK a mal fait en nomant Tréta premier responsable du RPM.Car ce Mr dont la moralité est douteuse à plus d’un titre ne laissera pas les forces positives du parti s’affirmer.Aussi, il a de la rancune contre certains parti qui font partie du groupe présidentiel.En tout cas si le RPM va aux élection avec cette mouture de sa direction, sauf si il a recour à la fraude si non il ne peut pas gagner.
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