MoussaLeaks s’est introduit dans les rouages du parti au pouvoir (majorité présidentielle). C’est le désarroi et la peur au sein de la majorité présidentielle depuis l’investiture du chef de file de l’opposition au stade du 26 mars. Investiture qui a vu des milliers de personnes envahir un stade plein à craquer.
À la suite de cette démonstration du chef de file de l’opposition et alliés, le président IBK aurait fait part aux ténors du Rpm (Rassemblement pour le Mali), le parti au pouvoir, qu’il ne sera pas candidat tant que son parti ne sera pas unifié avec l’Adéma, l’autre grand parti de la majorité présidentielle divisé entre les pro et anti IBK.
Les ténors du Rpm ont alors fait appel à Soumeylou Boubèye Maïga pour lui expliquer la situation tant complexe. Le PM a demandé à rencontrer le président de la République, en personne, pour aborder la question avec lui. Chose qui fut faite.
La proposition du PM au président IBK : appeler les barons de l’Adéma pour leur proposer un deal stratégique. Le président s’exécute et reçoit les barons de l’Adéma au palais de Koulouba.
Manssa Boukary propose le deal suivant aux barons de l’Adéma en ces termes : «Vous m’aidez à me faire réélire, je vous passe les commandes en 2023. Avant cela, vous aurez tout ce que vous me demanderez», à peu de mots de près. Et d’ajouter : «Sans vous il me sera très difficile de gagner ces élections, toutes ces personnes en qui j’ai eu à placer ma confiance m’ont trahi, je ne compte que sur vous. Vous êtes la 3ème force politique de ce pays sinon la deuxième même».
Certains barons de l’Adéma ont accepté sur le deal sur le champ (nous citerons plus tard les noms et les milliards proposé dans la 2ème partie). D’autres, plus prudents, ont promis d’aller consulter la base en affirmant que la jeunesse du parti est réticente quant à un soutien du parti au président IBK. De prime à bord, ce sont les avant-dernières manœuvres de désespoir qui sont en œuvre pour sauver la face d’un pouvoir ayant lamentablement échoué.
Moussa NIMAGA
Les Français orgueilleux qui prétendent “pays le plus visité au monde” c’est sans compter les passages des touristes d’Europe du nord (comme les Allemands, Belges, Suisses, Néérlandais, Luxembourgeois, Britanniques mais aussi norvégiens, finlandais, Suedois, Danois) en simple transit pour aller dans le sud en Italie, Espagne ou Portugal voir au Maroc…
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