Présidentielle : Il empoche 50 millions d’ATT hier, il l’insulte aujourd’hui

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Décidément, le ridicule au lieu de tuer au Mali, devient aujourd’hui source de vie pour certains hauts responsables qui veulent gouverner ce pays. La reconnaissance (pourtant enseignée dans la société malienne) a cessé d’exister sous nos cieux, précisément dans des milieux bamakois. Et l’ingratitude devient au même moment l’exercice favori d’hommes politiques qui se font passer pour des saints et des donneurs de leçons…

 

La preuve nous vient d’un  leader politique, qui (à quelques mois de la fin du mandat de Amadou Toumani Touré et de la présidentielle qui devrait se tenir le 27 avril 2012), avait d’énormes difficultés à organiser le congrès de son parti. Des assises qui ont consacré son investiture pour l’élection présidentielle.

 

 

Notre homme tape à toutes les portes à l’intérieur et à l’extérieur du pays. En vain. Il alla donc tendre la main à ATT. L’ancien chef de l’Etat lui aurait offert un pactole de 50 millions de nos francs. Et du coup, ATT évita à cet homme politique qui brigue aujourd’hui la magistrature suprême, une humiliation certaine. Mais depuis le coup d’Etat, ce leader politique est subitement devenu un des pourfendeurs d’ATT et de son régime.

 

Avec la campagne électorale, le candidat atteint d’amnésie a oublié les biens fait de celui qui lui a permis d’être candidat. Insultes et contre vérités sont servis aux Maliens dans l’objectif avéré de dépeindre le bilan d’ATT. Dire que cet homme parle, par ailleurs, de ‘’réconcilier’’ les Maliens. Est-il capable de réaliser la moindre réconciliation avec des propos haineux et qui incitent à diviser ?

 

Depuis le 22 mars 2012, l’on aura tout vu au Mali. Et c’est tout simplement dommage !

 

La Rédaction 

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12 COMMENTAIRES

  1. L’aube, vous venez de faire une révélation assez importante qui pousse à réfléchir au sujet de votre regretté protégé. Pensez vous que 50 millions manifeste la générosité d’ATT? Je crois non. Ce fait démontre plutôt, son incapacité à faire la différence entre les biens de l’État et ses propres biens. Si le donataire est ingrat, le donneur est voleur.

  2. l’une des grandes faiblesses de notre démocratie reste toujours ces journalistes. N’est pas journaliste qui veut.
    Pitié pour nous les lecteurs.

  3. “Depuis le 22 mars 2012, l’on aura tout vu au Mali. Et c’est tout simplement dommage !” Quel journaliste qui ne sait même pas dans quel temps s’exprimer, c’est plutôt cela et la culture de médiocrité qui règne dans ce pays qui est très dommageable pour l’essor de ce pays.
    Ainsi ils sont soit des diffamateurs soit des laudateurs d’un tel ou tel plutôt que des éclaireurs de l’opinion. MORRRRRRRRRRRRRRR!!!!!

  4. Vraiment arrêtez de nous raconter des histoires à la con,vous dites que c’est un pourfendeur d’ATT et après vous dites qu’il le denigre aujourd’hui, où est la verité.Il faudrait que l’etat reglemente ce domaine de la presse ou n’importe quel recalé devient journaliste sans passer par une école digne de ce nom.N’importe qui ne peut pas devenir journaliste.

  5. Personne ne peut endosser la responsabilité d’ATT dans la faillite de l’État Malien quelque soit les biens faits de ce dernier. ATT a été mauvais jusqu’au dernier degré, bien qu’il ne soit pas le seul responsable de la déliquescence de l’état.

    Mon cher journaliste je vais vous apprendre quelque chose, si vous voyez que tous gens rodaient à coté d’ATT pour solliciter sa générosité, c’est par ce qu’il voulait qu’il en soit ainsi. ATT a cultivé la précarité par la corruption, le népotisme, le clientélisme et ensuite se présenter en sapeur pompier. C’est pour cela que beaucoup sont considérés comme faisant partie du système alors qu’en réalité ils ont été utilisés par le système pour améliorer son image.

  6. En voilà la preuve ke le premier maillon faible de notre démocratie est belle et bien les journalistes nullards

  7. Qu’elle rédaction ! Le sommum de la nullité, comment on peut vouloir critiquer de la sorte et laisser ses lecteurs dans un flou total ?
    Celui qui est critiquer est mille fois mieux que ces zéro de l’Aube.

  8. Du n’importe quoi que des blablas de mauvais perdants. Sentant que le vent n’est pas favorable à son candidat, on cherche et on recherche ça et là toute sortes d’artifices: dénonciations calomnieuses, manœuvres dilatoires, diffamations, bref tous sauf du respectable.
    Allez-vous faire foutre bande de fainéants.

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