A quelques encablures de la présidentielle de 2013, la tension est montée d’un cran dans les états-majors des partis politiques. En effet, depuis l’annonce de l’organisation de ce scrutin avant le 31 juillet prochain, tels des vautours et des rapaces, les politiciens se sont lancés dans la course, affichant du coup leurs ambitions de briguer la Magistrature Suprême de notre pays. Mais, ce qui est choquant dans cette histoire, c’est qu’il y a des candidats qui se sont annoncés pour amuser la galerie et tromper la vigilance de nos populations.
Dans ce pays, tout le monde croit qu’il est présidentiable. Du plus nanti au badaud du grand marché de Dabanani, chacun s’y mêle, tout comme être président de la République du Mali était donné à tous. Certes, notre Constitution autorise chaque Malienne ou chaque Malien à se lancer dans la course au fauteuil présidentiel. Mais, comme à l’accoutumée, on se rend à l’évidence que des citoyens qui ont de la peine à diriger une petite structure, ambitionnent de diriger le Grand Mali. Leur astuce ? User de la démagogie pour tromper le citoyen lambda. De ce fait, bienvenue la corruption. La pauvreté grandissante aidant, ils seront nombreux, ces candidats qui feront recours à des billets de banque, à des tee-shirts, du sucre, du lait, du riz…pour s’acheter des suffrages.
Le peuple malien, en cette période cruciale de son histoire, doit savoir dire dit Non à la gabegie et au népotisme de nos politiciens. Il doit savoir leur barrer la route, car après cette longue traversée du désert, notre Nation n’a plus besoin de démagogues, des corrompus, des flatteurs et autres oiseaux de mauvaise augure. Il a plutôt besoin d’un président éclairé, patriote et dévoué pour la cause du pays. Pour ce faire, nos populations devront user de ce droit républicain que leur confère la Constitution, pour sanctionner tous ces politiciens qui, durant nos gouvernements successifs, ont plongé ce pays dans le chaos et le désespoir total. L’heure de la vérité a sonné et tous les Maliens doivent être sur les remparts pour redonner au Mali sa notoriété d’antan. La vigilance doit donc être de mise.
Basile ESSO
Cher Monsieur ,
Les 90 pour cent de notre peuple ne comprennent pas ce qu`on entend par “ recourir au droitque lui confëre la constitution pour rejecter les politiciens vereux et indignes de dirigerle GRAND Mali.
Pour aider le peuple à y arriver, je suggëre à la cour institutionnelle d`établir des critëres de recevabilité des candidats:
1- NE PAS ETRE ET N`AVOIR PAS ETE MEMBRE DU COMITE DIRECTEUR DES DES DIX PREMIERS PARTIS PRETENDANT ETRE DES PARTIS MAJORITAIRES.
2, FAIRE UN AUDIT DE LA GESTION DES CANDIDATS A LA PRESIDENCE EN CE QUI CONCERNE LES CINQ DERNIERES ANNEES DURANT LESQUELLES ILS ONT ASSUME DES FONCTIONS PUBLIQUES.
2 – VERIFIER LES RELATIONS AVECLES COMMERCANTS ET HOMMES D`AFFAIRES QUI GRAVITENT AUTOU DES CES PRESUMES CANDIDATS PARCE QUE CES DERNIERS SONT SOUVENT UTILISES POUR MONTER DES SOCIETES ECRAN.
3- ETRE fonctionnaires émérites en exerciceou à la retraite( La Caution devra etre la moitié de la caution de 10 .000.000 FCFA)
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