Présidentielle de juillet 2013 : Le candidat du parti FARE « An Ka Wuli » était dans la cité des Balanzans, week-end dernier : Modibo Sidibé peut et pourra compter sur des soutiens de taille dans la région de Ségou…

4
Modibo Sidibé reconnaît qu'il y a eu sous ATT des "insuffisances en matière de gouvernance". © DR Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Modibo Sidibé : "Tout n'est pas mauvais dans l'héritage d'ATT" au Mali |
Modibo Sidibé reconnaît qu’il y a eu sous ATT des “insuffisances en matière de gouvernance”. © DR
Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Modibo Sidibé : “Tout n’est pas mauvais dans l’héritage d’ATT” au Mali |

En cette période de précampagne, les différents candidats déclarés à l’élection présidentielle ne cessent de multiplier les sorties publiques et les descentes sur le terrain à la recherche de points d’appuis, ce en dépit de l’état d’urgence qui a été prolongé par le gouvernement. A propos, on peut dire que parmi cette pléiade de candidats déclarés pour la présidentielle, du 28 juillet 2013, il y a pourtant certains « prétendants à la magistrature suprême » qui semblent convaincre les cœurs des électeurs maliens, c’est le cas notamment du candidat du parti FARE « An Ka Wuli » Modibo Sidibé.

 

 

A Ségou, l’enfant du grand Wassoulou a reçu tous les honneurs des ségoviens et des ségoviennes sortis en grand nombre pour l’accueillir et lui témoigner leur soutien total. Vu l’accueil dont il a bénéficié dans la cité des Balanzans, on peut le dire sans hésiter, que le soutien à la candidature de Modibo Sidibé est plus qu’une réalité dans la région de Ségou, en témoigne les ovations très amicales et chaleureuses qui lui ont été réservées partout où il passé, du 8 au 11 juin 2013. Eh bien à la tête d’une délégation (très responsable) du parti FARE « An Ka Wuli », Modibo Sidibé, qui était accompagné par l’enfant de Yangasso, Soumana Mory Coulibaly, (premier vice-président du parti FARE) ; de M. Alou Sow, un fidèle parmi les fidèles, l’enfant prodige du Macina, Amadou Cissé, le président de la jeunesse FARE « An Ka Wuli » se sont successivement rendus dans différentes localités du Royaume Bambara de Ségou, pour recevoir les bénédictions des sages, notables et personnages clés de la région.

 

 

Contrairement aux récents sondages publiés dans certains journaux de la place sur les chances des candidats, lesquels sondages, qui sembleraient être loin de toutes crédibilités ; pour la petite raison, qu’au Mali, nous ne disposons d’aucune structure spécialisée pour effectuer des sondages  dignes de ce nom, les sages de la région de la quatrième région, de Konobougou à Niono, en passant par Ségou, Macina, Bla, Tominian, entre autres localités, ont rassuré Modibo Sidibé de leur soutien total et sans faille pour la bataille de l’élection présidentielle. Pour cela, les populations de Ségou admiratrices du candidat du parti FARE «An Ka Wuli » ont chargé Soumana Mory Coulibaly, Malick Berthé et Amadou Cissé « Kamalen kun tigi », à transmettre leur message aux maliens d’autres régions.

 

 

Les populations de Ségou se disent convaincues que Modibo Sidibé remporterait le maximum de suffrages dans la région à la faveur de l’élection présidentielle à venir. Des hommes et des femmes ; jeunes et vieux de la région de Ségou, d’argumenter leur soutien au candidat du parti FARE, pour des faits bien visibles, mais aussi pour son sang froid et surtout par la sagesse qui l’anime lors de chacune de ses apparitions publiques.

 

 

Nouhoum Lah, un leader charismatique de la politique au niveau de l’ancien Royaume Bambara de Ségou, a soutenu que son soutien à Modibo Sidibé, est relatif à des faits et actes que l’homme a posés durant sa riche carrière de commis de l’Etat. Il dira ceci : « Grâce aux actions, aux actes et aux faits de Modibo Sidibé, plusieurs agglomérations de l’intérieur du pays disposent aujourd’hui, au moins d’un centre de santé communautaire. Lors de son passage à la tête du ministère de la Santé, il a œuvré à approcher les centres de santé aux populations ».

 

 

Ces actes et faits posés par l’homme Modibo Sidibé, sont bien visibles dans différents secteurs (agricoles) au niveau de la région de Ségou et dans le reste du Mali. « Notre interlocuteur, d’inviter ceux-là qui disent que l’Initiative Riz fut un échec, de changer de fusil de chasse tout en cessant des dénigrements à tort. En politique, dira-t-il, même si quelque part, il est dit que tous les moyens sont bons pour y arriver au sommet, mais il revient à ceux-là qui ambitionneraient de  diriger la nation malienne, de tenir un petit langage franc aux populations (électeurs). Nul besoin d’induire les citoyens (électeurs) dans des erreurs impardonnables ; lesquelles pourraient conduire, nous ne le souhaitions pas, notre pays à des crises ou chaos post électoraux sans précédent et sans lendemains meilleurs».

 

 

Il est dangereux de publier des sondages sans aucun fondement dans des journaux dira madame Traoré. Le fait de publier des sondages qui ne semblent avoir d’aucune crédibilité, et qui n’ont d’autres effets que de conduire les électeurs en erreur ; il est important que les uns et les autres fassent un petit effort pour ne  pas tromper la vigilance des électeurs par des propagandes qui semblent avoir aucune source de vérité. Le constat, dira Madame Traoré, est qu’aucune élection au monde, n’est gagnée à l’avance, même au niveau des démocraties bien développées de l’occident. Que dire alors pour une démocratie en phase d’apprentissage ?

 

 

Pour Madame Traoré, le fait de donner un candidat vainqueur de l’élection présidentielle avant même que cette élection ne se tienne, eh bien en cas de défaite du candidat qui était déclaré vainqueur à l’avance, personne ne peut ou ne pourrait prédire la suite des évènements qui pourraient subvenir après. Alors, il nous appartient d’être un peu raisonnables, afin d’éviter que ce pays qui a tant souffert ne se retrouve plonger dans une autre crise sociale, sécuritaire ou politique, bref : post électorale.

 

 

Par Esdras Kéita

Commentaires via Facebook :

4 COMMENTAIRES

  1. Tout le monde parle de lui. Disent de lui tout ce qu’ils veulent. Racontent toutes sortes de bobards à son sujet. Mais lui, a décidé de ne parler d’aucun de ses potentiels adversaires. Pas qu’il ne sache pas ou n’ait rien à dire, mais par respect pour lui-même ainsi que pour le peuple malien au service duquel il a toujours été et qu’il compte servir jusqu’à l’éternité. La différence avec les autres se trouve peut-être là: l’éducation. On peut tout savoir, connaitre tout le monde et ne rien dire et surtout ne répondre à aucune allégation mensongère par respect pour soi et pour son prochain. Modibo Sidibé est l’homme qu’il faut au Mali en 2013 non pas par suite de coup d’état, mais par la volonté du peuple de façon démocratique, libre et transparente. Ce qui sera, in’challah! Ils peuvent donc raconter tout ce qu’ils veulent, cela ne changera rien dans ce qui sera.

  2.  
    Tribune
    Reconstruire et rassembler
    Par Modibo Sidibé
    « Il vaut mieux regarder devant soi que se retourner sur l’endroit où l’on a trébuché ». La sagesse malienne est grande. Et toujours source d’inspiration. Regarder devant soi, pour ne pas risquer à nouveau de tomber. Regarder devant soi pour identifier les chantiers à ouvrir. Les programmes à lancer. Les objectifs à se fixer. Les horizons à se donner.
    Reconstruire, c’est vouloir tirer les enseignements du passé. Et non rétablir le passé. Reconstruire, c’est savoir faire la part de ce qui a fonctionné. Tout en étant conscient  de ce qui a échoué. Reconstruire, c’est avoir la prudence de celui qui sait le sol fragile, et c’est l’audace de l’homme dont l’espoir porte les convictions. Reconstruire, c’est enfin avoir la volonté de rassembler, d’associer, de réconcilier…
    Un journaliste me demandait récemment ce qui n’était pas à reconstruire au Mali. Ce qui n’est pas à reconstruire, lui ai-je répondu, c’est l’idée que les Maliens se font d’eux mêmes. Celle d’un peuple. Du patrimoine qu’ils portent. De la culture dont ils sont les héritiers. De ce qui les soude, au delà d’une crise dont nous devons collectivement sortir plus forts, plus sages, plus responsables. Les Maliens doivent retrouver ce souffle qui fera d’eux les acteurs de leur propre changement. Tous ensemble, nos aînés comme notre jeunesse, nous devons travailler à resserrer les liens de la nation, d’où le programme que je propose, basé avant tout sur la priorité donnée à la cohésion sociale, sur l’implication de tous, des autorités traditionnelles jusqu’au plus haut de l’Etat.
    La cohésion sociale a pour préalable la cohérence de notre système démocratique et la refondation  de ses institutions dans lesquelles chaque Malien doit pouvoir se retrouver. En qui chaque Malien doit pouvoir se reconnaître. Sur qui chaque Malien doit pouvoir compter pour défendre ses valeurs, ses droits et faire prendre au pays les bonnes directions. Qui doivent enfin inspirer à chacun l’envie de les servir. De les respecter. De les défendre.    
    Il n’est pas ici question de se voiler la face, ni de jouer la politique de l’autruche : notre démocratie doit faire face comme nombre d’autres à des insuffisances, à des plaies qui la fragilisent. Il nous faut réinventer une autre façon, plus vertueuse, plus efficace, de faire de la politique. Afin qu’elle cesse de donner le pauvre spectacle d’un pré carré ou s’affrontent des intérêts catégoriels, des ambitions personnelles, où se développent de petites stratégies de court terme sans grand rapport, le plus souvent, avec l’intérêt général. Le propos n’est bien sûr pas de remettre ici en cause, d’une quelconque façon, le pluralisme qui est l’une des conditions du débat démocratique. Mais le nombre de nos partis frise par exemple le ridicule et apporte la démonstration que le trop peut être l’ennemi du bien. Sachons davantage nous réunir et moins nous disperser, au prétexte de divergences artificielles et égoïstes qui ne sont parfois que le masque d’une prétention personnelle. Sachons ne pas regarder nos formations politiques comme de simples armes de conquête du pouvoir mais comme les outils de la démocratie, du contrôle de la démocratie, les contre pouvoirs dont nous ne saurions nous passer. La démocratie ne se mesure pas au nombre des partis mais à l’intelligence collective de ceux qui représentent ou dirigent la Nation. Et nous avons trop de raisons urgentes de nous rassembler et de nous parler sans nous opposer en permanence pour des raisons qui n’ont souvent rien à voir avec l’attention portée au pays.
    Car notre objectif, notre vocation c’est de rassembler. Pas de se  réunir autour d’une ambition personnelle et de quelques idées opportunistes comme trop souvent notre pratique partisane semble l’illustrer. Non. Il ne s’agit pas davantage de réunir des intérêts, de regrouper des forces, de mettre artificiellement des individus les uns à côté des autres. Non, cela va bien plus loin. Il ne s’agit pas seulement d’abandonner une façon désuète de faire de la politique ou des méthodes de gestion dépassées. Non là encore, cela va au delà.  Notre propos est autre. Il s’agit de rassembler des volontés. Il s’agit d’être les initiateurs d’un véritable renouveau démocratique, les artisans d’une véritable refondation que mérite le pays qui nous est cher, le pays que nous aimons, que nous avons vu vaciller et que nous voulons défendre, car ce pays ce n’est pas un parti, un  groupe, un clan, ce pays, c’est un peuple, une nation, des Maliennes et des Maliens qui aspirent à la modernité, qui ont droit au meilleur et dont l’avenir ne se conçoit que si nous savons tous nous rassembler.
    La modernité…pourquoi nous en priverions nous ? N’en serions-nous pas dignes ? Y aurait il quelque chose qui ferait que le Mali n’y aurait pas droit, condamné à se satisfaire du mauvais spectacle donné par des luttes de clan le plus souvent incompréhensibles du plus grand nombre, des querelles de « préau d’école », des débats artificiels entre partis groupusculaires que seuls font naître des intérêts bien réels ceux-là mais pas forcément ceux du peuple. Y aurait-il une fatalité, une prédisposition qui rendrait le Mali incapable de se donner des institutions stables et durables, des alternances pacifiques, une maturité démocratique exemplaire ?
    Je sais que rien de tout ce que je viens d’évoquer ne se décrète pas. Mais se construit.  Il y a là affaire de prise de conscience et de volonté. Aujourd’hui, j’en appelle à tous ceux qui aiment notre pays comme je l’aime. Aujourd’hui j’en appelle à tous ceux qui ne se reconnaissent pas dans une façon dépassée et inadéquate de faire de la politique. Aujourd’hui j’en appelle à tous ceux qui ont une ambition pour leur pays. Et plus d’ambition pour leur pays que pour eux mêmes… J’en appelle à tous ceux qui entendent, comprennent, soutiennent une idée simple qui pourrait, qui devrait être une évidence : la politique et l’exercice du pouvoir ne sont que caricatures s’ils ne sont fondés sur une éthique, sur ces valeurs dont tous les Maliens doivent se sentir dépositaires, solidaires, et dont leurs enfants et petits enfants seront les héritiers… Notre conviction  à nous, elle se nourrit des principes républicains, des valeurs démocratiques, du respect qu’inspirent des institutions que nous nous sommes données, et qui nous ressemblent. Du respect de l’homme. De ses droits. De sa pensée. De ses libertés. De ses mérites. De ses valeurs culturelles.
    Rassemblons-nous dans un nouveau pôle politique, un pôle politique émergent, porteur de ces valeurs, d’une nouvelle gouvernance des partis politiques, d’une citoyenneté plus active, plus engagée.
    Tel est le dessein du projet Mali Horizon 2030, un pacte d’avenir, véritable contrat avec les Maliens que j’ai la seule ambition de rassembler, de conduire et d’intégrer à la marche de la civilisation industrielle, scientifique et technologique du 21ème siècle. Sans crainte, et en toute confiance parce que nous savons d’où nous venons.

    Modibo Sidibé

    Candidat à l’élection présidentielle de 2013

     

    • Vivement le peuple Malienne derrière toi Modibo SIDIBE, comme MOISE (MOUSSA) sur le chemin de la terre promise, qu’il plaise à DIEU ce jour arrivera. Debout comme un seul homme nous chanteront avec toi l’hymne du Mali
      “A ton APPEL MALI
      POUR TA PROSPERITE
      NOUS SERONT TOUS UNIS ”
      Vive le Mali éternel

Comments are closed.