Présidentielle de 2023: le plan d’IBK pour l’après-IBK

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Dans son analyse, notre confrère Mohamed Ag Assory, rappelle aux uns et aux autres que la présidentielle de2023  est loin mais précise-t-il « 2023, c’est maintenant que tout se prépare». Lisez son analyse !

2023, c’est loin sur le calendrier, encore 2 ans et quelques mois, mais en politique: 2023, c’est maintenant! Cette échéance est aussi bien attendue avec impatience par la classe politique que par les citoyens en soif de changement. C’est  maintenant que tout se prépare dans les états-majors. Après les législatives, cap sur le référendum pour la réforme constitutionnelle. Cette dernière étape est l’ultime verrou avant les convoitées élections présidentielles!

A ce stade, tout se passe dans les têtes, dans les rêves pour certains, dans les cauchemars pour d’autres! Certains y pensent chaque matin devant le miroir, d’aucuns restent encore indécis! Les plus optimistes ont déjà leurs plans et les suivent méticuleusement! Les stratèges politiques peaufinent loin des regards leurs manœuvres!

IBK, le président sortant, ne pourra pas se représenter pour un troisième mandat. L’actuelle constitution ne le lui permet pas et celle en gestation non plus! Mais partira-t-il définitivement sans jeter un regard sur son potentiel successeur? A-t-il un plan pour l’après 2023? Les cadors du régime seront-ils d’avis avec le Président sortant? Quelles sont les grilles d’analyse probables ?

Aujourd’hui, il va sans dire qu’il est trop tôt pour faire une projection réaliste et exacte à ce propos, tant l’équation est à plusieurs inconnues. Le rôle d’un analyste c’est aussi de creuser loin avec peu de données, quitte à se tromper. C’est un exercice difficile, mais je me lance!!!

Sentant la fin de son mandat, il est improbable que IBK ne puisse disposer d’une « exit strategy »!

Il a certainement un plan pour l’après 2023! Mais lequel ? Dans l’hypothèse ( très faible) du contraire, les barons du régime auraient les leurs. Le pluriel s’impose car les hommes du président sont loin d’être unanimes sur la suite! Les derniers événements politiques ont mis à nu les ambitions les plus enfuies de certains (nous y reviendrons ailleurs).

D’habitude, pour les décisions importantes, IBK sait prendre son temps, il adore se faire désirer et maintenir le suspens. En politicien madré, il ne dévoile jamais ses cartes, mais induit toujours les autres sur des vraies fausses pistes. Faut aussi reconnaître que l’instabilité du pays ne lui laisse pas l’opportunité de penser au-delà, les priorités s’enchaînent et se suivent avec les mêmes urgences: terrorisme, rébellion, processus de paix, tensions politiques et sociales, les services sociaux de base. Jamais un Président n’a fait face à une telle pression!

2023, c’est un moment encore plus crucial. A chaque fois qu’il regarde un calendrier, Il sait que c’est bientôt! Si on ne peut connaître la date de la mort d’un homme,on connaît celle de la fin de son mandat! Après 2023, il portera l’amer titre « d’ancien président de la République ». Comme la mort, tous les chefs d’état redoutent la fin de leurs mandats: c’est la fin de beaucoup de choses. En un jour, on quitte la position de l’homme le plus puissant du pays à celle d’un individu lambda même si on conserve certains avantages. Rien ne peut remplacer un fauteuil présidentiel sous nos tropiques. C’est dire combien cette date taraude l’esprit d’IBK malgré un contexte surchargé!

Par ailleurs, le successeur naturel d’IBK, son fils Karim Keïta n’a aucune chance de se présenter. Rien que l’annonce de sa candidature précipitera sans doute le départ de son père. Donc Karim est exclu d’office dans le plan mais demeure une pièce maîtresse dans l’élaboration du plan. Le « petit président » a son mot sur toutes les décisions importantes du père! Lui aussi aura beaucoup à perdre, plus que son père même! Si il peut continuer éternellement à être le fils d’IBK, ça ne sera pas le cas pour le temporaire titre du « fils du président ».

Il est important pour IBK d’avoir un successeur désigné par ses soins pour non seulement perpétuer son héritage politique ou à défaut, couvrir ses arrières, ceux de sa famille biologique et politique! Plusieurs dossiers judiciaires hibernent dans les tiroirs!

Après ce petit décor planté, voici les hypothèses et leurs probabilités:

1-  UN SUCCESSEUR ISSU DU RPM

Le RPM, parti présidentiel et locomotive de la majorité présidentielle est en mauvaise posture: une guerre de clans a affaibli le parti du tisserand.

Une faction menée par BocaryTereta digère mal sa mise à l’écart dans les décisions importantes. L’autre faction, favorable à Karim, se croit avoir tous les privilèges parce que le RPM fait partie intégrante de son héritage. Qui de mieux placé que ce dernier pour naturellement prendre officieusement les rênes du parti!

Beaucoup de cadres de première heure ont quitté le parti ou se sont retirés de ses activités.

Pour ne rien arranger, le Président ne s’intéresse plus au parti vu que sa mission première était de l’amener au pouvoir!

Il se trouve aussi que le parti manque de personnalités fortes capables de  séduire l’opinion publique et la classe politique! Le bilan mitigé du président ne plaide pas en faveurs du RPM pour récolter les suffrages nécessaires comme ce fut le cas en 2013.

Enfin depuis son élection, le Président s’est en quelque sorte méfié de nommer les membres de son parti à certains postes stratégiques qui laisseraient entrevoir un futur dauphin.

Tous ces éléments font qu’il sera très difficile pour le président de compter sur un candidat RPM en 2023!

Probabilité: faible (10 à 20 %)

2- UN SUCCESSEUR DU RÉGIME MAIS NON-RPM

Dans le cas où IBK ne saurait s’appuyer sur le parti qui l’a amené au Pouvoir, un larron non membre du parti mais qui fait partie du régime pourrait endosser le costume du dauphin!

Cette hypothèse est jusqu’à là la plus probable. Beaucoup dans l’entourage du Président se voient déjà dans cette posture! C’est d’autant plus plausible que déjà on assiste à des larves de guerres  par procuration entre les candidats en pôle position!

Selon plusieurs observateurs, IBK tel le parrain n’a pas encore tranché sur la méthode et la personne idéale de façon définitive: toutes options sont scrutées dans son for intérieur! La fin proche du mandat pourrait précipiter la prise de cette lourde décision!

Une fois désigné, tout ne sera pas rose, il restera à l’heureux élu de gagner le cœur et les voix des maliens en se démarquant de son encombrant prédécesseur!

  Probabilité : forte + de 50 %

3- UN SUCCESSEUR ISSU D’UN PARTI ALLIÉ 

Si les des premières options ne se concrétisent, le Président sortant peut également puiser dans les importants partis alliés de la majorité présidentielle: Adema et autres partis.

En 2023, les maliens risquent d’assister à une énièmes passation du pouvoir à un candidat de la « génération Adema »! Ils sont expérimentés et disposent d’impressionnants moyens et une machine électorale.

A défaut, un candidat des partis ayant récemment rejoint la majorité comme l’ADP par exemple pourrait faire l’affaire. Ces derniers ont l’avantage de paraître nouveau!

Probabilité : moyenne 30 à 50 %

4- ACCORD AVEC UN OPPOSANT 

En politique avoir un plan, c’est ne pas en avoir. Avoir deux plans, c’est avoir un plan. Mais il faut en avoir plusieurs à la lumière de l’imprévisibilité du contexte.

C’est dans cet état d’esprit que, à contre cœur, imposé par la volonté populaire, le Président pourrait céder son fauteuil à un opposant! Une telle entente pourrait se conclure bien avant les élections: l’opposant aura boulevard libre et IBK aura les garanties nécessaires pour lui et sa famille! On pourrait assister à un remake malien de Kabila et Tshisekedi!

Cet opposant pourrait venir des rangs de l’opposition ou de l’opposition de la majorité. C’est un peu compliqué, mais c’est la politique du contexte malien où on trouve des opposants de tout acabit!

L’opposant en question pourrait aussi venir des propositions du Bureau du Conseiller Afrique de l’Elysée.

 Probabilité : Faible ( 20 à 30 %)

En conclusion, tout n’est pas encore clair. La situation du pays et le déroulement de la révision constitutionnelle vont certainement redistribuer les cartes sur l’échiquier politique. Beaucoup de choses peuvent également se passer d’ici l’échéance. La France aussi aura forcément son mot à dire à un certain niveau dans le futur choix d’IBK.

Au Mali, pour gagner une élection, il faut avoir indispensablement trois choses: le soutien de l’administration sortante; l’appui de l’Elysée et d’importants moyens financiers et humains. Les deux premières demeurent les plus importantes.

 

Mohamed Ag Assory

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13 COMMENTAIRES

  1. en pere de la nation malienne, le president IBK nous laisse son testament, nous sommes ses enfants strategique, sans ibk le Mali n’est rien, SANS NOUS IBK n’est rien… c’est un amour mutuel qui se dessine !!

  2. comme un vrai papa, ibk nous laissera le nali dans de bonnes mains je fais lui totalement confiance, il merite tout, il a fait de notre pays une vrai puissance en devenir !!! le temps lui donne raison !!

  3. Le fils d’IBK va bouffer les sous volés dans les caisses de l’état jusqu’à sa mort, donc pas besoin de courir derrière un fauteuil de président car il l’est à ce jour et l’a été durant les années passées de son papa au pouvoir. Le seul deal qu’IBK fera c’est de passer le témoin à la personne qui s’engagera à protéger sa famille d’éventuelles poursuites.

  4. 😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    ………EH BIEN MOI JE RIS BIEN …
    PARCE QUE JE VIENS DE TROUVER SUR M.A.L.I.J.E.T …ATTENTION A L ECRITURE QUAND ON MET LE NOM D UN CONCURENT …( ! ! ! ) …..UNE ANNONCE QUI PROUVE UNE FOIS DE PLUS QUE BMS SA ( JE PARLE BIEN DE LA BANQUE QUI A REPRIS BHM SA ) NE MANQUE …PAS D AIR DU TOUT !
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    IL VOUS SUFFIT POUR RETROUVER CE QUI ME FAIT ECLATER DE RIRE ( PARCE QUE MAINTENANT ..A
    S.I.C.G SA ….ON LE PEUT …)…IL VOUS SUFFIT DE TAPPER SUR VOTRE MOTEUR DE RECHERCHE (ET SANS LES POINTS INTERMEDIAIRES ):
    M.A.L.I.J.E.T AVIS D APPEL D OFFRE 01/ 2019 BAMAKO MALI…
    TAPPEZ DONC ….
    VOUS TROUVEREZ D AILLEURS LA MEME CHOSE …A UNE AUTRE ADRESSE CELLE CI DE MALIWEB …
    ( ! ! ! ) ….ET LA …JE VOUS LA METS DIRECTEMENT :
    https://www.maliweb.net/communique/avis-dappel-doffres-ouvert-n01-2019-2809396.html
    ….( ! ! ! ! )
    LA ….OU SUR L AUTRE SITE …ON LIT BIEN QUE BMS SA EST PROPRIETAIRE DES HALLES DE BAMAKO …QU ELLE MET EN VENTE ! ! ! ! ! …LA DATE ? LE 18 MARS 2019 !
    HUE DIU ! 😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    BMS SA N A PEUR DE RIEN !
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    CAR LE 14 MARS 2019 ..LA MEME BMS SA QUI A REPRIS BHM SA ….A ETE CONDAMNEE PAR LA CCJA A ABIDJAN 4 JOURS AVANT …( ENFIN ! ) …ET IL A FALLU 9 ANS POUR CELA …
    ET IL A FALLU QUE LA CCJA ELLE MEME ENMENE DEVANT UN JUGE SON PRESIDENT …( ! ! ! )
    …😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂 ….
    ………POUR QU ENFIN NOTRE AFFAIRE SOIT JUGEE !
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    ET BMS SA ….ENFIN SOIT CONDAMNEE !
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    ORS ….QUAND BMS SA DIT LE 18 MARS 2019 QU ELLE EST PROPRIETAIRE DES HALLES DE BAMAKO …BMS SA MENT !
    UNE FOIS DE PLUS ! ! ! ! ! !😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    SI ELLE A PENSE ( ? ? ? ) QUE LES HALLES APPARTENAIENT A S.I.C.G MALI AVANT D ETRE SAISIES ….CE QUI EST FAUX ….ET TOUT LE MONDE LE SAIT ..
    LA DECISION DE LA CCJA VIENT D AILLEURS DE DEMONTRER QUE LES HALLES N AURAIENT JAMAIS DUES ETRE SAISIES CAR BMS SA DEVAIT BIEN 1,707 MILLIARDS A S.I.C.G MALI DEPUIS 2004 COMME L AVAIENT BIEN DIT LES EXPERTS QUI ONT RENDU LEUR TRAVAUX A LA COUR D APPEL LE 15 JANVIER 2008 ….ET COMME L A REDIT LA CCJA EN 2019 …LE 14 MARS …EN RENDANT SON ARRET 68 …✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌
    ORS ….QUE NOUS RACONTE BMS SA DANS SON ANNONCE LE 18 MARS 2019 ?
    QU ELLE EST PROPRIETAIRE DES HALLES …QU ELLE CHERCHE A REVENDRE ! ! !
    EH BEH ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

    MAIS COMMENT BMS SA PEUT ELLE IGNORER QU ELLE A PERDU SON PROCES …(LA PREMIERE AUDIENCE A COMMENCE EN 2004 ! ! ! ! ! )
    ….ET QUE D AILLEURS LES HALLES DONT ELLE SE DIT PROPRIETAIRE NE POUVAIENT LUI APPARTENIR ….CAR EN PLUS ….ELLES NE LUI ONT JAMAIS APPARTENUE !

    CAR ……LES HALLES DE BAMAKO SAISIES A S.I.C.G MALI ET “”RACHETEES “”PAR BHM SA ( BMS SA MAINTENANT ) N ONT JAMAIS APPARTENUES QU’A S.I.C.G SA ABIDJAN …SIGNATAIRE DU BAIL A CONSTRUCTION …CE QUE SAVENT ET SAVAIENT PERTINEMENT DEPUIS 2007 :
    – LA MAIRIE DU DISTRICT
    – MAITRE BASSALIFOU SYLLA ….AVOCAT DES DEUX BANQUES ..
    – LE NOTAIRE DE LA BANQUE …MAITRE MADINA DEME COULIBALY ..
    – LA BANQUE BHM SA ….
    POUR AVOIR RECU JUSTEMENT , ENTRE LE 22 ET 23 AOUT 2007 CHACUN OU CHACUNE UNE COPIE DU CERTIFICAT DE PROPRIETE DES DROITS REELS DES HALLES …INDIQUANT QU ELLES APPARTIENENT A S.I.C.G SA …ABIDJAN …DES MAINS DE MAITRE SYLVAIN MAKAN KEITA …HUISSIER A BAMAKO …

    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    EH BIEN …
    BMS SA S EST ENCORE RENDUE RESPONSABLE D UN NOUVEAU FAUX …EN TENTANT DE REVENDRE LES HALLES DE BAMAKO POUR UNE VALEUR DE 7 , 388 MILLIARDS …..DONT JE REDIS BIEN QUELLE N A JAMAIS ETE PROPRIETAIRE !
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    MOI …CA ME PARAIT EXTRAORDINAIRE …..MAIS ON EST AU MALI NON ?

    ….HEUREUSEMENT QU IL EXISTE ENCORE DES BANQUES HONETES AU MALI !
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂

    EN TOUT CAS , LE VOL …LE PRINCIPAL DU VOL S EST PASSE SOUS ATT ….
    ET MAINTENANT …AVEC TOUT CE QUI S EST PASSE ….LES COMPLICITES MISES EN ŒUVRE ….LA « « DISPARITION DE 38 PLAINTES PENALES AU POLE ECONOMIQUE » » ( NOUS AVONS LA LETTRE DE CONFIRMATION DU COLONEL NIANAN DEMBELE DU 27-04-2009 ) …LE COURRIER DU GOUVERNEMENT IVOIRIEN REMIS A ATT PAR L AMBASSADEUR DE COTE D IVOIRE LE 26 MARS 2008 ( UNE PARTIE A ETE REPRODUITE SUR LE N 66 DE ECHOS MEDIAS DU 21 MAI 2020 ) ….TOUT REVIENT AU DEVANT DE LA SCENE ….AVEC EN PLUS LES RESULTATS DES MAGOUILLES DE SIDI SOSSO DIARRA …ET DE YACOUBA DIALLO ( VOIR LA PUBLICITE PASSEE SUR L ESSOR DU 27 OCTOBRE 2009 ) ….
    ……….CES GENS , VISIBLEMENT NE RISQUAIENT RIEN A L EPOQUE …( ! ! ! )
    ILS EN ONT OUBLIE CES GENS QUE LES CALENDRIERS EVOLUENT ….ET QUE LEURS « « INTERLOCUTEURS » » CHERIS LAISSENT LEUR POSTE ….COMME LE PRESIDENT DE LA CCJA A ABIDJAN …QUI A FORCE DE « « JOUER » » SE RETROUVE DEVANT UN JUGE …ET COMME LES SIDI SOSSO DIARRA ET YACOUBA DIALLO QUI EUX ONT PU « « MIGRER » » L UN EN ITALIE …L AUTRE AU MAROC ….
    QUI A PENSE ….QUE S.I.C.G MALI REVIENDRAIT ….ET TOMBERAIT UN JOUR TOUS SES PETITS VOLEURS COMBINARDS ? ………..
    PERSONNE !
    NI A BHM SA …
    NI A BMS SA !
    NI A L ACI DE YACOUBA DIALLO !
    NI SIDI SOSSO DIARRA !
    NI AU POLE ECONOMIQUE DE SOMBE THERA !
    NI AU CONTENTIEUX DE L ETAT DE BA AWA TOUMAGNON !
    NI CHEZ LE « « GRAND MAITRE » » BASSALIFOU SYLLA …
    NI CHEZ AGUIBOU BOUARE …DEVENU DEPUIS PATRON DES DROITS DE L HOMME AU MALI …

    NI CHEZ LEUR GRAND PATRON A TOUS ….ENFIN …CELUI QUE EUX TOUS NOMMENT …
    ….ET QUI A L INAUGURATION DU MARCHE DE MOPTI DISAIT QUE LE MENSONGE POUVAIT COURIR 10 ANS …QU EN 10 MINUTES LA VERITE LE RATTRAPAIT …
    EH BIEN ..EFFECTIVEMENT ………..LE MENSONGE A ETE RATTRAPE ! …………..
    ET LE MENSONGE …CE MENSONGE …VAUT TRES CHER !
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂
    😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂

  5. Information : Ami KANE refuse de servir les Maliens du Gabon. Du coup, nous avons trop de problèmes avec l’administration gabonaise, faute de papiers consulaires.

  6. Je suis en phase avec cette 3ième option probable (faisable) de Mohamed ag-Assory qui fait ici une lucide prospective politique du Mali-politique en l’observant avec sa loupe journalistique d’investigation; je reprends les massages qui confortent mon opinion: “ACCORD AVEC UN OPPOSANT En politique avoir un plan, c’est ne pas en avoir. Avoir deux plans, c’est avoir un plan. Mais il faut en avoir plusieurs à la lumière de l’imprévisibilité du contexte. C’est dans cet état d’esprit que, à contre cœur, imposé par la volonté populaire, le Président pourrait céder son fauteuil à un opposant! Une telle entente pourrait se conclure bien avant les élections: l’opposant aura boulevard libre et IBK aura les garanties nécessaires pour lui et sa famille! On pourrait assister à un remake malien de Kabila et Tshisekedi!…”

    En tout état de cause, comme le dit bien Mohamed ag-Assory: “En conclusion, tout n’est pas encore clair. La situation du pays et le déroulement de la révision constitutionnelle vont certainement redistribuer les cartes sur l’échiquier politique. Beaucoup de choses peuvent également se passer d’ici l’échéance. La France aussi aura forcément son mot à dire à un certain niveau dans le futur choix d’IBK.”, j’estime que ça serait au président français de 2023 de faire passer, comme une lettre à la poste, le candidat malien qu’elle tirera de son sac à magouilles, comme ce fut le cas en 2013 lorsque le président français imposa son valet de chambre … IBK-Sans Soucis amis des Mafieux corses français!

  7. Qu’IBK et ses acolytes cessent de se méprendre car aucun de ces objectifs ne serait atteint à son grand souhait, nous sommes certains qu’une tornade viendrait avant 2023 en remettant en cause l’ensemble de ce système politique du pays, cela est sans équivoque, elle se sent déjà non loin de ce régime. Le Mali n’est pas le Togo, ni le Bénin, ni la Guinée Conakry, il suffit de faire une petite rétrospective sur les trois dernières décennies pour comprendre que le Mali est unique dans la sous région sahel. Toutes conditions semblent réunies pour que cette tornade soit une réalité indéniable, car le régime raisonne de façon très subjective et très squelettique. Nous sommes face à des gouvernants sans aucune inspiration et sans vision, avec ça comment peut-on assurer et garantir un lendemain meilleur pour notre pays? Ils sont tous fascinés par des réflexions qui ne font que l’éloge du grand manitou et ses acolytes et c’est tout, celles-ci ne peuvent pas mettre un pays sur les rails.

  8. Qu’IBK et ses acolytes cessent de se méprendre car aucun de ces objectifs ne serait atteint à son grand souhait, nous sommes certains qu’une tornade viendrait avant 2023 en remettant en cause l’ensemble de ce système politique du pays, cela est sans équivoque, elle se sent déjà non loin de ce régime.

  9. tout à fait exact le mieux est de passé à un sursaut national . ce pays est loin d’être un héritage de la famille Keita. les maliens doivent comprendre cela , laissons nos affinités politique clanique parental et luttons pour l’intérêt général . DIRIDER C’EST SERVIR

    • tout à fait exact le mieux est de passé à un sursaut national . ce pays est loin d’être un héritage de la famille Keita. les maliens doivent comprendre cela , laissons nos affinités politique clanique parental et luttons pour l’intérêt général . DIRIGER C’EST SERVIR

  10. Avant de preparer la venir de 2023,On est present d’abord l’armée que doit faire son devoir à Kidal le peuple son derrière son armée sans recerve .

  11. La naïveté de certains maliens, une grande majorité, a permis au délinquant de l’ère démocratique de s’installer au sommet de l’État, c’est cette même naïveté qui va le permettre de passer le témoin à son fils.
    ÇA CREUVE LES YEUX QU’IBK PRÉPARE LE FAUTEUIL POUR SON FILS.
    Il suffit de constater que tous ceux qui ne sont pas en accord avec le fils ont été écartés.
    On fait des analyses quand on est dans le cadre d’un système démocratique.
    IBK A CONFISQUÉ LE POUVOIR.
    Il n’entend pas le remettre à quelqu’un d’autres que son fils.
    S’il constate que son fils n’est pas prêt, il va se représenter en 2023.
    C’EST CON DE PENSER QU’IBK NE PEUT PAS MODIFIER LE MANDAT PRÉSIDENTIEL AVEC CE PARLEMENT AUX ORDRES.
    Il peut aussi utiliser la jurisprudence WADE c’est à dire que la révision de la constitution va remettre le mandat présidentiel au point initial.
    Ce n’est pas la cour constitutionnelle de MANASSA DANIOKO qui va s’opposer à l’interprétation favorable à la jurisprudence WADE.
    Si les maliens ouvrent les yeux comme les sénégalais, ils vont empêcher l’exécution du plan IBK pour son fils.
    SOIT IL FAUT UN SOULÈVEMENT POPULAIRE POUR DÉGAGER LE CLAN IBK, SOIT IL FAUT ATTENDRE 2023 POUR S’ALIGNER DERRIÈRE UN CANDIDAT BIEN PLACÉ COMME L’ONT FAIT LES SÉNÉGALAIS.
    Le cas sénégalais semble impossible au Mali.
    Nous avons vu dans ce pays, des leaders politiques s’unir pour boycotter les élections, mais incapable de désigner un candidat face au président sortant.
    En 2018,des hommes politiques qui ont lutté contre le régime d’IBK ont été incapables d’appeler à voter pour SOUMAILA CISSE, certains ont même monnayé leurs soutiens au président sortant.
    L’ESPRIT QUI ANIME LES HOMMES POLITIQUES MALIENS SEMBLE FAVORABLE AU PROJET D’IBK DE PASSER LE TÉMOIN À SON FILS.
    Tout dépend de la capacité de mobilisation des maliens contre le régime.
    Si la fronde de mobilisation qui se prépare échoue, KARIM KEITA SERA LE SUCCESSEUR DE SON PÈRE.
    IBK ne peut quitter le pouvoir que par un soulèvement populaire taché de sang comme dessiné à sikasso et à kayes.
    Il maîtrise le système électoral comme révélé pendant les élections législatives.
    OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
    La lutte continue

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