A quelques petits mois de la l’élection présidentielle de 2018, le président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita (IBK), est de plus en plus lâché par d’anciens camarades politiques. Au même moment, des organisations de la société civile jurent de lui assurer une réélection.
Pour des raisons politiques ou même personnelles, on assiste à des démissions en cascade au sein de la Convention des partis politique de la majorité (CMP). Le Rassemblement pour le Mali (RPM), parti du président de la République IBK, a connu une importante saignée. On peut rappeler à cet effet, la démission de plusieurs de ses députés au profit de l’ADP-Maliba de Aliou Badra Diallo qui a lui aussi quitté la majorité présidentielle. Il s’agit de Kalilou Ouattara de la commune III, Mamadou Doumbia Commune II, Soyba Coulibaly Kati et Bakary Diarra de Sikasso). Au niveau des structures locales, le RPM a connu aussi beaucoup de départ dont le plus retentissant est celui de Badalabougou où près de 200 leaders locaux et militants ont claqué la porte en juillet dernier. Il y a également le cas de Markala où les militants ont suivi Paul Ismaël Boro qui a viré au Mali Kanu de Modibo Koné. La dernière en date est le départ de l’ex-conseiller en communication d’IBK et président de la Convergence d’action pour le peuple(CAP), Racine Thiam qui fera désormais équipe avec le chef de file de l’opposition, Soumaila Clissé. Plus inquiétant, certaines sources annoncent une démolition au sein du parti présidentiel. Certains ex-ministres et ex-directeurs seraient très mécontents de leur sort et seraient peu enclins à se battre encore pour IBK. Le même sentiment de découragement serait présent dans les partis alliés comme l’Adema PASJ et la Codem dont les bases exigent des candidatures internes à la présidentielle de juillet prochain.
Le chef de l’Etat peut compter quand même sur une fleuraison d’associations et de mouvements de soutien à sa candidature pour sa réélection en 2018. Derrière ces différents mouvements, « se cachent » des cadres du RPM ou autres partis membres de la CMP, qui essayent ainsi masquer la triste réalité des démissions qui ne font que déstabiliser le président IBK à quelques mois du scrutin présidentiel de 2018.
Il s’agit du mouvement 100% IBK, Espoir IBK 2018, la Coordination des déguerpis de Niamakoro-Diallobougou, le Syndicat national des commerçants détaillants, le Mouvement arc-en-ciel, Alternance 2018 de Maouloud Ben Kattra, ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, la coordination de l’Association la voix du peuple…
Si la Coordination des déguerpis de Niamakoro-Diallobougou promet 600 000 voix pour la réélection du chef de l’Etat en 2018, le mouvement Espoir IBK 2018, quant à lui, mise sur 3 millions d’électeurs potentiels. Une campagne est engagée dans ce sens depuis quelques semaines.
Face à ce flux de soutien pour l’élection du président, les observateurs politiques doutent aussi de la sincérité de ces mouvements. Selon eux, ces différents mouvements ne cherchent qu’à « manger et consolider la position de leurs instigateurs » auprès du président. En tout cas, ce qui est sûr, sans le soutien financier de leurs commanditaires, rares sont ses mouvements qui disposent de moyens nécessaire s pour l’atteinte de leur mission.
Youssouf Coulibaly
Raillé ou rallié ?
Ces gens cherchent a manger , sinon IBK sait bien qu’il n’a personne derrière lui . Au soir du résultat de la présidentielle , il sera plongé dans l’isolement total, n’aura que ses yeux pour pleurer . En 2018, la défaite d’IBK serait dès le premier tour. Il n’a rien fait, on revolte ce qu’on a semé dit un proverbe . S’il savait réellement ce que l’électorat veut l’infliger comme sanction , il renoncera à se représenter .
Malheureusement pour les Présidents Africains , ils comptent sur la fraude électorale , les marabouts, féticheurs et meme ceux qui sont venus rien que pour manger, qui leur feront croire jusqu’à la dernière minute qu’ils sont champions . C’est après la défaite , qu’ils disparaissent, l’ancien roi restera à jamais coupé du monde. Une fois le nouveau ROI installé dans son palais, les mêmes gens chercheront a l’approcher . C’est d’ailleurs pourquoi au Mali, les Présidents successifs ont eu les mêmes collaborateurs . Après la fuite du General félon ATT , ses anciens collaborateurs sont toujours dans le palais de Koulouba pour conseiller IBK . Quand celui-ci va quitter le pouvoir d’une manière ou d’une autre, les mêmes votours , seront toujours prêts à servir le nouveau. En Afrique, la politique est basée sur des intérêts personnels et non pour sur des convictions politiques. Ils appartiennent à tous les partis politiques et sont mêmes des indépendants . Le cas du traitre ATT est la parfaite illustration. Élu en tant qu’indépendant , il a gouverné avec tous les partis politiques. Ainsi va la politique au Mali.
Quant a IBK, il n’a pas de conseiller , sinon les sondages d’opinion ne sont même pas nécessaires. Il ne doit même pas aller au second tour. Durant son mandat, le seul ebgagement qu’il a tenu, ce sont les voyages a l’Exterieur qui n’ont rien apporte au peuple. Surtout en France, lui seul peut nous dire ce qu’il partait faire dans ce pays qui est l’ennemi juré du Mali. Avec tout ce que nous savons des coups bas de cette France, seul la considere comme un pays ami du Mali. Pourtant ces francais n’ont aucune consideration pour notre pays a cause des demeles qu’IBK a avec la Justice francais ” l’affaire de corruption du français Corse Tomy Michel”. Cette affaire est un marché juteux pour la France neo-coloniale. Cette France qui suce le sang des maliens, qui humilie le Mali , qui a divisé le pays
Bien sur, s’il y a deux ou trois mouvement vous pouvez écrire par “des mouvements”. Pire, si ces différents mouvements sont composés des mêmes personnes engagées dans des jeux de rôle pour soutirer de l’argent au président et à ses proches, là aussi vous aurez raison de dire “soutien des mouvements”
La réalité est que ce gouvernement a échoué et toute notre classe politique a lamentablement échoué. La seule issue serait une remise en question et une refonte du système.
Que dites vous de Ibrhim Bocar Bah ;lui il est de quel côté ce veillard de 80 ans malade qui est tjrs en Belgique pour des soins peut il travailler encore,un monsieur qui n’a même plus sa tête;lui il jurait pour ATT et regardez il se dit aujourd’hui conseiller de IBk vraiment nos dirigeants n’ont pas de
dignité qu’est ce qu’il n’a pas eu ce monsieur ambassadeur pdt 9ans puis commissaire de la CDEAO Pdt 4ans;
tous ses enfants bien placés à la BMS par son frère au Mali en Amerique mais rien n’est éternel dans cette vie faites votre temps dieu ne se presse pas
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