Présidentielle de 2018 : Déjà, le choc des ambitions

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Présidentielle de 2018 : Déjà, le choc des ambitions
Kalfa Sanogo, Tatam Ly, Modibo Koné, Hammadoun Touré (Photo Aujourd'hui-Mali)

Au niveau de l’opposition dite républicaine et démocratique, tout comme au sein de la Convention des partis politiques de la Majorité présidentielle et d’autres regroupements de partis politiques, ça bouge et cela va bouger encore car l’effervescence politique notée ces derniers temps ira crescendo au fur et à mesure que l’on s’approche de l’élection présidentielle de 2018, notamment avec l’explosion des ambitions personnelles des responsables de formations politiques, chacun ayant son petit agenda caché. Sans compter le foisonnement de candidatures abusivement présentées au nom d’une nébuleuse de société civile.

Les candidatures déclarées ou sollicitées ou dont on parle avec insistance, il y en a à foison : Modibo Koné et Kalfa Sanogo, tous deux ex Pdg de la Cmdt ; Mouhamed Salia Touré, ex président du Cnj-Mali ; Oumar Tatam Ly, ex Premier ministre ; Alassane Dembélé dit Alasko, président du parti Ancd ; Hamadoun Touré ex patron de l’Union internationale des télécommunications ; Mamadou Igor Diarra, ex ministre et directeur de la BOA Sénégal ; Bassary Oumar Touré, opérateur économique et tant d’autres qui viendront s’ajouter à la légion des candidats issus des rangs des partis politiques comme Moussa Mara, Modibo Sidibé, Soumaïla Cissé, pour ne citer que ceux-là. La liste s’allonge de jour en jour car il est même prêté à des ministres actuellement dans le gouvernement du président IBK, des ambitions présidentielles, comme le ministre Mohamed Ali Bathily dont la candidature sera portée par le regroupement des associations Apm dont il est le parrain, selon certaines indiscrétions.

A coup sûr, nous allons vers un chamboulement progressif de l’arène politique avec notamment une kyrielle de candidatures comme l’annoncent déjà les premières lueurs de cette échéance. En effet, au moment où les partis politiques préfèrent pour le moment avancer encagoulés, englués qu’ils sont dans des jeux de dupes déguisés en alliances dont certaines sont de simples combines politiciennes, des candidatures annoncées prétendument au nom de la société civile fusent de partout et des noms circulent aussi, notamment ceux de hauts cadres de la finance et des milieux d’affaires comme de sérieux prétendants au fauteuil non encore abandonné par le président IBK qui pourrait être candidat à sa propre succession en 2018.

Parmi ces candidats déclarés ou pressentis, il y en a qui ont pensé être plus fins que tout le monde en se cachant derrière des mouvements politiques, pour ainsi manifester leur distance par rapport aux partis politiques, tout en s’organisant comme eux. C’est une simple question de terminologie, voire de lexique. Mais c’est comme si, dorénavant, les partis politiques sont les escaliers pour monter au palais de Koulouba en 2018, alors qu’il faut chercher un ascenseur pour aller plus vite et être dans l’ère de la modernité.

On peut y voir une manifestation un peu tardive des conséquences de la crise multidimensionnelle de 2012 qui a mis à nu la fragilité de nos institutions, mais surtout remis en cause l’ancrage des partis politiques au sein des populations. Ce qui a permis à Sanogo et son groupe de réussir facilement leur coup d’état sans aucune résistance de taille. Par contre, au Burkina Faso, on a vu comment la horde du Général Djendéré a été maîtrisée grâce à une mobilisation dans laquelle les partis politiques de ce pays ont joué un grand rôle pour organiser et canaliser la révolte spontanée de la société civile.

C’est d’autant plus vrai que même l’actuel président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, n’a pas été élu sur la base d’une quelconque appartenance politique, mais surtout à cause de son profil d’homme de poigne, de patriote fonceur, sur lequel tout le monde avait misé pour régler les problèmes du pays. Et en s’adressant aux cadres de son parti, quelques jours seulement après sa victoire aux allures de plébiscite, IBK ne savait si bien dire en leur rappelant que “ce n’est pas la victoire du Rpm, mais ma victoire”. Une vérité de Lapalisse, même si cela devait faire mal.

On a l’impression qu’à la suite d’une profonde introspection, le Mali entier aspirait au changement devant s’opérer avec un homme providentiel car le profil de l’homme à élire l’emportait sur toute autre considération, comme le projet de société.

Ce pragmatisme dans le choix de ceux qui sont appelés à gouverner n’est pas désormais l’apanage du Mali car un peu partout dans le monde une sorte de tsunami politique s’est levée pour quasiment anéantir l’hégémonie des partis politiques sur la vie nationale des Etats, au profit de femmes et d’hommes issus de la société civile et parfois aussi d’une lugubre société civile qui cache mal le dessein de puissants lobbies, lesquels instrumentalisent les discours populistes.

Les électeurs maliens sont-ils prêts à effectuer le saut vers l’inconnu ?

Cet élan mondial qui donne de l’espoir à des hommes et des femmes qui croyant dur comme fer qu’ils peuvent désormais accéder à la magistrature suprême en dehors des arcanes politiques classiques ou conventionnels dont les partis politiques en sont la plus parfaite illustration, encourage le foisonnement de candidatures à la présidentielle.

L’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche et la brillante élection du jeune Emmanuel Macron en France – et de quelle manière !- sont souvent cités en référence pour tenter de prouver que c’en est fini de l’ère des politiciens professionnels. Raison pour laquelle, dans ce fatras de candidatures concoctées hors des partis politiques, on retrouve beaucoup de produits des milieux bancaires et financiers qui pensent pouvoir réussir une opa sur le pouvoir, dans la mesure où le lobby mondial des finances dicte désormais sa loi partout sur la planète et a besoin de bons relais pour les servir. Ce reproche fait timidement à Emmanuel Macron n’a pas tardé à devenir un cri de ralliement des syndicats français qui voient en lui le serviteur du capitalisme international sauvage et tentent de lui opposer le pouvoir de la rue. Bonjour les dégâts !

Mais il y a lieu de se poser la question de savoir si les électeurs maliens sont prêts à effectuer le saut vers l’inconnu, notamment pour confier les destinées du pays à une sorte d’aventurier politique, après tout ce qui a été vu et vécu ces dernières années.

Un statut social convertible en monnaie locale ou en devises

Tout était comme si l’exercice du pouvoir n’était plus perçu comme un sacerdoce, mais comme une véritable sinécure qui suscite bien des convoitises, voire même aiguise des ambitions. Chercher à devenir président de la République est devenu tellement banalisé, au point que la conquête du pouvoir se voit transformée en une loterie ou un jeu du genre ” qui perd gagne “. Effectivement, il n’est pas rare d’entendre ce raisonnement : ” Il n’est pas évident que je passe, mais je serai parmi les faiseurs de roi au second tour en suivant la direction du vent “. Naturellement, pour se tailler par la suite un statut social convertible de temps en temps en monnaie locale ou en devises. Ou tout simplement pour demander le retour de l’ascenseur. Qui est fou !

C’est dire que la Présidentielle de 2018 commence déjà à soulever beaucoup de poussière dans l’arène, avec cette kyrielle de candidatures annoncées dont certaines relèvent de la fantaisie ou tout simplement de calculs sordides. En effet, on n’est pas sûr que tous ces candidats déclarés ou pressentis soient en mesure de servir le Mali pour répondre correctement aux attentes des populations en cette période délicate où la moindre étincelle peut allumer un incendie géant, comme IBK l’a du reste appris avec son projet de révision constitutionnelle.

Certains déclarent vouloir servir le Mali, mais cherchent en réalité à se servir car comme on l’entend souvent : ” Etre en bonne posture au sein du pouvoir, c’est la voie royale pour s’enrichir et rien n’enrichit de nos jours aussi vite que la politique “. Mais ce n’est pas valable pour tous les candidats déclarés car il y en a qui sont presque nantis comme Crésus, mais veulent désormais les honneurs ou la gloire, en inscrivant leur nom de fort belle manière dans l’histoire du pays. Toute une légion qui devra faire face à la brigade des sapeurs-pompiers qui pensent être seuls en mesure de sauver le pays de la pauvreté, de l’insécurité et autres maux, par leur compétence et leur savoir-faire.

C’est dire que pour la présidentielle de 2018, s’annonce déjà un choc des ambitions. Reste maintenant à voir son impact sur la vie des populations.    

 A.B. NIANG

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12 COMMENTAIRES

  1. Est-ce que quiconque voulant devenir candidat a la Presidence du Mali le devient par son bon vouloir?Qu’il soit incompetent ,incapable de comprendre les taches d’un President du Mali,qu’il soit corrrompu ayant fait ses CFA en volant l’Etat ,en se livrant au commerce de drugs,qu’il soit traitre a la solde des puissances exterieures ,qui vont faire sa promotion ? Meme dans les Etats industrialises ,il y a une serie d’elections prealables pour choisir ceux que les electeurs veulent voir briguer le poste Presidentiel!Il y a innovations a faire dans ce domaine crucial , pour cette election dont va dependre l’avenir du Mali.Va-t-il etre partitionne,pour servir de mine d’exploitation des ressources minieres,des metaux precieux ou des matieres energetiques,pendant que les habitants vegetent dans la misere,meurent de n’importe quelle infection ou de carence de nutrients indispensables.Depuis l’independance ,deux ou trois Presidents ont donne satisfaction ;le reste ne meritait pas le poste.Les electeurs Maliens vont-ils enfin se reveiller pour choisir l’homme integre,l’homme visionnaire,l’homme incarnant la Nation,defendant ses interets vitaux,capables de trouver des solutions uniques pour le developpement du pays,l’excellence de l’education,la bonne sante,allongement de l’esperance de vie des populations,et donnant une impulsion a l’integration economique,aux facteurs communs d’accelaration de la croissance regionale.Est-il possible d’etablir une Commission de haute politique composee d’hommes et de femmes impartiaux,dont le patriotisme ne fait pas de doute ,pour faire des recommandations accompagnees des commentaires des services d’intelligencer, a la Cour Constitutonnslle .La politique
    n’est pas une carriere pour faire fortune,pour exhorter la corruption,le clientelisme,le patrimonialisme.
    C’est un sacerdoce demandant des grandes qualites d’Hommes politiques,une grande intelligence doublee d’une grande formation polyvalente, un patriotism a toute epreuve,un amour our le mieux-etre des populations,un haut sens de Justice ,d’integrite et de moralite.Mais avant tout etre visionnaire
    pour voir loin,meme dans les tenebres!

  2. comrades when it come to politicians plus leaders I do not give utmost consideration to who appear best qualified instead I always give utmost consideration to who I believe will lead best giving people interest utmost care. In Mali case leader need timely bring nationwide security plus order as modern living development become more widespread plus inclusive. I hope you all join me in such method of determining Mali next president plus vote in that way. Very much sincere, Henry Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan aka Gue. translationbuddy.com

  3. Je suis tres fier de tous ses enfants du Mali qui veulent prendre en eux-memes le destin de cette grande nation, tous des enfants qui portent le Mali dans leur Coeur, merci a tous pour votre patriotism.

  4. Vraiment parti tout ses candidat un seul sort du lot je parle bien de Modibo KONE. Vraiment cet homme je ne le connais pas personnellement mais je crois ses ideaux de part de qu’il a fait pour la CMDT en si peu de temps. Je me suis bien renseigné sur lui et j’en suis convenu qu’il aime son pays et surtout les maliens, s’est quelqu’un qui n’est pas près à détourner tout l’argent dune structure comme la CMDT au profit de des elections communales comme lui à demandé le pouvoir en place … dire non au pouvoir au pouvoir en place lui a value sa place… c’est un homme comme ça qu’il faut pour le Mali un vrai leader

  5. Les naïfs candidats sans partis politiques implantés se trompent énormément en pensant qu’ ils peuvent dupliquer le cas Emmanuel MACRON au MALI.
    Les citoyens maliens n’ont pas encore le niveau élevé de compréhension de la situation politique de leur pays pour agir en toute indépendance à changer la situation existante.
    Les maliens,en grande majorité ,sont toujours influencés par les «ont-dits»qui profitent à ceux qui le divulguent d’où l’élection d’un certain IBRAHIM BOUBACAR KEITA.
    Ceux qui arrivent à occuper rapidement le terrain sont les plus favorisés d’où l’élection triomphale d’ALPHA OUMAR KONARE en 1992 qui a su implanter son parti sur tout le territoire pendant que ses autres camarades du mouvement démocratique se chamaillaient à Bamako.
    Actuellement seuls les partis politiques implantés localement ont plus de chances de remporter les élections de 2018.Nos compatriotes continuent à écouter ceux qui ont le plus investis dans leurs localités sans chercher à savoir la provenance de leurs ressources d’où des partis provinciaux apparemment indéboulonnables dans plusieurs régions du pays.
    Les présidents de ces partis en font un fonds de commerce pour s’enrichir encore plus en s’ alignant du côté du mieux placé au deuxième tour.
    Que les candidats naïfs affichés ici se détrompent seuls les candidats des partis ADEMA,URD et RPM sont les mieux placés à remporter les élections de 2018.
    Ibk a bénéficié d’une circonstance exceptionnelle en 2013 qui explique encore plus la nécessité d’une implantation solide des partis politiques pour espérer gagner.
    En effet malgré la mobilisation des musulmans,des putschistes et une dose de fraudes SOUMAILA CISSE a poussé Ibk au deuxième tour.
    Cette résistance à empêcher Ibk à remporter au premier tour est le résultat de l’implantation de l’URD dans le pays profond.
    En réalité Ibk n’a pas bénéficié d’un plébiscite comme on a envie de le dire régulièrement.
    Le plébiscite s’explique,en vérité,au premier tour comme la réelle popularité du candidat.
    En 2007 ATT a pu bénéficier réellement d’un plébiscite car ayant fait un large score au premier tour à cause du ralliement de deux grands partis de la scène politique malienne :l’ ADEMA et l’ URD.
    Ne confondons pas le peuple réseaux sociaux qui s’est mobilisé pendant l’arrivée de Ras bath et pour les marches de la plateforme ANTÈ A BANNA et le peuple malien .
    L’un est apte à se manifester dans la rue,l’autre vote pour ceux qui les fréquentent régulièrement .
    L’électorat malien n’est pas majoritaire dans les grandes villes ,plutôt dans les provinces.
    Ce qui donne l’impression de fraude pour ceux qui sont populaires à Bamako comme Ibk en 2002.
    On peut remporter haut la main à Bamako et perdre l’élection générale.
    Le MALI n’est pas la France.
    Les citoyens français ont une mentalité politique largement supérieure à celle des maliens pour espérer voir le cas MACRON se reproduire au MALI.

  6. Vievement le Grand Changement,
    @ Touré, d’où tu sorts cette info? Un declairessissement Stp. Intéressant a savoir.
    Dans tous les cas, c’est l’etat et le gouvernement qui sont à la dérive. On dit que l’on recolte ce que l’on sème.
    Houbien??? D’apres kopin nfp.. Lol…

  7. ALERTE…ALERTE….ALERTE…ALERTE…ALERTE…ALERTE…ALERTE…ALERTE…ALERTE…ALERTE CHERS FRÈRES ET SŒURS DU MALI. DES MILLIERS DE NOS COMPATRIOTES SONT EN DANGER DE MORT DANS LE SAHARA.
    Au lieu de vous préoccuper de futurs candidats aux élections qui sont encore loin, il faut sortir du sujet pour vous pencher sur la situation que vivent nos compatriotes en Algérie. Ce qui se passe en Algérie est d’une gravité sans précédent. En effet, depuis quelques jours, les Algériens expulsent nos compatriotes de manière fort bien cruelle. Au lieu de les déposer à la frontière comme d’habitude, c’est en plein désert qu’ils les larguent, et les laissent se débrouiller seuls, sans eau ni nourriture pour disent-ils, qu’ils ne reviennent plus. Comment cela peut-il être possible, que des êtres humains puissent être lâchés dans la nature sans aucune mesure d’accompagnement en plein désert. Voici une fois de plus la cruauté et l’ingratitude des Algériens que le Mali a aidés, nourris et entretenus toute la guerre contre la France durant. Voilà comment ces enfants de putes nous payent aujourd’hui. Depuis le cession de la base de Téssalit par le Mali à la France, les Algériens ont décidé de nous le faire payer. N’eut été l’accession de ce crétin d’IBK au pouvoir, la France pendant plus de trente ans a courtisé les Présidents Maliens successifs pour l’obtention de la base de Téssalit sans succès. Ce minable Président, ne connaissant rien à la géopolitique, a offert la base de Téssalit sans avoir au préalable pris l’initiative de consulter les spécialistes de la diplomatie Malienne, pour connaitre les vraies raisons du refus du Mali à accéder à la demande persistante de la France pour l’acquisition de cette base. IBK et les autorités Algériennes auront sur leurs sales consciences, la mort de tous ces Maliens qui périssent quotidiennement dans le Sahara. Ils meurent de soif, de faim et de fatigue. Aucune initiative des autorités Maliennes qui d’ailleurs, ne pourront pas aller les sauver car, elles n’ont pas accès à la zone où sont libérés les compatriotes, du fait de la rébellion et du djihadisme ambiant. Certains de ces expulsés sont récupérés et recrutés de force par les djihadistes qui sévissent dans la région. Une grande majorité de Maliens ont des parents proches ou éloignés parmi ces sinistrés. Personne ni aucune autorité Malienne, encore moins l’Ambassade du Mali à Alger, ne s’est prononcé sur le sujet, comme s’il s’agissait d’animaux sauvages. Ce sont les pauvres migrants qui payent aujourd’hui les erreurs de cet enfoiré et minable Président que Dieu a bien voulu donner aux Maliens. Cet homme est vraiment un moins que rien. Il n’est intéressé que par sa seule réélection que les Maliens lui renverront comme une arête de poisson dans la gorge. Les minables autorités Maliennes ont sûrement une pierre à la place du cœur. Ces pédés sont là, entrain de voler les deniers publics, tandis que nos compatriotes sont en danger de mort, sujets à toutes sortes de maltraitances de la part de ces fils de putes ingrats d’Algériens qui haïssent déjà les noirs qu’ils n’ont jamais considérés que pour des moins que rien. Puisse le bon Dieu maudisse IBK et tous ceux qui se comportent comme lui envers les citoyens Maliens abandonnés de tous. Le Président accidentellement élu du Mali, ce connard d’IBK paiera très cher son mépris pour ces exilés qui ne demandent qu’à revenir à la maison, ce qui est du devoir du gouvernement. Que la malédiction divine tombe sur tous ces enfoirés qui jouissent de l’argent des Maliens et ne les assistent pas en cas de danger. Des milliers de Maliens sont en danger de mort. Puisque cet enculé et maudit Président ne réagit pas à la souffrance de nos frères et sœurs qui meurent dans le désert, les Maliens ont tous les droits d’appliquer la réciprocité aux bâtards d’Algériens qui vivent chez nous quelque soit leur rang et leur nombre. Aucun Algérien ne doit dormir au Mali ce soir. Voici encore une fois, la preuve que le Mali n’a pas de Président. Le pays est entre de mauvaises mains, des mains inexpertes de voleurs et de vauriens. Cet amaldème d’ivrogne ventru imbibé de whisky ne prononcera pas un seul mot à l’endroit les autorités Algériennes qui infligent toutes ces tortures à nos compatriotes. Et dire que ce sont ces bâtards d’Algériens qui entretiennent la rébellion chez nous depuis trois décennies. Quelle malédiction pour les Maliens d’avoir ce connard d’IBK comme Président. Voilà une très bonne raison et une bonne occasion pour une insurrection populaire pour faire partir ce Président insouciant, inconscient, incompétent, incapable, corrompu, voleur, vaurien et sans cœur. IBK aura sur la conscience, si telle est qu’il ait une, la mort de tous ces Maliens. Dieu le punira, rien que pour cette méprise. Puisse Dieu le faire battre aux élections pour lesquelles il n’a pas de temps pour aller sauver ses propres frères et sœurs. Certainement que beaucoup parmi eux avaient voté pour cette vermine. Que Dieu maudisse Boutflika et IBK, le deux K donnent caca. Quel duo de merde!!!!!!

  8. y a pas des problème comme se L’Etat qui finance 45 milliards f cfa vous pouvais se Pre sente mais ce les peuple qui soi-xi

  9. y a pas des problème comme se L’Etat qui finance 45 milliards f cfa vous pouvais se Pre sente

  10. Seul Oumar Tatam Ly pourrait incarner le changement et le renouvellement sur tous les plans. Mais sera-t-il candidat? Le militantisme politique et intellectuel de sa famille pour le MALI est connu de tous. Candidat, s’il l’était, il pourrait bien compter sur ce “trublion” de Rasta. Ce qui serait la présidentielle du Renouveau du Mali. Tous les vieux corrompus de la politique regagneraient leurs champs qu’ils ont minutieusement équipés sur le dos du pauvre malien. Houbien !!!!

  11. Un article très bien écrit.
    Sûrement un cadre des anciennes écoles. Au Mali, nous n’avons plus de journaliste à même d’écrire un article soutenu et agréable à lire.
    Merci Mr Niang.

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