Présidentielle : Chronologie d’une élection présidentielle mouvementée

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Mohamed Ali Bathily au Meeting du collectif des 18 candidats
Une vue des 18 candidats

Suite à la convocation du collège électoral par le Décret n°2018-0398/P-RM du 27 avril 2018 et à l’effet de procéder à l’élection du président de la République (scrutin du 29 juillet 2018), le dépôt des candidatures en vue de l’élection présidentielle débute le  30 mai 2018 à partir de 00 heure et prend fin le 28 juin 2018 à minuit”. Retour sur un scrutin particulièrement mouvementé.

A la date du 28 juin 2018, ils sont 30 prétendants à faire acte de candidature auprès de la Cour constitutionnelle, instance habilitée à statuer sur les dossiers de candidatures. Le 30 juin 2018, sur trente dossiers de candidatures déposés, dix-sept ont été validés par la Cour constitutionnelle. Mais la  liste des candidats est revue à la hausse le 4 juillet ; date de la proclamation de la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle par la Cour constitutionnelle. Entretemps, les candidats recalés, essentiellement pour dossier incomplet ont introduit des recours à la cour. Le 4 juillet, la Cour constitutionnelle proclame donc la liste définitive de 24 candidats à la présidentielle. L’arrêt  tombe à la mi-journée. Sur 32 dossiers de candidature, 24 ont été validés et 8 rejetés. Selon la présidente de la Cour Constitutionnelle, Manassa Dagnoko, il s’agit des candidats dont les dossiers ont été déclarés recevables par le Conseil constitutionnel et qui répondent à toutes les exigences légales et réglementaires de validité. Parmi eux figurent une seule femme, Mme Kanté Djénéba Ndiaye mais aussi le président sortant Ibrahim Boubacar Keita. Sept prétendants dont les candidatures avaient été invalidées par la Cour faute de soutien valide ou authentique ont finalement été retenus. Il s’agit de Choguel Kokala Maïga, Harouna Sankaré, Cheick Mohamed Abdoulaye Souad dit Modibo Diarra, Niankoro Yéah Samaké, Mamadou Traoré, Hamadoun Touré et Mountaga Tall. Selon la Cour constitutionnelle, ces candidats ont pu régulariser leurs dossiers et dans le délai. Par contre, huit autres candidatures ont été rejetées par la Cour constitutionnelle pour des raisons liées essentiellement au parrainage. Cette décision de la cour est irrévocable, selon sa présidente.

Le samedi 7 juillet 2018 débute officiellement la campagne pour l’élection présidentielle. L’un des temps forts de cette campagne demeure les meetings de lancement des deux principaux candidats, le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta, et le principal opposant Soumaïla Cissé. Le dimanche 8 juillet, le président sortant Ibrahim Boubacar Keita lance sa campagne  dans un Stade du 26 Mars plein à craquer. Au cours de cette rencontre, IBK s’est dit satisfait de la mobilisation et promet de renforcer ses actions dans les domaines des capacités des forces armées maliennes, de l’agriculture et surtout des infrastructures routières. Au même moment sur l’autre rive de Bamako,  le chef fil de l’opposition, Soumaïla Cissé, tient  son premier meeting de campagne devant près de 50 000 personnes réunies au Boulevard de l’Indépendance. Le président Cissé trace les priorités de son programme « Ensemble, restaurons l’espoir ». Ce programme repose sur cinq piliers : la paix et la sécurité par le rétablissement de l’autorité de l’Etat, l’instauration d’un véritable dialogue entre tous les Maliens, la réforme de l’État pour qu’il soit au service des citoyens, la promotion des femmes et des jeunes et la construction d’une économie performante et solidaire

Cette campagne du premier tour aura été surtout marquée par de fortes suspicions de fraude. En effet,  à moins d’une semaine du premier tour de l’élection, le directoire de campagne de Soumaïla Cissé dénonce l’existence d’un fichier électoral « parallèle » différent de celui audité par des experts de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en avril dernier.

Selon Tiébilé Dramé, le directeur de campagne de Cissé, ce fichier comporterait un potentiel de plus de 1,2 millions de voix fictives, sur environ 8 millions d’électeurs inscrits, l’équipe de Soumaïla Cissé est vite rejoint par 19 autres candidats à la présidentielle, sur les 24,  qui s’interrogent sur la fiabilité du document. Dans un communiqué conjoint, les candidats demandent une rencontre avec le Premier ministre. Objectif : lever toutes les zones d’ombre sur ce fichier avant d’aller aux élections.

Pour être rassurés, les partis contestataires demandent une rencontre de haut niveau avec le Premier ministre pour, disent-ils, « examiner les conditions politiques et techniques d’un scrutin crédible le 29 juillet 2018 ». Ils convient également les membres de la CENI, et la communauté internationale à cette réunion.

En plus, les 20 candidats ou leurs mandataires exigent que « les autorités judiciaires compétentes se saisissent du dossier pour situer les responsabilités ». Finalement à la veille du scrutin du 29 juillet, un accord sous la houlette de la communauté internationale est trouvé autour du « fichier électoral et des procurations » entre le gouvernement et les 20 candidats.

 Un scrutin sur fond d’insécurité

Dimanche 29 juillet 2018, le premier tour de la présidentielle se déroule. Si les opérations de vote se déroulent dans le calme dans la capitale, la situation est plus difficile dans le centre du pays, en particulier dans la région de Mopti où l’insécurité chronique a un impact direct sur le déroulement du scrutin. Des incidents ont eu lieu dans des communes du Nord et du centre du pays où le vote n’a pas pu se tenir. Le ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation annonce via un communiqué que 644 bureaux au total (sur 21 863) n’avaient pas pu ouvrir suite à « des attaques à main armée et autres violences ».

Avant même la proclamation des résultats officiels au premier tour de la présidentielle, une vingtaine de candidats, parmi lesquels les principaux challengers du président sortant Ibrahim Boubacar Keïta, dénoncent, le  mercredi 1 aout 2018, les résultats du scrutin qu’ils estiment « émaillé de multiples anomalies ». Parmi les « graves anomalies » que les challengers du président sortant dénoncent en chœur : « La corruption et l’achat du vote des électeurs », et « l’utilisation abusive des moyens de l’État » au service du candidat IBK.

Le 2 août 2018, le ministère de l’administration territoriale et de la décentralisation, proclame  les résultats du premier tour de la présidentielle. Il y aura un second tour  le 12 aout entre le président sortant Ibrahim Boubacar Keita et le chef de file de l’opposition Soumaïla Cissé qui obtient 17,80% des voix. Le taux de participation est de 43,06%.

Le 8 aout 2018, la cour constitutionnelle valide le premier tour de l’élection présidentielle avec des chiffres quasi identiques aux scores du ministère de l’administration territoriale et rejette tous les recours de l’opposition. Au lendemain de la décision de la cour constitutionnelle, un collectif de 18 candidats organise un grand meeting au Palais de la Culture. Occasion pour eux d’exiger plus de transparence et de dénoncer la mascarade électorale organisée par le pouvoir.

Echec au Takokélen

En 2018, le chef de l’Etat sortant, Ibrahim Boubacar Keita et ses partisans caressaient l’espoir de faire comme Alpha O Konaré et Amadou Toumani Touré. Mais, ce rêve de IBK est brisé : il est contraint à un second tour. En effet,  le président sortant sera contraint  à un second tour    Ibrahim Boubacar Keïta a obtenu 41,42% des suffrages exprimés, Soumaïla Cissé est pour sa part crédité de 17,80%, selon les chiffres annoncées, par le ministre en charge de l’Administration territoriale. Ces résultats sont en somme un désaveu cinglant pour le président Keïta. Ainsi, IBK devient le 1er président sortant de notre histoire démocratique à passer par une seconde manche pour assurer sa réélection. Pour celui qui avait obtenu 77 % des voix en 2013.

Le groupe des dix-huit se fissure

Après la proclamation des résultats du premier tour,  l’unité de l’opposition vole en éclats.  En effet, la première à  briser l’alliance est l’unique femme candidate à l’élection présidentielle. Mme N’Diaye Djénéba N’Diaye. Elle sera rejoint par le candidat du Mouvement Mali Kanu (MMK), Modibo Koné. Le revirement de ce dernier fut très surprenant. Et pour cause : l’ancien PDG de la Compagnie Malienne de Développement des Textiles (CMDT), Modibo Koné s’était clairement aligné dans le camp de l’opposition pendant toute la campagne. Ensuite c’est le tour de la Codem  de  Housseini Amion Guido d’appeler à voter pour le candidat Ibrahim Boubacar KEITA au second tour de l’élection présidentielle. D’autres membres du collectif adoptent une autre stratégie. Celle de ne pas donner de consigne de vote : Aliou Diallo,  Mohamed Ali Bathily, Oumar Mariko, Hamadoun Touré, Adama Kané, Mamadou Igor Diarra…

La classe politique malienne venait (encore) de démontrer toute son immaturité et  les jeux d’intérêts qui caractérisent les politiques maliennes

 

Un second tour marqué par la fraude et la violence

Le dimanche 12 août 2018, les électeurs  participent sans enthousiasme au second tour de la présidentielle. Un scrutin marqué par une faible mobilisation et des violences au cours desquelles un agent électoral est tué  à Tombouctou. Un scrutin surtout marqué par des accusations de fraude. Ainsi avant même la publication des résultats, le candidat de l’opposition, Soumaïla Cissé,  rejette lundi 13 août 2018 à l’avance les résultats du second tour de la présidentielle, entachés selon lui de fraudes, et appelle la population à “se lever”. “D’ores et déjà, nous rejetons les résultats”,  déclare au QG de son parti Soumaïla Cissé… “J’en appelle à tous les Maliens à se lever (…) Nous n’accepterons pas la dictature de la fraude”, a-t-il ajouté.

“La fraude, elle est avérée, c’est pour ça qu’il y a des résultats que nous n’accepterons pas. Ceux qui ont fraudé, c’est ceux qui embrasent le pays”, a ensuite dit à la presse Soumaïla Cissé, qui a été crédité de 17,78% des voix lors du premier tour le 29 juillet, contre près de 42% au président sortant “. Soumaïla Cissé rejette aussi  les résultats définitifs annoncés  le lundi  21 août  2018 par la cour constitutionnelle, selon lesquels, IBK, 73 ans, a obtenu 67,16 % des suffrages, contre 32,84 % à Soumaïla Cissé. « Je rejette catégoriquement et sans équivoque les résultats proclamés par la Cour constitutionnelle. Par conséquent, je ne reconnais pas élu le président déclaré par elle », a déclaré Soumaïla Cissé, le 23 août dernier, lors d’une conférence de presse. « Cette institution s’est discréditée en se constituant prisonnière volontaire d’un régime autocratique », a accusé Soumaïla Cissé, qui, à la présidentielle de 2013, avait rapidement concédé sa défaite face à IBK. Très en verve, Soumaïla Cissé a affirmé faire partie des 18 candidats sur les 24 à l’élection présidentielle malienne à avoir dénoncé « les fraudes massives ». Selon lui, les résultats du scrutin du 12 août sont désormais également contestés par une partie de l’opinion publique.

En tout cas, il « rejette catégoriquement et sans équivoque les résultats proclamés par la Cour constitutionnelle ». Soumaïla Cissé l’affirme : « Je ne céderai pas, en votre nom, à faire établir votre victoire, par tous les moyens légaux, politiques et pacifiques ». En conséquence, il ne reconnaît « pas élu le président déclaré ». Depuis l’opposition a mobilise plusieurs centaines de milliers de personnes  à l’intérieur ainsi qu’à l’extérieur du pays pour réclamer le respect du vote des citoyens.

Mémé Sanogo

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1 commentaire

  1. Nous disons et rappelons la vérité fait mal aux malhonnêtes et les met hors d’eux mais apaise et ou rend heureux les honnêtes

    1)Nous disons et rappelons aux maliens et maliennes fiers et honnêtes ayant un amour profond pour leur Mali

    *LES AVOIR AVERTI ALERTÉ PRÉVENU AVISÉ Á MAINTE REPRISES SUR MALIWEB LORS DES ÉLECTIONS PRÉSIDETIELLES 2013 DE NE PAS CHOISIR LE LETTRÉ MUTANT PRÉSIDENT SORTANT POLITIMÔGO SYBARITE AU RISQUE D’ASSISTER

    Á LA DÉLIQUESCENCE Á LA DÉSAGRÉGATION AU POURRISSEMENT DE LEUR MALI

    AINSI QU’AUX ATTAQUES D’EST EN OUEST DU NORD AU SUD EN PASSANT PAR LE CENTRE DES VOYOUS DE FAMEUX TERRORISTES FAUX DJIHADISTES FAUX ISLAMISTES MAINTENANT EXTRÉMISTES VIOLENTS DE SATAN SELON LEURS COMMANDITAIRES ET MAITRES POUR L’AVÈNEMENT DE LEUR NOUVEL ORDRE MONDIAL SATANIQUE

    *TEL LE MOLOSSE QUI NE PEUT CHANGER « SA DÉHONTÉE FAÇON DE S’ASSEOIR »

    LES LETTRÉS MUTANTS ET MUTANTES MALIENS ET LEURS FIDÈLES KLÉBARS ET DOUNGOUROUS DE PARTISANS ET PARTISANES MUTÉS ET LEURS HOMOLOGUES AFRICAINS AU SUD DU SAHARA

    NE PEUVENT CHANGER « LEUR DÉHONTÉE FAÇON DE S’ASSEOIR DE DIRIGER D’ADMINISTRER DE SE VAUTRER DE SE CONDUIRE D’AGIR D’OPÉRER »

    *L’HABITUDE EST UNE SECONDE NATURE QUI REVIENT TOUJOURS RAPIDEMENT AU GALOP

    AINSI LEUR LETTRÉ MUTANT PRÉSIDENT POLITIMÔGO SYBARITE LE MARCOPOLO MALIEN CHOIX DE LA FRANCE-AFRIQUE

    Á PEINE RÉÉLU PAR LEUR COUR CONSTITUTIONNELLE

    A REPRIS DE PLUS BELLE SES HABITUDES

    *ALLAH DIEU MANGALAH YAHWEH AIME ET AIDE LES PERSONNES QUI FOURNISSENT DE L’EFFORT PERSONNEL POUR LA RÉSOLUTION DE LEURS PROBLÈMES

    *ALLAH DIEU MANGALAH YAWEH A HORREUR DÉTESTE LES PERSONNES QUI NE COMPTENT QUE SUR UN TIERS AINSI IL LES REND DÉPENDANTS SOUMIS ESCLAVES SANS-DENTS S AUX DICTAS DU TIERS

    *IL NE FAUT JAMAIS AU GRAND JAMAIS COMPTER SUR LES AUTRES OU UN TIERS POUR ASSURER LA SÉCURTITÉ LA DÉFENSE DE SON PAYS AU RISQUE DE VOIRE SON PAYS DIVISÉ EN DEUX ENTITÉS DISTINCTES ET OU SOMBRÉ DANS UN CHAOS INDESCRIPTIBLE

    *NOUS SOMMES DANS UNE COMPÉTITION MONDIALE ÉCONOMICO POLITICO MILITARO RELIGIEUSE RACIALE OÚ TOUS LES COUPS SONT PERMIS SANS AUCUN ÉTAT D’ÂME POUR FAIRE MAL DÉTRUIRE ASSERVIR SOUMETTRE DÉPOSSÉDER L’AUTRE ET OÚ IL N’Y A PAS DE PLACE POUR LES ESCLAVES LES SANS-DENTS LES SOUMIS LES BÊTES LES COMPLEXÉS LES COUARDS LES CUPIDES LES FAIBLES LES FAINÉANTS LES FARFELUS LES IDIOTS LES INSOUCIANTS LES LAXISTES LES MÉDIOCRES LES MENDIANTS LES NAÏFS LES PARESSEUX LES PEUREUX LES PLEURNICHARDS LES RÊVEURS LES SENTIMENTAUX LES SYBARITES LES TARÉS

    2)Nous leur disons et rappelons

    *LEUR MALI POSSÈDE LES BASSIN SÉDIMENTAIRES DE TAOUDÉNI DE GAO DE NARA TAMESNA D’IULLEMEDEN RICHES

    EN TERRES RARES (QUI SONT LES ÉNERGIES DU FUTUR)

    EN D’AUTRES MINERAIS (QUI SONT UTILISÉS DANS LES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE MAINTENANT)

    ET SURTOUT EN EAU POTABLE SOUTERRAINE (QUI CONSTITUE LA DENRÉE RARE DE DEMAIN)

    AINSI LEUR BASSIN DE TAOUDÉNIE DU MALI RENFERME ENVIRON 2700 MILLIARDS DE MÈTRE CUBES D’EAU POTABLE SOUTERRAINE AVEC UNE CAPACITÉ DE RENOUVELLEMENT ANNUEL DE 66 MILLIARDS DE MÈTRE CUBES

    AINSI LEUR BASSIN DE IULLEMEDEN RENFERME ENVIRON 2000 MILLIARDS DE MÈTRE CUBES D’EAU POTABLE SOUTERRAINE AVEC UNE CAPACITÉ DE RENOUVELLEMENT ANNUEL DE 2,5 MILLIARDS DE MÈTRE CUBES

    PAR AILLEURS DE PAR LEURS POSITIONS STRATÉGIQUES MILITAIRES LE PROCHE ET LE MOYEN ORIENT SONT A PORTÉS DE MISSILES

    ET CELA SUSCITE SÙREMENT SANS AUCUN DOUTE LA CONVOITISE L’APPÉTIT DE LEURS SOIT-DISANT AMIS ENNEMIS LES AUTRES ET ORGANISATIONS

    *IL N’EST POINT DONC ÉTONNANT SURPRENANT DE VOIR LES FORCES DE DÉFENSE DES SOIT-DISANT AMIS ENNEMIS LES AUTRES ANCIENS COLONISATEURS LES AUTRES D’EUROPE LES AUTRES DES AMÉRIQUES LES AUTRES ORGANISATIONS etc

    SE RUER SE DÉFERLER D’ASSAILLIR DE PIQUER DE FONCER DANS LES ZONES SEDIMENTAIRES DE LEUR MALI

    POUR S’ACCAPARER S’APPROPRIER INDUMENT CES ZONES

    *POUR CELA IL FAUT DONC Á LA TÊTE DE LEUR MALI COMME PRÉSIDENT LE LETTRÉ MUTANT MALIEN LE PLUS ESCLAVE LE PLUS SOUMIS ET LE PLUS SANS-DENT AU PROPRE COMME AU FIGURÉ

    QUI APPLIQUERA Á LA LETTRE LEURS DICTAS AU DÉTRIMENT DE SON MALI

    AINSI ILS ONT RECONDUIT LE PRÉSIDENT MUTANT POLITIMÔGO SYBARITE LE MARCOPOLO MALIEN CHOIX DE LA FRANCE-AFRIQUE SORTANT

    3)Nous disons et rappelons aux maliens et maliennes SURTOUT CEUX ET CELLES D’ENTRE EUX QUI ONT TRAFICOTÉ MAGOUILLÉ TRAFIQUÉ MANIGANCÉ TRICHÉ POUR LA RÉÉLECTION DU LETTRÉ MUTANT POLITIMÔGO SYBARITE LE MARCOPOLO MALIEN CHOIX DE LA FRANCE-AFRIQUE SORTANT

    *LEUR DIABOLISME LEUR LUCIFÉRISME LEUR MACHIAVÉLISME ET LEUR MÉPHISTOPHÉLISME LES CONDUIRA SANS AUCUN DOUTE SÛREMENT INFAILLIBLEMENT INÉLUCTABLEMENT INDUBITABLEMENT Á COUP SÛR

    Á ÊTRE LES ASSERVIS LES ASSUJETTIS LES CAPTIFS LES DOMESTIQUES ESCLAVES LES PRISONNIERS LES SERFS LES VASSEAUX DES SOIT-DISANT AMIS-ENNEMIS LES AUTRES ET ORGANISATIONS LES MAITRES ET COMMANDITAIRES DES VOYOUS DE FAMEUX TERRORISTES FAUX DJIHADISTES FAUX ISLAMISTES MAINTENANT EXTRÉMISTES VIOLENTS DE SATAN POUR L’AVÈVENEMENT DE LEUR NOUVEL ORDRE MONDIAL SATANIQUE

    *AINSI LEURS MAITRES ET COMMANDITAIRES DU MAGHREB D’ARABIE D’OCCIDENT ET ORGANISATIONS

    LES ONT DIT DE DEMEURER TRANQUILLES DE RESTER COL DE DEMEURER Á L’ÉCART DE RESTER DANS LEUR TANIÈRE DE RESTER FROID DE RESTER BRAS CROISÉS

    EN ATTENDANT LA RÉÉLECTION DU LETTRÉ MUTANT POLITIMÔGO SYBARITE LE MARCOPOLO MALIEN CHOIX DE LA FRANCE-AFRIQUE SORTANT PAR LA TRICHE LA TRICHERIE LA FALSIFICATION LE TRICHAGE LE BOURRAGE LE REMBOURRAGE LE REMPLISSAGE DES URNES ET PAR SA CONFIRMATION PAR LA COUR CONSTITUTIONNELLE MUTÉE SOUMISE Á LEURS DICTAS

    QU’ILS SAVENT INCOMPÉTENT NOTOIRE Á DIRIGER DE FAÇON EFFICACE COMPÉTENTE EFFICIENTE LE MALI ET Á FAIRE FAÇE Á LEURS ATTAQUES MORTELLES

    4))Nous leur disons et rappelons

    *AINSI APRÈS L’INVESTITURE DE LEUR LETTRÉ MUTANT POLITIMÔGO SYBARITE LE MARCOPOLO MALIEN CHOIX DE LA FRANCE-AFRIQUE

    ILS ASSISTERONT Á DES ATTAQUES DES ASSAUTS DES BOMBARDEMENTS DES INVASIONS MULTIPLES ET DE GRANDES ENVERGURES

    *DANS L’OBJECTIF DE LES BUTER LES BOUSILLER LES ASSASSINER LES EXPLOSER LES ZIGOUILLER LES MASSACRER LES TUER LES VIOLER LES LYNCHER LES TRUCIDER LES FLINGUER LES LIQUIDER LES SAIGNER LES CADAVÉRER LES RENDRE CULS-DE-JATTE Á JAMAIS ET POUR TOUJOURS

    SURTOUT QUE LES VOYOUS DE FAMEUX TERRORISTES FAUX DJIHADISTES FAUX ISLAMISTES ONT REÇU DES RENFORTS VENANT DE LA SYRIE DE L’AFGHANISTAN DE L’IRAK DE LA SYRIE SELON LEURS MAITRES ET COMMANDITAIRES

    ET PERSONNE NE VIENDRA LES SORTIR DE CE MERDIER DONT ILS ONT ÉTÉ EUX MÊMES LES RESPONSABLES

    Á SAVOIR L’IRAKINISATION L’AFGHANISATION LA SYRISATION DE LEUR MALI

    5)Nous leur disons et rappelons DE SE RAPPELER

    *DANS QUEL ÉTAT SE TROUVENT L’IRAK DEPUIS 1991 AFGHANISTAN DEPUIS 2001 EN COMPTANT SUR UN TIERS OU LES SOIT-DISANTS AMIS-ENNEMIS LES AUTRES ET ORGANISATIONS

    *C’EST LA CHAOTISATION C’EST LA DISLOCATION L’ÉMIETTEMENT LA DÉSAGRÉGATION CE SONT LES TUERIES LES CARNAGES LES ATTENTATS LES VIOLS DE RENOUVELLEMENT EN RENOUVELLEMENT DE MANDATS

    ET PERSONNE NE SAIT QUAND TOUT CELA PRENDRA FIN CAR IL Y A TOUJOURS LA PRÉSENCE D’UN TIERS OU LES FORCES SOUS MANDAT DE RENOUVELLEMENT DE MANDATS EN RENOUVELLEMENT DE MANDATS

    *SEULS COMPTENT LES INTÉRÊTS DE LEURS SOIT-DISANT AMIS-ENNEMIS LES AUTRES ET ORGANISATIONS

    ET CELA AU GRAND-DAM DES POPULATIONS DES PAYS OÙ ILS SONT

    6)Nous leur disons et rappelons ET INSISTONS

    *LA GANGRÈNE DE LA POURRITURE DE LA CORRUPTION DE LA CUPIDITÉ DANS TOUS LES SECTEURS

    *LA BOUFFE DES DENIERS PUBLICS ET DONS

    *L’INJUSTICE L’INIQUITÉ L’INÉGALITÉ 2POIDS 2MESURES REINES

    *LA FAMILLE D’ABORD LE CLAN POLITIQUE D’ABORD

    *ET LEUR MALI DERRIÈRE EN ARRIÈRE EN ARRIÈRE-TRAIN

    SERONT Á LEUR PAROXYSME LEUR SOMMUM LEUR PINACLE

    *AINSI LES PAUVRES MALIENS ET MALIENNES SERONT DES MISEREUX DES LOQUETEUX DES CLOCHARDS DES SANS-SOUS DES TRAINES-MISÈRE DES MEURTS-DE-FAIM DES CLOCHARDS DES CRÉVES-LA-FAIM DES MITEUX DES MARMITEUX DES POUILLEUX DES FAMÉLIQUES DES VA-NUS-PIEDS DES SOUFFRETEUX

    *AINSI LES JEUNES MALIENS ET MALIENNES NON MEMBRES DE LA FAMILLE NON MEMBRES DU CLAN POLITIQUE

    SERONT NOMBREUX ABONDANTS INNOMBRABLES CONSIDÉRABLES DANS LES CAMIONS DE LA MORT DANS LES PRISONS DE LA MORT DE LIBYE D’ARABIE DANS LES BATEAUX DE LA MORT ERRANTS DÉAMBULANTS SUR LES OCÉANS

    7)Nous leur disons er rappelons ÉGALEMENT

    *LA LETTRÉE MUTANTE MALIENNE SOIT-DISANT 1ère DAME ET SES CONSOEURS MUTÉES AU SUD DU SAHARA

    ONT REÇU D’ÉNORMES SOMMES D’ARGENT DE LA PART DE LEURS SOIT-DISANT AMIS-ENNEMIS LES AUTRES D’OCCIDENT ET ORGANISATIONS

    *EN VUE DE L’EXÉCUTION DE LA SALE BESOGNE DE MERDIQUE Á SAVOIR

    RÉDUIRE LEUR TAUX DE NATALITÉ ET AINSI RÉDUIRE LE NOMBRE DE MALIENS ET MALIENNES ET POURTANT LA POPULATION MALIENNE EST TROIS FOIS Á CINQ FOIS MOINS QUE LES LEURS

    RENDRE MALADES IMPOTENTES PARALYTIQUES GRABATAIRES HÉMIPLÉGIQUES INFIRMES PARAPLÉGIQUES ESTROPIÉES PERCLUSES ENKYLOSÉES TÉTRAPLÉGIQUES LES MALIENNES

    EN METTANT AINSI LES MALIENNES SOUS CONTRACEPTIFS ELLES TOMBERONT TOUTES MALADES AVEC LES EFFETS SECONDAIRES QUI SONT L’HYPETENSION ARTÉRIELLE LES ACCIDENTS VASCULAIRES CÉRÉBRAUX L’OBÉSITÉ LE CANCER DU SEIN DE L’ENDOMÈTRE LE DIABÈTE AVEC LEURS CONSÉQUENCES

    *SOUS LE PRÉTEXE FAUX FALACIEUX MENSONGER FOURBE HYPOCRITE CHIMÉRIQUE ÉGARANT ILLUSOIRE IMAGINAIRE IMPOSTEUR TARTUFE

    QUE LEUR SOUS-DÉVELOPPEMENT EST UN PROBLÈME DE DÉMOGRAPHIE HORS CONTRÔLE

    *DANS LE SEUL BUT LE SEUL OBJECTIF LA SEULE INTENTION LA SEULE VISÉE LE SEUL DESSEIN LA SEULE FINALITÉ

    DE S’ACCAPARER DE S’APPROPRIER DE PRENDRE POSSESSION EN TOUTE TRANQUILITÉ DU MALI DE SES TERRES RICHESSES ET BASSINS SEDIMENTAIRES

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