A lire le communiqué de Presse du Comité Exécutif de l’Adema-PASJ ci-dessous.
Communiqué de Presse de l’Adema-PASJ suite au compte rendu du meeting politique organisé par certaines associations de la société civile en faveur de Kalifa Sanogo, maire de la commune urbaine de Sikasso, par RFI.
Dans le journal parlé matinal de RFI (Radio France Internationale) de ce dimanche 17 septembre 2017, le Comité Exécutif du Parti Africain Pour la Solidarité et la Justice (ADEMA-PASJ) a appris avec surprise des informations diffusées sur RFI, par la voix de son correspondant local, concernant une décision émanant de l’instance dirigeante du Parti, relative à son positionnement par rapport à la majorité présidentielle et à la désignation de son candidat à la prochaine présidentielle.
Par le présent communiqué, l’Adema-PASJ apporte un démenti ferme concernant ces informations infondées, à la limite tendancieuses sur un événement politique auquel la Direction nationale du Parti, ni les structures du parti, ni les militants n’ont été associés.
L’Adema-PASJ ne se sent nullement concerné par ce meeting organisé à Sikasso, le samedi 16 septembre 2017 pour soutenir la soi-disante candidature de Kalifa SANOGO, Maire élu sous les couleurs du Parti dans la commune urbaine de Sikasso.
La Direction du Parti tient à signaler qu’à ce jour, le processus de désignation du candidat du Parti à l’élection présidentielle de 2018 n’est pas encore déclenché. Ce processus répond à des dispositions précises des statuts du parti et n’est mis en route que par le Comité Exécutif, à travers les instruments et mécanismes prévus à cet effet.
Aussi, le Comité Exécutif invite-t-il les militants, à quelque niveau que ce soit, à respecter les règles établies et partagées pour le bon fonctionnement et la cohésion du parti et à demeurer unis derrière ses mots d’ordre.
Par ailleurs, le Comité Exécutif de l’ADEMA-PASJ, tout en réitérant son soutien au Président de la République, invite les militantes et militants à rester vigilants et sereins pour la préservation de l’unité au sein du parti et, partant, de l’ensemble des forces vives de notre Pays face aux grands enjeux de l’heure.
Unis, nous pouvons tout gagner, désunis, nous perdons tout.
Vive le Parti Adema-PASJ / Vive le Mali
Bamako, le 17 septembre 2017
Le Comité Exécutif
Par le Président du Parti/ P.O
Le Secrétaire Général
Assarid Ag Imbarcaouane
Commandeur de l’Ordre National
Avec ou sans L’ADEMA Kalfa Sanogo sera notre candidat, comme il est maire sous les couleurs du partie c’est normal qu’il cherche a représentent le partie à l’élection présidentielle comme tout membre. Grace a lui maintenant l’Adema vas presenter un candidat sinon tout le monde savais que leurs plan étaient de soutenir IBK. Ils font tout ce bruit parce que leurs plan a été fosse c’est tout. Pour votre information ils ont plus besoin de Kalfa que Kalfa a besoin d’eux.
Ce communiqué du CE de l’ADEMA-PASJ est sans objet donc sa valeur. SE Kalfa SANOGO est déjà investi candidat à l’élection présidentielle de 2018 , avec ou sans l’ADEMA-PASJ. Les membres de son fameux Comité Exécutif n’ont pas fini encore de se prostituer au Prince du jour : IBK. En 2002, face à cette même prostitution que cet autre traître ATT , candidat indépendant , avec la complicité d’AOK , est parvenu à se faire élire President de la Republique. Cette fois ci, peut importe la position du CE, SE Kalfa SANOGO est candidat à l’élection présidentielle de 2018, pour succéder IBK. Détrompez vous il sera suivi sans l’aval du CE qui ne représente rien . Comment ce digne fils ne peut pas se présenter sur la demande de son kenedougou natal ? Pensez-vous que le peuple ADEMA continuera à vous suivre ? Mes chers posez le ballon à terre . D’ailleurs que représente ce fameux CE sur l’échiquier politique national ? Le Pr Tiemoko SANGARE qui le dirige est Ministre du gouvernement IBK. Il ne peut même pas rassembler plus de dix (10) personnes dans son village , malgré qu’il est Ministre depuis plus de 10 ans. Un patriote pétri qui veut bâtir un Mali uni prospère et indivisible . Vous avez peur d’aller dans l’opposition , détrompez -vous , vous irez ? 2018 n’est point 2013. Votre jeu est bien compris. Vous voulez un autre candidat qui sera investi par votre CE corrompu ? Jamais gardez ce candidat pour vous même . Une stratégie qui consistera à investir un autre traître qui soutiendra IBK éventuellement au second tour. Ce qui est sûr en 2018, IBK ne sera pas au second tour. Comment l’ADEMA qui a dirigé le pays 10 ans durant sous AOK, à peur de se retrouver dans l’opposition ? Que font les membres du CE ADEMA-PASJ dans les gouvernements successifs d’IBK qu’ils ont combattu ? Malheur à ceux qui ne se soucient que de leur intérêt personnel au detriement de l’intérêt du pays. Vous osez parler de statut de votre parti aujourd’hui ? C’est une honte de votre part. Pourtant AOK a foulé le statut et le règlement de votre parti, vous obliger à soutenir ATT , indépendant contre le candidat de votre parti Soumaila CISSE en 2002. Pour rappel , vous savez ce IBK que vous courtisez actuellement, est parti sur la pointe des pieds . Même si en politique, il manque l’essentiel : la dignité , le CE doit avoir honte de soutenir IBK aujourd’hui . SE Kalfa SANOGO est candidat que vous le voulez ou non, puisqu’il est malien avant d’être militant de l’ADEMA-PASJ. Qui parmi les membres du CE pour se faire élire dans votre ville ou village comme vient de faire Kalfa SANOGO ? Certains de vous sont même interdit de séjour dans leur localité . Si vous n’avez rien à dire vraiment taisez -vous.
On n’avait pas manqué de le faire remarquer. Kalifa Sanogo n’avait pas légitimité à s’autoproclamer candidat d’un parti qui a ses règles et ses modalités de désignation d’un candidat. Cela doit valoir à son auteur d’être même exclu du parti. C’est un acte d’indiscipline d’une gravité sans précédent. Des sanctions doivent tomber afin que de tels actes ne se reproduisent. Si Kalifa a des ambitions, ce qui est tout à fait légitime, il doit se mettre dans les rangs en répondant aux critères que définirait le parti. Avec cet acte, il vient de diminuer ses chances d’être désigné par les instances du parti. Ce n’est pas noble de sa part. Cela peut s’assimiler à de la trahison et ce, dans n’importe quel parti politique. Pourquoi les gens sont aussi pressés? Il sait peut-être, qu’il n’aura aucune chance d’être désigné par l’Adema, alors, il a joué son propre jeu. Maintenant, il ne lui reste plus qu’à se présenter en candidat libre si sa candidature peut être accepté par la Commission Electorale qui n’est même pas constitué encore. Comme quoi, les gens sont trop cons et plus bêtes qu’on ne le croit. Alors donc, l’Adema n’a pas l’intention de présenter un candidat contre l’incomparable et insouciant Président? Certainement que quelque part, IBK les tient par les couilles si l’on sait que les gars ne sont pas allés avec le dos de la cuillère aux postes qu’ils occupent dans cette jungle de la corruption, du vol, du détournement et de la surfacturation qui caractérisent ce régime pourri et incapable de répondre aux préoccupations essentielles des populations. Dire que ce parti qui jadis faisait la fierté de ses membres , est aujourd’hui devenu un parti de prostitués. L’Adema va d’un pas assuré vers une nouvelle partition. Quelle triste fin pour ce parti!!!!
Kalifa a seulement dit qu’il sera candidat parmi les possibles candidats à l’interne du parti. A mon avis, ceci est un droit de toute démocratie. Il est possible que l’ADEMA ne soit pas un parti démocratique; alors la réaction des tenants du parti est normale. Je comprends que l’ADEMA fonctionne comme l’UDPM; du reste ce parti est tenu par les anciens de l’ex parti du Président du Moussa Traoré. Comprenez seulement que si Sikasso soutient Kalifa, aucun candidat aux présidentielles ne peut gagner sans cette région. Alors, au lieu de menacer, il est plus indiqué de négocier.
faux et faux et encore une fausse statistique.
Bon, la manière n’y était pas peut être. Il vient tout de même de lancer un appel qui devra être entendu par l’Exécutif du parti. Le parti devra se poser des questions, s’il souhaite rester derrière chaque président au Mali, ou s’il souhaite reconquérir le pouvoir et permettre un débat démocratique à l’interne. Ouvrez le débat, et permettez aux militants et élus du partis d’en décider s’il y aura participation en tant que parti ou en tant que allié d’un autre parti dans la présidentielle.
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