Hamadoun Touré n’est pas seulement l’ancien conseiller de Paul Kagamé. Il partage avec le président rwandais un discours simple mais pragmatique sur le devenir politique de l’Afrique. Touré veut en effet devenir le prochain président de la République du Mali, un vœu qu’il a affirmé le mercredi dernier (1er novembre). Mais il aura besoin de plus d’un tour pour amener les Maliens à construire eux-mêmes leur pays, comme il l’a déclaré.
Le premier obstacle à l’ambition présidentielle d’Hamadoun Touré est qu’il n’est pas connu du grand public. Hormis le cercle restreint des intellos, l’ancien patron de l’Union internationale des télécommunications (UITC) dit peu aux Maliens. Certains se souviennent tout juste du Malien de Génève dont l’élection à la tête de l’UITC a fait souvent les gros titres de l’ORTM.
Par ailleurs, il lui faudra plus de combativité pour inquiéter ou surclasser des poids lourds de la scène politique nationale dont les noms suffisent à mobiliser du monde. Réaliser cet exploit relèvera du miracle, mais tout ne semble pas perdu. Paul Kagamé dont il veut s’inspirer est parti d’une méthode terre à terre, qui met le citoyen au début et à la fin de l’action publique.
Mais Hamadoun Touré, qui est plutôt un technocrate, pourra-t-il convaincre les Maliens en descendant dans les fossés ? C’est ainsi que Kagamé a en tout cas montré le chemin aux Rwandais en participant symboliquement à des travaux publics. D’aucuns ont annoncé que le Rwanda a changé de visage à travers des programmes inspirés de la colonisation, une manière de dire que le travail collectifs est officiellement encouragé dans ce pays.
Le discours de Touré n’est pas loin de cette méthode dont le premier résultat est la propreté des rues de Kigali. «Personne ne viendra faire le Mali à la place des Maliens », avait glissé le docteur en télécommunication à son arrivée à l’aéroport de Bamako. Sauf que les discours ne suffisent plus à convaincre les Maliens, il faut des actes concrets pour tout homme politique voulant séduire leurs voix.
Et pour poser des actes concrets, il faut de l’argent. Le nerf de la guerre, c’est l’ultime challenge sur le chemin d’Hamadoun Touré. Parcourir le Mali profond, le bercail qu’il ne connait pas probablement, coûtera cher à l’ancien conseiller spécial de Paul Kagamé. Même s’il n’a pas la besace pleine, le temps fou qu’il a passé dans les institutions internationales lui a ouvert des portes où l’argent ne fait pas défaut.
Soumaila T. Diarra
Tous les memes! Toure tout comme Maiga et les autres cisse et sidibe!!! Nuls!!!
BATHILY!COULIBALY! DIARRA OU AG!!! LES POINTS DE PASSAGE NE SONT QUE ARRETS AU LARBINISME !!!!
Un vil soutien du Mnla qui se cache sous un pseudo. Un voleur paresseux qui n’a personne comme Touré dans toute sa famille ne peut etre que jaloux et médisant.
Tous les memes! Toure tout comme Maiga et les autres cisse et sidibe!!! Nuls!!!
BATHILY!COULIBALY! DIARRA OU AG!!! LES POINTS DE PASSAGE NE SONT QUE ARRETS AU LARBINISME!!!!
Le problème est que tout ces gens ne pensent à rendre leur ambition et engagement public que lors que les élections s’approchent. D’accord, vous allez parler de Obama, mis il était élu de congrès et en suite Sénateur avant de se lancer à la course. Pour se lancer aussi il s’est pris tôt et s’est fait entouré par une équipe de bénévole qui est allé dans ce qu’on peut appeler l’Amérique blanche et profonde donc celle qui aurait pu être moins encline à l’élire.
Vous allez aussi parler de Macron, mais il a intégré un gouvernement sans se mouiller et prendre la précaution de quitter le bateau avant qu’il ne soit coulé. Il est allé à la rencontre des populations dans l’intérieure et l’extérieure de la France. Il s’est basé sur la classe de la société civile qui en avait mare de la politique politicienne entre le clivage gauche droite et qui ne souhaitait pas laisser la France à un parti xénophobe et raciste.
Mon cher frère, koroboro leme, tu fais honneur au Mali et a toute l’Afrique, nous te souhaitons toutes les chances de servir ton Mali que tu aimes tant.
Peut importe celui qui sera elu en 2018, à la suite de l’alternance. L’ennemi commun à tous n’est autre qu’IBK et sont régime . Une fois que les maliens arriveront à se débarrasser de cet homme, la refondaition du nouveau Mali sera une réalité , elle ne peut se faire avec IBK qui a plongé le pays dans l’incertitude et la confusion. Les ennemis du Mali étant devenus ses partenaires privilégiés: la France, la CMA et autres.
Abdramane Maiga
Mais, Kagamé a tué un président pour être au pouvoir. Est ce que Toué est près à faire la même chose? Les rwandais on peur de Kagamé, estce que les maliens auront-ils peur de Touré?
Oh…Lord! (Toure;Maiga),le beau couple…! En commun le larbinisme et la langue douce et mielleuse, the ,sucre,viande,femme et intrigues!
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