Dans notre édition du lundi dernier, nous avions annoncé qu’une réunion importante de l’ADEMA aura lieu mercredi. Tout laisse à croire que « ça passe où ça casse ». Et bien ! La rencontre à bel et bien eu lieu, au siège du PASJ. Les membres du Comité exécutif étaient au grand complet.
Au moment où nous mettions sous presse, la rencontre se poursuivait. Cependant, les informations reçues par SMS et autres moyens de communication, nous autorisent à dire que : « L’ADEMA a décidé de lancer le processus de désignation de son candidat ». Il s’agit selon nos sources, non pas d’organiser forcement les primaires, mais d’ouvrir et de conduire le processus permettant à l’ADEMA de soutenir un candidat à la présidentielle prochaine.
Ce candidat pourrait bien être à l’interne comme à l’externe. Le PASJ va devoir fixer des critères conformes à ses textes ou élaborer une plateforme à soumettre à IBK pour discussion et adoption. Cette offre politique permettra, nous-a-t-on dit, de défendre les intérêts du parti et d’apporter une lisibilité et une visibilité dans l’action du parti.
Comme vous le voyez, le dilatoire continue dans la Ruche. On retarde la cassure, voire l’explosion. Un candidat à l’interne fera difficilement l’unanimité. Idem pour un éventuel soutien à IBK.
En tout cas, l’ancien ministre Harouna Cissé, membre du Comité exécutif du PASJ fait partie des dirigeants qui s’assument haut et fort, sans ambiguïté et publiquement, en déclarant : « Nous gagnerons à soutenir IBK, que l’abeille sorte du fétichisme dans la candidature et voit l’intérêt supérieur du pays » (Les Echos du mercredi 14 février 2018). Yaya Sangaré et bien d’autres sont dans cette logique.
Dramane Dembélé et consorts sont dans une autre logique. La confrontation est inévitable, au détriment du PASJ. Alors bonjour la gaffe.
El Hadj ChahanaTakiou
reseauinternational.net/washington-en-train-planifier-mon-assassinat-christina-kirchner/
Comme fait contre Chavez, Fidele Castro, Sadam Hussein, Kadhafi, ça faillit pour Bachar!
Pénalisons les états-unis de l’équation et le monde se portera beaucoup mieux
ouest-france.fr/monde/etats-unis/usa-un-enorme-incendie-mobilise-plus-de-2-000-pompiers-en-californie-5860652
maliweb.net/international/incendies-louest-canadien-37-000-personnes-deplacees-2398692.html
ouest-france.fr/monde/porto-rico/ouragan-maria-porto-rico-un-nouveau-bilan-independant-fait-etat-de-4-600-morts-au-lieu-de-64-5789809
https://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/californie-les-vastes-incendies-rendent-l-air-vicie-5919397
L adema est un grand parti et un des plus démocratiques au Mali.Inchallah la démocratie triomphera.
Un candidat fera difficilement unanimité et donc le désormais Elhaj Takiou propose de soutenir son mentor de président qui s’est tout de même avéré incapable de sortir le pays de la crise. Une chose est sûre, le soutien à la candidature hypothécaire de IBK signerait l’arrêt de mort du parti. Qui ne s’est jamais remis de sa décision irresponsable en 2007 d’opposer un candidat au président de l’époque.
* lire de ne pas opposer un candidat au président de l’époque.
Le comité exécutif a tranché, l’ADEMA PASJ va présenter un candidat à l’élection présidentielle du 29 Juillet 2018. Personne ne peut s’opposer à la lumière du jour du tout puissant miséricordieux. A 51 ans, Son Excellence le Président Dramane DEMBELE est ce qu’il faut à la tête de la République du Mali pour asseoir les bases de son renouveau: Éducation, Santé, Emploi, Logement, autosuffisance alimentaire. Ensemble, nous vaincrons.
Et le bâton tomba dans la fourmilière. C’est toujours ainsi avec l’ADEMA à l’approche des élections. On n’a désormais deux clans à savoir les pros IBK et ceux qui soutiennent une candidature interne. Ces derniers se diviseront encore quand il faudra choisir un candidat pour représenter le parti. On les regarde.
L’ADEMA PASJ va présenter un candidat à l’élection présidentielle du 29 Juillet 2018. Personne ne peut s’opposer à la lumière du jour du tout puissant miséricordieux. A 51 ans, Son Excellence le Président Dramane DEMBELE est ce qu’il faut à la tête de la République du Mali pour asseoir les bases de son renouveau: Éducation, Santé, Emploi, Logement, autosuffisance alimentaire. Ensemble, nous vaincrons.
Dans aucun parti un candidat ne peut faire l’unanimité. Il s’agit de présenter un candidat issu des rangs du parti et défendre ses couleurs. C’est la volonté de la base. c’est cette même base qui va se mobiliser si son choix est respecté. La présidentielle en 2002 est bien différente de celle de 2007 de 2013 et 2018. Le contexte n’est pas le même. C’est ce contexte qui détermine. La volonté de changer de gouvernance est dans le cœur de tout malien indépendamment de son appartenance politique. Les militants Adema-P.A.S..J. n’échappent pas à cette donne.
Ce parti est frappé par la punition divine, car il a fait pire que l’UDPM de Moussa TRAORE plongeant le Mali dans un gouffre amer, gouffre dans lequel le Mali s’en sortira difficilement dans la mesure où, l’homme malien a été touché dans son psy, cela est difficilement corrigible dans un bref délai. Nous sommes partis pour longtemps peut-être encore trois générations pour retrouver le malien des années de l’indépendance. Personne ne se soucis de la chose publique, avec ça comment peut-on construire un pays? De toutes les façons avec l’existence des Nations Unies, un pays peut difficilement disparaitre aujourd’hui, mais le cas du Mali est plus que complexe et difficile, il restera longtemps dans l’œil du cyclone, car le malien conscient ne se construira pas sitôt. AOK est un enfer qui n’a songé qu’à lui-même, ses proches amis et à sa famille. Avec un malien inconscient et insouciant, AOK, ses proches amis et sa famille mangerons difficilement les butins extorqués au peuple pendant leurs mandats d’une décennie. Dans trois générations les choses échangerons totalement avec la naissance des maliens conscients qui prendrons le flambeau de la continuité de notre très cher Mali en faisant fie du mensonge, de la tricherie, du vol en bande organisée, la surfacturation des marchés publics, la gabegie, le népotisme, le favoritisme, la mégalomanie des cadres, la schizophrénie des acteurs du développement, le éhonté des cadres de développement, le comportement sadique narcissique de certains grands décideurs, le rêve infondé des acteurs de développement, le comportement clanique de l’ensemble des acteurs des administrations publiques et privés. Sans la lutte efficace contre ces fléaux indiqués ci-haut, le Mali ne serait qu’une entité sans valeur, incapable de construire sa postérité et garantir l’avenir de ses fils. Aujourd’hui le Mali se fiche pas mal de ses valeureux fils, il se focalise sur les plus piètres enfants du pays avec des décorations sans valeur et sans contenu, nous sommes fichus pour longtemps, longtemps et longtemps encore.
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