Présidentielle 2013 : Pourquoi aucun candidat ne gagnera au premier tour

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urne L’image du candidat Ibrahim Boubacar Kéita doublée de celle de Soumeylou Boubèye Maïga, à la télévision, expliquant le volet sécuritaire du programme du Rpm et de ses alliés a effectivement de quoi faire douter leurs adversaires. D’autant plus que le Rassemblement pour le Mali est implanté dans l’ensemble du pays. Malgré tout, ces atouts suffisent-ils pour atteindre la barre des 50% +1 d’électeurs dès le premier tour ? D’autres candidats du paysage politique ont aussi des potentialités certaines. Ce qui leur donne la possibilité d’engranger un certain nombre de voix au premier tour. De ce fait, leurs partisans aussi crient au « takokélén ». Dramane

 

 

Dembélé dispose du poids du parti politique le plus implanté dans l’ensemble du territoire national. En effet, l’Adéma-Pasj est le parti majoritaire dans les plus grandes institutions du pays depuis 1992. Il peut aussi compter sur la bataille que mènent les structures du Parti africain pour la solidarité et la justice et sur le soutien moral, dit-on, de l’ancien président de la République, Alpha Oumar Konaré. Le jour où l’ancien chef d’Etat, inaugurant le Cybercafé du centre Aoua Kéita, prévoyait d’installer l’Internet dans les 703 communes du Mali, beaucoup de Maliens avaient dit : « Alpha a encore parlé ». Ce sont ces individus qui disent aujourd’hui : «  Alpha, quel visionnaire ! »

 

 

Le deuxième parti, de par le nombre de ses élus, demeure l’Union pour la République et la démocratie qui présente le candidat Soumaïla Cissé. Faut-il rappeler que s’il n’a pas gagné l’élection présidentielle de 2002, c’est parce que le regroupement Espoir 2002 ne l’avait pas soutenu au second tour. Ce technocrate peut toutefois compter sur ses relations internationales, en l’occurrence, l’appui des Libéraux. Il est donc crédité d’un pourcentage conséquent de votes  favorables dès le premier tour.

 

 

La confiance inspirée par Modibo Sidibé aux différents pouvoirs de la démocratie pluraliste du pays, mérite toute la réflexion des observateurs. Sa longévité dans les institutions de la République fait de lui un homme  d’envergure qui a pu tisser un réseau de personnalités acquis à sa cause.

 

 

Tiébilé Dramé, comme Mountaga Tall, personnalités politiques de niveau intellectuel respectable, sont des figures marquantes du mouvement démocratique. Ils ne sont pas novices, car, c’est depuis qu’ils étaient étudiants qu’ils ont commencé à se battre en politique. Ils ont, tous les deux, la particularité de se situer régulièrement dans le peloton de tête des votes de nos concitoyens sans toutefois atteindre les sommets. Si aujourd’hui, pour mieux assurer sa crédibilité politique, Me Mountaga Tall doit absolument se défaire de ses adversaires qui le talonnent au niveau judiciaire, désormais, le  sort politique de Tiébilé Dramé est en partie lié à celui de l’Accord de Ouagadougou pour lequel il s’est bravement battu.  Il continue d’ailleurs de se battre pour des élections transparentes.

 

 

Soumana Sacko est presque le champion des sondages du Web. Toujours-est-il que sa rigueur continue de séduire l’électorat qui réclame la bonne gouvernance et la justice. Le candidat Soumana Sacko pourrait même faire figure de grand favori si son parti disposait de structures bien  implantées dans l’ensemble du territoire national et d’une base qui lui servirait de fief. N’oublions pas que Moussa Mara a fait trébucher le grand IBK, lors des dernières législatives en commune IV du district de Bamako. Cela signifie qu’il dispose d’une audience certaine, notamment au sein de la jeunesse. La popularité de Cheick Modibo Diarra ne fait l’ombre d’aucun doute. Il lui faudrait pourtant convaincre qu’il a le talent d’un
rassembleur. Une bonne technique de communication lui serait d’un bon support auprès des Maliens qui attendent de lui beaucoup d’explications après son passage controversé à la Primature.

 

 

Ces seules perspectives du suffrage – sans parler de Housséini Amion Guindo, jeune candidat des Pur et des autres qui battent campagne de manière civilisée- montrent à suffisance comment le vote des électeurs peut se faire de manière éparpillée le 28 juillet prochain, empêchant tout candidat de rassembler plus de 50% des voix favorables dans un pays à bas taux de participation. De ce fait, aucun candidat ne pourrait gagner dès le premier tour.
Fatoma Ballo

 

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16 COMMENTAIRES

  1. Bellah Soumaïla Cissé est le plus grand voleur du mali si il a eu la lutte contre la corruption aujourd’hui Bellah Soumaïla Cissé sera en prison

  2. Nous on veux de changement on veux voir le même tête de puis 20 ans on veux de changement changement

  3. ibk est-il democrate?non !
    ibk est-il nationaliste?non !
    ibk est-il capable de faire une bonne lecture des evenements et connait-il l’histoire du Mali? non !
    Pourquoi voter pour un gars qui n’a aucune envergure… Ce qui lui faut c’est la mairie de la commune IV… où il doit se battre contre Moussa Mara

    • Présidentielle de 2013 : Dix caractères marquants de IBK, le manager du mensonge politique
      Bamako, contrairement au reste du Mali, vibre au son de la désinformation et de la propagande politique devenue le cheval de bataille de Ibrahim Boubacar Kéïta pour arriver à ses fins. Alors pour éclairer la lanterne des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur sur cette campagne rétrograde, nous vous livrons ici dix raisons suffisantes du machiavélisme de IBK. Attention donc à cet homme dont voici le profil!

      Ibrahim Boubacar Keita
      1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. Cet homme a juré qu’il s’est séparé de l’alcool. Il ne rate aucune occasion pour utiliser le nom de Dieu (Soub’hana watallah !) à des fins politiques. Mais allez savoir combien de bouteilles jonchent dans sa poubelle chaque matin. Au moment où il fait tout, même l’achat de conscience, pour se faire passer comme le candidat des musulmans, allez savoir s’il a construit une seule mosquée (Att en avait construit 14 avant d’être candidat en 2002). Quel est le geste qui le singularise parmi les candidats dont on sait le combat de certains en faveur de l’Islam, notamment Me Mountaga Tall contre lequel IBK a lancé une vraie offensive de destruction à Ségou. Sans compter ces musulmans qu’il a fait tabasser par les forces de l’ordre et de sécurité.

      2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique.
      L’on se rappelle que tout au long de son séjour à la Primature, IBK est apparu certes comme un homme de fermeté, ce qui est à saluer à certaines occasions, mais surtout comme un violent serviteur. Une violence qui a conduit sa gouvernance à l’échec. L’école a connu ainsi la régression la plus terrible sous IBK par le fait de la répression aveugle qui s’abattait sur nos enfants. La recette de IBK pour une école de l’excellence fut la double vacation, la création de bureau parallèle à celui légitime des étudiants d’où la violence grandissante au sein d’une AEEM (Association des Elèves et Etudiants du Mali) bicéphale rompue aux exactions de toutes sortes dont les fusillades. A cela s’ajoute la création des fameux groupes de ninjas au service de missions politiques hautement criminels.

      Avec IBK, la classe politique n’est pas restée en marge de la déconfiture. Tous les opposants crédibles ont été emprisonnés : le doyen Almamy Sylla (que la terre lui soit légère), le combattant du 26 mars Me Mountaga Tall et autres… Oumar Mariko qui sentait l’assassinat sur ses trousses a préféré s’enfuir. C’était suite à un meeting, du reste légal en démocratie, où un policier par ses actes indélicats dans la salle a été observé et passé à tabac par des militants surexcités mais en dehors de la salle où se trouvaient les responsables politiques.

      La presse non plus n’a pas été en marge de la chasse aux sorcières, des confrères ont reçu la visite des ninjas, et l’un d’eux a même fini par abandonner à l’époque la profession. En effet, notre démocratie doit à l’AEEM, à la classe politique et à la presse avant tout. Et ce sont ces piliers qui étaient dans le collimateur de IBK qui a voulu porter la peau du lion pour effrayer ceux qui ont abattu le lion debout. Incroyable mais vrai !

      3 – IBK est cynique.
      Lors de sa gestion chaotique de l’école malienne, le bureau conduit par Zarawana a commis l’imprudence d’observer une grève de la faim. Empêtrés comme un troupeau dans la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako, aucune intervention, aucune prière, aucune action d’envergure n’a aboutit à faire reculer IBK. Les enfants ont fini par observer la grève de la faim. Et tous l’ont observé avec la dernière rigueur. Ce qui a conduit un enfant à l’hôpital, mais qui a refusé
      de se faire administrer le sérum, car déterminé plutôt à mourir que d’être la risée de ses camarades. C’est alors que Alpha a refusé de suivre IBK et a ordonné la libération des étudiants.

      4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause. Oui, quand il vote une loi qui finalement n’emporte pas l’adhésion populaire, IBK trouve l’astuce de dire que c’est parce que les autres l’ont voulu ainsi, sinon lui était contre. Quand au nom de l’Etat malien un accord est signé pour la paix en vue d’un développement harmonieux du pays, IBK brode dessus à la première insuffisance constatée qu’il n’était pas d’accord. Il oublie que sans ces accords, les pertes seraient énormes en vies humaines, en matériels et en infrastructures. Mieux vaut un mauvais arrangement qu’une bonne guerre (il n’y en a même pas entre les fils d’un même pays et c’est toujours regrettable d’un côté comme de l’autre). Après une marche organisée par ses partisans, il dit ne pas être d’avis avec eux, malgré la participation des autres leaders de son parti, ainsi mis en cause.

      Pis, IBK, on se le rappelle, n’a trouvé autre chose à dire aux enfants des pauvres que s’ils ne partent pas à l’école, ce sont leurs enfants (des riches) qui viendront les commander. Comme si la faute incombat aux enfants de pauvres. Est-ce ce qu’il cherchait, l’exclusion d’enfants pauvres, en refusant d’apporter aux étudiants les conditions adéquates pour la culture de l’excellence ? Et en faisant la guerre aux enseignants dont le professeur Feu Mamadou Lamine Traoré et autres syndicalistes?

      5 – IBK c’est la bourgeoisie personnifiée. Il ne peut pas se réveiller avant 9 h deux fois dans l’année. Il aime couper toutes les routes à son passage, entouré de serviteurs. Il est partisan des dépenses faramineuses pour être à l’aise dans ses fonctions. D’ailleurs il se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté.

      6 – IBK est un revanchard. Fidèle parmi les fidèles de Alpha Oumar Konaré, il a connu une ascension fulgurante durant la présidence de ce dernier : Conseiller à la Présidence, Ambassadeur, Ministre des Affaires étrangères, Premier Ministre, Président de l’ADEMA…, qui dit mieux ?

      Dès que sa candidature naturelle à la présidence de la République a été contestée, et qu’il fut question de le remplacer à la Primature en 2000, il s’estime trahi, quitte l’ADEMA et dans la foulée, crée le RPM, en s’appuyant sur le courant de sympathie créée par cette pseudo-trahison. C’est alors le début du mythe !

      Il crée « Espoir 2002 » avec le CNID, le MPR qu’il a combattus à la tête de l’Adéma et s’attache d’autres petits partis pour mieux aborder les élections générales de 2002. Il finira par briser cet espoir. Et il en sera de même pour son alliance contre nature avec Soumeylou. Retenez cela pour dit.
      A la date d’aujourd’hui, il faut reconnaître que IBK a tout perdu de sa splendeur d’antan qui relevait plutôt de l’accompagnement de ses camarades de l’Adéma d’abord et ensuite du CNID et du MPR. Mais puisque pour IBK ces camarades ne boivent plus dans la même soupe que lui, alors il lui faut prendre sa revanche. Il faut que tous soient à sa merci, il lui faut le commandement, lui qui est serait fait pour commander.

      7 – IBK est prêt même à la compromission pour le pouvoir. Pour preuve, tout le monde le voit aujourd’hui siroter publiquement la lie de la compromission avec Soumeylou Boubèye Maïga, celui-là avec lequel il n’a jamais été sur le même diapason politique. Soumeylou a été plutôt connu comme l’ami de longue date de Soumaïla Cissé, comme le compagnon transitoire de Amadou Toumani Touré et comme l’homme de main de Alpha Oumar Konaré. Comment peut-on être en désaccord avec tous ces trois et être en harmonie avec SMB ? C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir.

      8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage.
      A la présidentielle de 2002, il est dans le tiercé de tête, exactement à la troisième place, après que près de 500 000 voix aient été annulées. Il crie à l’injustice, se déclare victime de ces manipulations de suffrages et surtout seule victime de ces annulations de voix ! Car IBK à l’époque avait indiqué que c’était lui qui était arrivé en deuxième position, en laissant croire que la crainte du pouvoir en place, c’est-à- dire d’Alpha Oumar Konaré, c’était que si IBK arrivait au deuxième tour, il avait de grandes chances de battre ATT. Alors qu’il y avait eu des manipulations du scrutin de façon à ce que ce soit Soumaïla Cissé qui arrive en deuxième position. Mais à la vérité, IBK a été troisième, et il le savait bien. Pour preuves, les chiffres vérifiables auprès de la Cour Constitutionnelle donnent plutôt Soumaïla non seulement gagnant devant IBK, mais avec plus de suffrages et de PV invalidés que lui.
      En voici la preuve :
      – Nombre de suffrages invalidés pour chaque candidat :
      * Soumaïla Cissé = 333 525 voix soit 21,31%
      * IBK = 329 143 voix soit 21,03 voix%
      En intégrant les PV invalidés on obtient :
      * Soumaïla Cissé = 479 728 voix soit 22,79%
      * IBK = 432 504 voix soit 20,55%.

      Une petite soustraction permet de constater que Soumaïla Cissé est largement en tête des PV invalidés par rapport à IBK (Soumi = 146 203 voix invalidées ; IBK = 103 361 voix invalidées).

      Nous ne désespérons pas de donner par cette occasion la bonne information à tous ceux qui sont tombés dans le piège de la mystification et de la victimisation dont IBK est passé maître.

      A contrario, qui a entendu une plainte quelconque de Soumaïla Cissé par exemple ? Nous n’en avons pas souvenance.

      9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT. Pour lui, c’est Alpha Oumar Konaré qui a facilité l’élection de Att, mais il oublie soigneusement de dire que c’est bien lui IBK qui a apporté ses suffrages à ATT au second tour pour lui permettre de l’emporter contre Soumaïla Cissé ! Aussi, cette accusation est-elle la preuve que IBK n’est pas reconnaissant envers Alpha qui a fait de lui tout ce qu’il fut avant la présidentielle de 2002. Et n’est-ce pas ATT à son tour qui a fait de IBK le président de l’Assemblée Nationale, certainement en reconnaissance de son soutien à lui lors de cette présidentielle ? Car IBK avait moins de députés que l’Adéma, et à ce jour c’est le cas car il a moins de députés que même l’URD pourtant née après le RPM.

      10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires. Quelle parole a-t-il respectée ? Si nos souvenirs sont bons, cette chanson « Kankeletigi » a été chantée par Djénéba Seck pour magnifier le geste du Président de la Transition et de ses collègues qui avaient promis de remettre le pouvoir à l’issue de la Transition et qui l’ont fait !
      C’est cela la parole donnée et qui pourrait servir aujourd’hui encore d’exemple à ceux qui conduisent en ce moment la Transition. Au-delà de la mystification, c’est un véritable hold-up !
      La mystification suit son chemin quand aux lendemains du coup d’Etat du 22 mars 2012, après une condamnation de façade et un bref passage au FDR, IBK s’est posé et présenté comme le principal opposant à ATT. Posture qu’il garde encore ! Quel bluff ! En quoi et à quoi » Kanfilatigi « s’est-il opposé ?

      Président de l’Assemblée Nationale et membre de la majorité gouvernementale, il feint de s’opposer aux Accords d’Alger et les dénonce urbi orbi, mais quand il a fallu concrétiser cette opposition et franchir le rubicond en quittant l’attelage gouvernemental, il freina des quatre fers et avala son chapeau.

      Le scénario identique se produisit lors du vote de la loi instituant le Vérificateur Général, il dit s’être disputé avec sa conscience, mais en fin de compte comme toujours, il ne joignit point l’acte à la parole, et la loi fut votée. Nous pouvons citer à n’en plus finir des cas similaires.

      Le 22 mars 2012, il faisait partie de la majorité présidentielle et du gouvernement d’ATT, il fut l’un de ses plus proches collaborateurs de 2002 à 2012, et le jour où il fut décoré de la légion d’honneur française il n’eut de cesse de remercier ATT en se jetant dans ses bras lui disant que grâce à lui tout cela a été possible. Att, lui, s’en souvient.

      Incorrigible il a déclaré sur RFI avoir pleuré le jour de la retraite de Tessalit par notre armée. Mais a-t-il exprimé ses sentiments ce jour à ATT ? A-t-il fait une déclaration publique sur une radio ou une télé malienne ? Que nenni ! Alors, que nous valent aujourd’hui ces larmes à retardement ? Lui seul le sait !

      A force de postures, de positionnement, de revirements, de reniements, cet homme est devenu insaisissable, incohérent et infréquentable. Il finira cependant un jour par être rattrapé par la réalité, sa réalité, un homme politique ambitieux et velléitaire, opportuniste et banalement ordinaire, un Tartarin de Tarascon ou un Don Quichotte des temps modernes ! Un homme fini.
      Mamadou DABO
      SOURCE: Zénith Balé du 15 juil

  4. Soumaila Cissé est l’homme de la situation qui peut bien gérer notre pays et nous mettre sur la voie du développement économique et social.Il a été le premier à condamner le coup d’état et le premier à préconiser l’intervention militaire de la communauté internationale pour sauver le Mali.Pendant ce temps IBK manifestait contre cette intervention et trahissait ainsi son pays qui lui a pourtant tout donné.
    Au niveau programme ,soumaila cissé a le programme le plus complet pour sortir le Mali du chaos ,de part sa compétence et ses relations auprès des grands de ce monde.
    Chers compatriotes ,ne nous trompons pas cette fois -ci ,donnons à notre pays un président qui pourra mettre économiquement et socialement notre pays sur la voie du développement et cet homme est Soumaila Cissé.

  5. Il faut arrested discriminations entre les candidats tout les candidats sont patriots pour leur pay cette élection est basée sur la lutte contre la corruption injustice L’Education L’Insécurité famine reconciliation entre les maliens c’est pour ceux la je vote pour IBK

    • Moi je ne vote pas IBK, parce que IBK est un pro-putschiste et ne voulait pas interventions étrangères dans la guerre contre les rebelles sachant bien que notre armée est faible. Aussi le RPM a participé à la marche du 9 et 10 janvier pour favoriser la rentrée des djihadistes à Bamako. Non à IBK, il n’a jamais une position claire.

      • A MOINS QUE TU VEUX CONTREDIRE TON PROPRE LEXE LUI MEME AVAIT APPLAUDI LA CHUTE DU REGIME ATT ET VOILA LA CHOSE EST GATEE DEPUIS QUE LA CEDEAO ET TOUS LES AUTRES ESCROQ ONT FOUTU LEUR GUEULE DANS NOTRE BIZNESS PAR CEUX LA QUI LES ONT APPELLER POUR FAIRE EMBATGO SUR LEUR PROPRE PAYS ET AUJOYRD’HUI LES MEMES ENFANTS MAUDITS DU PAYS COMME TOI ONT EU LE FEU VERT DE BRIGUER UN MANDAT ELECTIF.
        TOUT CA PARCE QUE LA REVOLUTION A ECHOUEE SINON VOS CHAMPIONS COMME LE PETIT FILOU DRA (ADEMA) , SOUMYSS LE GRAND PREDATEUR (URD) , LES VAN MORRISSON ET LES CHATO VOTRE TANTE FALENBA , TOUS CEUX LA DEVRAIENT ËTRE AU GNOUGF JUSQU’A LA FIN DES VOTES !
        SEULS LES IMBECILES NE VOTERONT PAS POUR LE CHANGEMENT ET LA REDEMPTION DU PAYS !

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