Présidentielle 2013 : Les FARE de la C I en ordre de bataille

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C’est le dimanche 12 mai que le bureau de la section FARE de la C I a été validé. Il d’agit d’un bureau de 99 membres dirigé par M. Mamadou Traoré, enseignant  de son Etat.

La mise  en place de ce bureau  montre une fois encore l’engagement ferme de la section FARE de la C I de  soutenir son candidat. Ils sont  99 jeunes, tous ressortissants de la commune I du district de Bamako qui abrite en son  sein 9 quartiers.  Chaque membre du membre du bureau est chargé de mettre en place un ou des comités dans son entourage.

Selon le président Traoré, il n’est pas encore l’heure de la campagne ni celle de la précampagne. Juste, expliquera-t-il, d’une prise de contact avec les populations enfin de présenter le candidat Modibo Sidibé. Ce faisant, il a conseillé à son bureau de prêter bonne oreille  aux différentes préoccupations des populations de la C I. D’où le slogan : «vigilance, patience, victoire ! »

Djibi

 

Pr Younouss Hamèye Dicko, président du RDS : Nous pouvons bien vivre de nos ressources”

Y a-t-il  un lien fondamental  entre le développement durable et la bonne gouvernance ? La réponse est oui, à en croire le président du parti RDS,  Pr Younouss Hamèye Dicko qui a présidé ce samedi 18 mai à la maison de la presse, les assises  d’une journée de réflexion dont le thème était relatif au développement durable.

Aux dires du Pr Dicko, le développement durable se présente par  l’intersection de trois  sphères que sont : l’environnement, le social  et  l’économie. Le développement durable, poursuit-il, vise l’efficacité économique, l’équité sociale et la préservation de l’environnement dans un cadre de bonne gouvernance.  A l’en croire,  c’est le développement durable qui place les êtres humains au centre de toutes les préoccupations. « Il préserve aussi l’environnement  et lutte contre les inégalités.»  a-t-il ajouté.

S’agissant des inégalités,  à travers les échanges, le président  Dicko fera allusion à la mauvaise gouvernance. A ses dires, le développement durable constitue la voie du progrès. Car, poursuit  le conférencier, il (le développement durable) associe dans la décision, les scientifiques, les ONG et les Etats. « Et ce concept de développement durable, ne peut devenir réalisable que s’il est soutenu par un véritable pouvoir, une gouvernance, une bonne gouvernance » a martelé le président du RDS.

C’est sur cette  mauvaise gouvernance que le Pr Dicko remet la situation actuelle du Mali. A ses yeux, notre pays  n’a toujours pas besoin de l’aide extérieur pour organiser des élections et financer ses projets : « nous pouvons bien vivre de nos ressources si l’on gouvernait en toute transparence, si la corruption n’était pas là ! »

Raison pour laquelle, le RDS, par la voix de son président, a exhorté le gouvernement du Mali à œuvrer à la création des capacités organisationnelles et institutionnelles à la promotion du développement durable.

Le RDS souhaite également la mise œuvre des actions cohérentes fondées sur les systèmes de gouvernance responsable, transparente et participante.

Djibi

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