L’affaire ne fera pas que des bienheureux. Le capitaine Sanogo, de concert avec la junte qu’il dirige, a décidé de ne plus briguer la présidence de la transition et de laisser Dioncounda Traoré, actuel président par intérim, poursuivre cette tâche jusqu’à la fin des futures élections. L’information ne fait plus de doute. Elle a fait, samedi, le tour des stations internationales (France 24, télé, BFM TV, agence Xinhua, etc.). Le même jour, elle fut relayée par Daniel Kablan Dunkan, le ministre ivoirien des affaires étrangères qui a annoncé que “la junte malienne a accepté toutes les résolutions de la CEDEAO”. La veille, vendredi, le capitaine Sanogo lui-même, flanqué des médiateurs de la CEDEAO Djibril Bassolé et Adama Bigtogo, avait annoncé sur l’ORTM : « Nous sommes parvenus à un accord de principe avec la CEDEAO dont nous soutenons les propositions de sortie de crise. Dans les jours à venir, nous allons nous atteler à définir les contours de cet accord de principe, notamment à dégager les conditions de sa mise en œuvre ». Le capitaine avait ajouté: « Aujourd’hui, je ne pense à rien d’autre qu’à la libération du nord du pays.».
Aux origines
Tout commence par le sommet extraordinaire d’Abidjan où la CEDEAO décide de fixer la durée de la transition malienne à 12 mois, de nommer Dioncounda président de la transition et d’envoyer des troupes pour sécuriser les autorités de transition. Ulcéré de n’avoir pas été associé à ces décisions, le capitaine décrète qu’aucun soldat de la CEDEAO ne foulera le sol malien sans demande expresse du pays et que Dioncounda ne fera pas une heure de plus au-delà du 22 mai, fin de l’intérim présidentiel. Le capitaine soupçonnait Dioncounda d’avoir manœuvré pour que la CEDEAO le confirme à la tête de la transition; Sanogo n’entendait pas céder au diktat de cette institution sous-régionale qu’il accusait d’avoir violé ses engagements coulés dans le marbre de l’Accord-cadre du 6 avril 2012. Enfin, le capitaine subissait la pression de la troupe (peu encline à céder le pouvoir acquis à la faveur d’un putsch) et d’une galaxie de politiciens bien décidés à tirer avantage du coup d’Etat du 22 mars.
Pour habiller le renversement programmé de Dioncounda du costume de la légalité et de la légitimité, le capitaine Sonogo a invité, dans un message à la nation, à la tenue d’une convention nationale chargée de désigner le président de la transition. A ses dires, la convention sera “convoquée par le Premier ministre et présidée par le président par intérim”. Dès cette annonce, une galaxie de partis et d’associations proches de Sanogo entre en action. Il y a là l’inévitable Copam, un regroupement dirigé par le patron de la centrale syndicale CSTM, Hamadoun Amion Guindo, et qui compte dans ses rangs le très actif MP 22 du docteur Oumar Mariko. Il y a là aussi, bien entendu, la brave CSM (Convergence pour Sauver le Mali), regroupement mi-figue mi-raisin formé du Cnid, de la CODEM et autres. Il y a là enfin un bon millier d’associations dont les militants tiendraient dans une boutique. Quant au FDR, le front anti-putsch conduit par l’Adema, l’URD, le PDES, le Parena et l’UNTM, il fait savoir qu’il ne participera pas à une convention à la légalité douteuse.
“Conventionnaires” déboussolés
La galaxie des “conventionnaires” prend ses quartiers dans les locaux de la centrale syndicale CSTM dont le leader est un ennemi juré de l’ancien régime et un inconditionnel du capitaine Sanogo. Les associations et partis présents élaborent des termes de référence destinés à servir de base au règlement intérieur des fameuses assises. Entre autres sujets abordés dans ces documents qui circulent à gauche et à droite: où tenir la convention ? Quand ? Comment délivrer les convocations aux participants ? Faut-il étendre la participation aux régions ? Quelle sera la durée de la convention ? Quels thèmes seront débattus ? Comment seront prises les décisions? Quelles commissions de travail créer ? Comment mettre en œuvre les décisions?
Sur ces entrefaites, les “conventionnaires” apprennent que le président par intérim, revenu d’un séjour éclair à Abidjan, rejette la convention dont il dit qu’elle n’est “pas la solution” pour désigner le président de la transition. Au moment où les “conventionnaires” tentent de minimiser cette réaction, d’ailleurs prévisible, de Dioncounda, ils ont la stupéfaction d’apprendre que le Premier ministre, Cheick Modibo Diarra, refuse de convoquer la convention. Cette double défection ne manque pas de gravité puisqu’elle enlève toute légalité formelle aux assises: le capitaine Sanogo a bien annoncé que la convention sera “convoquée par le premier ministre” et “présidée par Dioncounda”! Voyant leur projet menacé de ridicule, les “conventionnaires” envoient des émissaires rencontrer le capitaine: ils ne le trouvent pas. Une autre délégation de “conventionnaires” irrités, dirigée par le président du Renacotem, Dr Adama Traoré, fonce aux bureaux du Premier ministre. Malgré de fortes pressions exercées sur sa personne entre jeudi et vendredi, le chef du gouvernement, en digne descendant du roi Da Monzon Diarra, ne fléchit pas d’un iota: il ne convoquera pas de convention. Désolation générale dans la galaxie des “conventionnaires”. Les questions et cris d’indignation fusent de tous côtés. “Comment le Premier ministre peut-il refuser un ordre du capitaine Sanogo ?”, se demande à haute voix un responsable d’association. “Le Premier ministre a trahi Sanogo; il roule désormais pour Blaise Compaoré qui lui a ordonné de tenir tête au capitaine, analyse doctement un chef de micro-parti.”Au moins, le capitaine Sanogo aurait dû nous prévenir qu’il ne tenait plus à convention!”, s’insurge un syndicaliste. “Sans convocation du Premier ministre, comment obtenir la reconnaissance officielle des résolutions de la convention ?”, s’interroge un participant déboussolé, les bras remplis de papiers qu’il entendait soumettre aux débats.
Après moult discussions, les “conventionnaires” décident de se passer du capitaine Sanogo, du Premier ministre et du président par intérim et de convoquer eux-mêmes leurs assises. La tenue de la convention avait été annoncée, dans un premier temps, pour les samedi 19, dimanche 20 et lundi 21 mai. Il faut changer de date et réduire la durée des travaux : le nouvel agenda va du lundi 21 mai au mardi 22. Mais comment le porter à la connaissance de tous les participants et faire venir le maximum de Maliens? On décide de passer par l’ORTM et les radios privées où on invite “tous les Maliens” à venir aux assises. Ah ? Tous les Maliens ? Et qui va supporter les frais de voyage et de séjour de “tous les Maliens” à Bamako ? Nul ne le sait. Qui va vérifier l’identité des uns et des autres ? Qui assurera la sécurité de tous ces Maliens? Quelle garantie a-t-on que “tous les Maliens” ont effectivement appris leur convocation par la voie médiatique utilisée ? Les ressortissants du nord-Mali pourront-ils venir ? Ces interrogations sans réponse ne laissent plus de place au doute : la convention, tel le célèbre Titanic, a bel et bien sombré corps et biens.
Les “conventionnaires” n’ont toutefois pas dit leur dernier mot. Un de leurs principaux responsables nous a confié samedi soir, les yeux presque remplis de larmes: “Si le capitaine Sanogo a cédé à la mafia CEDEAO-FDR, il n’est pas le seul Malien. Voyez les foules massées pour la Convention! Aucun de nous ne veut voir Dioncounda diriger ce pays sans mandat électif. Aucune loi ne le lui permet. A partir de maintenant, nous allons donc rendre le pays ingouvernable. Notre objectif sera d’aller, les mains nues, au palais de Koulouba et de jeter Dioncounda dehors!”. Un autre organisateur de la convention, qui se soucie de la CEDEAO comme de sa dernière chemise, ne doute pas que la convention se tiendra et que ses décisions auront force obligatoire. Il nous révèle que jeudi, les “conventionnaires” ont enregistré la candidature de Moussa Mara, maire de la commune 4 de Bamako et président du parti Yelema, au poste de président de la transition. “Pour le moment, c’est le seul candidat déclaré; les autres suivront quand les travaux commenceront”, ajoute notre interlocuteur.
Les raisons d’un recul
Il y a de la bagarre dans l’air entre le capitaine, que l’on croyait intraitable, et ses partisans, qui s’estiment lâchés en rase campagne. Ce que ces partisans ne savent pas, c’est que le capitaine Sanogo n’a pas le tempérament suicidaire d’un Laurent Gbagbo ni les tendances psychopathiques d’un Dadis Camara. Sanogo a compris que jamais il n’arriverait à gouverner un pays mis au ban de la communauté des nations. L’embargo de la CEDEAO ne lui aurait permis ni de payer les salaires des fonctionnaires (civils et militaires), ni de faire fonctionner l’économie nationale, ni de reconquérir les régions du nord, ni d’éviter des soulèvements populaires causées par la faim. Il a compris que ceux-là qui le poussent à confisquer le pouvoir présidentiel le font pour leurs seuls intérêts et n’hésiteraient pas à le lâcher par temps de galère. Comme ils ont abandonné ATT à son sort une fois qu’il a été chassé du pouvoir. Il a enfin compris que ses bruyants partisans n’ont que peu d’assise populaire, à l’image de ces “Jeunes Patriotes” ivoiriens qui avaient pour métier d’inonder les rues d’Abidjan de monde et qui ont disparu du paysage depuis le premier jour de l’assaut foudroyant des Forces nouvelles de Guillaume Soro contre les places fortes de Gbagbo. Au lieu de courir derrière un titre vide (celui de président de la transition), Sanogo a choisi de faire contre mauvaise fortune bon cœur : en contrepartie du maintien de Dioncounda à la tête du pays, il gardera la réalité du pouvoir et la haute main sur l’appareil militaire, gouvernemental et l’organisation des élections. Rien ne se fera sans son aval. Bref, il sera la toute-puissante sentinelle de la transition, Dioncounda ne gardant que les habits du pouvoir. Sa stratégie est facile à accomplir et pourrait lui valoir, à la fin de la transition, la même aura qu’ATT a acquise en laissant le pouvoir aux civils en 1991.
Tiékorobani
Nous demandons au gouvernement de la transition de comdamner avec rigueur les actes de violence et de barbaries prepetrees par Hamion Guindo et Mariko contre le predident en interim. Ces deux individus sont responsables de tout ces violences, ils doivent comparatre devant la justice pour repondre de leur\s actes
ce n’est pas un vrai dogon, un veritable imbecile, on doit le traduire devant la justice pour incitation a la violence et a l’agression du chef de l’eetat. Ce farfelu et Mariko, un farfelu , qui par son comportement fait honte a las nation doivent tous les deux comparatre ddevant la justice.Des connards, et des ignorants qui veulent detruire notre pays.que la malediction divine tombe sur eux.
Most wanted: alive Hamion Guindo et Mariko
Ce Guindo n’est pas du tout une fierté pour le Mali.Mais! Que nous arrive-t-il? Pourquoi tant de haines et de malentendus? De grace respectons-nous et ressaisissons-nous pendant qu’il est encore temps.
Ce Guindo est le dernier des kados.Aigri,vindicatif.
Je crois qu’il doit etre de la meme etoffe que toi! Veux tu que je rentre dans les details?
L’histoire retiendra l’opportunisme et la cupidité de la bande des Guindo et des Mariko qui font honte au Mali.
Les membres de COPAM, MP22, CSTM sont tous déçus de n’avoir pu obtenir des portefeuilles. Ils font tout pour créer la confusion tant qu’ils ne participeront pas à un gouvernement de partage de gâteau.
Mais le Mali s’en sortira contre leur volonté.
Lorsque la quiétude reviendra, tous ces opportunistes devront être poursuivis pour complicité active contre la sécurité de l’ETAT et haute trahison.
C’est historique comme indignité et malhonnêteté.
amion guido, ibk mariko vous aurez à votre tour de repondre à vos actes
Rectificatif : que vous ne faisiez pas partie du conseil d’administration
Hamadoun Amion Guindo, de grâce laissez nous vivre, vous vous êtes toujours battu pour vos intérêts personnels, les maliens savent qui vous êtes, un arriviste, qui veut arriver à ses fins à tout prix. Quand la Caisse d’Assurance Maladie était mise en place vous étiez d’accord, ensuite quand vous avez su que vous faisiez partie du conseil d’administration, vous avez authomatiquement changer de position en vous dressant contre la mise en place de cette assurance, en poussant les travailleurs et autres dans les rues pour protester. L’histoire jugera tous les apatrides du Mali qui pensent qu’ils ne sont connus. Les masques tomberont petit à petit.
SANOGO déplace son cavalier et gagne un pion. Le capitaine a vite compris ce qu’il devait faire pour ne pas se retrouver en situation d’échec et mat. Ce n’est pas quitilipo mais du réalisme;il vient de lâcher la cocotte bouillante, la prendra qui voudra. Que ceux qui veulent imposer un président conventionnel à la place d’un président constitutionnel comprennent maintenant qu’il est temps d’avancer dans la résolution de la crise afin de donner un peu d’espoir à la population. Il n’y a plus rien à pêcher en eau trouble en ce moment. C’est de l’hypocrisie que de diaboliser les organisations régionales comme la CDEAO; les opportunistes du moment savent bien qu’ils ne lâcheront jamais une occasion d’y occuper de hautes fonctions par exemple. Arrêtons les agitations stériles et cessons de colporter des utopies aux populations déjà peu éclairées sur ce qui se passe dans les coulisses. Ayons une pensée pour ces innocents qui ont laissé leur vie, leur emploi, leurs biens chèrement acquis et qui souffrent injustement de cette situation. 😯
Ces gens qui s’agitent aujourd’hui en reclamant la tenue d’une convention qu’ils sont les seuls à approuver et qui sont prets à monter à Koulouba pour mourrir, si c’est, des vrais patriotes, pourquoi, n’ont-ils pas protestés contre l’occupation des 2/3 de notre territoire, pourquoi, ne sont sont-ils pas engagés volontaires pour aller liberer le nord, meme au prix de leur vie, on comprend aisement qu’ils ne sont que de pietres opportunistes qui cherchent à se faire une place, profitant du chaos qui regne maintenant au Mali et qui peut permettre à des vauriens d’occuper des postes qu’ils ne pourront jamais occupés en temps normal.Si c’est le bonheur du Mali qui les preoccupe, aujourd’hui, le plus plus grand probleme que nous avons est l’occupation d’une partie de notre territoire, la partie sud qui est encore libre, ne connaitra jamais la paix tant que le nord est occupé, car ces bandits qui occupent le nord, n’arreteront jamais de faire des incursions au sud pour s’alimenter, car le sud restera leur grenier approprié tant qu’ils ont des armes et vous ne me direz pas que nos militaires sont là pour les empecher, par ce que, s’ils peuvent les empecher d’arriver au sud, cela veut dire qu’ils ont sacrifié le nord dans un dessein inavoué.
Merci pour cette analyseconcise de la situation. Le Capitaine Sanogo n’a de camp que ses compagnons d’armes. Ceux qui voulaient se servir de lui l’ont appris à leurs dépens. Béni soit le Mali!!! 😀
come tu le dit, le vieux guindo n’as rien à faire et sepermet de venir nous enmerder.laissez les dirent ce qu’ils veulent czr ils n’ont rien compris de la democratie.Mr Guindo, ou est ta base? quelles sont vos soutiens?
tu as interet à demenager dans la mosqué de ton quatrier pour implorer le pardon du bon DIEU avant qu’il ne soit trop tard pour toi.
La crainte était qu’avec dioncounda, ce monsieur apparemment sans aucune personnalité qui se définit lui même comme “bon à être derrière les barreaux s’il ne soutenait pas att” les maliens soient condamnés à perpert à subir les mêmes prédateurs, casseurs du Grand Mali, à voir brader les terres de leurs ancêtres, à voir leur beau pays transformé en terrain d’expérimentations aux extrémistes de tous bords et aux trafiquants de toutes sortes, le tout dans l’indifférence générale.Avec cette personne et cette Assemblée, on n’aurait jamais des élections propres.
A la lumière des dossiers que les braves soldats n’ont certainement pas manqué de porter à sa connaissance, le médiateur dans l’obligation de respecter une certaine forme par rapport à la “légalité” a certainement pris en compte la réalité de la situation pour proposer cette décision.Si la conclusion du rédacteur est juste, monsieur dioncounda ne jouera qu’un rôle de figurant et ne fera qu’inaugurer les chrysanthèmes. Mais il faudra communiquer afin que la population ne se sente pas flouée.
mes chers compatriotes encore une fois laissons la raison gan gagnée sur le coeur et ne nous trompons pas d’ennemi !!! quand a moussa mara tu avais toutes les chances d’être au plus haut sommet de l’état un jour !!! mais voilà en suivant des aigris des mogo djougou tu risque de recebvoir aussi ton c vote sanction lors des elections !!!
allah ka ma laissons nous nous occupés du nord on a trop perdu du temps de grâce
Oh Tiekorobani! tu oses nous décrire le schéma que ATT a suivi comme solution à notre problème. Pour l’intérêt de qui Dionkounda a – t- il ouevré depuis 20 ans sinon pour ses propres intérets? Autant demander de faire revenir ATT puisque selon ton analyse c’est eux qui ont raison.
Pauvre de toi
DIVERSION. DIVERSION. ET DIVERSION. Est-ce-que les maliens se décideront, au moins pendant une seconde, à se soucier de la gestion des problèmes de ce pays et non de leurs habits? Colonisation au Nord, insécurité au Sud, famine à l’horizon : Appel à la CEDEAO pour lancer la guerre au Nord. Ensuite préparer les élections sur un fichier électronique enfin complété et apuré. Mandats d’arrêt contre les dirigeants d’AQMI/MNLA/MUJOA/BOKO HARAM, etc. etc.
Bonjour,
Sage décision de la part de Mr Sanogo,laissons les politiques faire leurs boulots
ce vieux guindo là avec son complice le vieux en “boubou bleu” est ce que ils aiment le mali? nous maliens nous voulons le changement mais pas avec ces crocodiles.
Depuis 1992 il n’y a plus eu de Vrais syndicalistes au Mali! Que ce soit SIAKA ou AMION ils sont tous pareils à une difference pres SIAKA sait prendre la bonne direction politique quand il le faut et AMION se met toujours à l’opposition sans analyse prealable comme des coepouses!
Ceux qui ne veulent pas de Dioucounda devraient commencer leur combat il ya longtemps au sein de l’assemblée. Desormais les Maliens et leurs elus prendrons garde lors des choix des Presidents de l’Assemblée Nationale (saya bèye, balo bèye…).
Au plan Droit Dioucounda est mieux indiqué qu’un quelconque individu sorti d’une “convention sans le peuple”, après tout c’est un Elu des Elus du peuple.
Mon Aîné Guindo je vs ai avertis , la vérité triomphe tjours sur le mensonge .
Guindo a toujours été un méchant dépuis qu’il était à la somiex en 1973.il nous a toujours foutu la merde.Cc’est dans son sang
GUINDO;LA ET.MARIKO VRAIS BATARA DE NOTRE MALIBA
sanogo a raison comme le dise les banbara kili bè nina kili dé gnogontè.
La cstm a tout perdu pousser sanogo à l’erreur fatale. Ses syndiqués l’attendent de pied ferme tous le quiteront in challah le secteur bancaire etles assureurs.La peche au capitaine est ouverte pour les autres syndicats n’hesitez pas chaca de l’untm ils n’attendent que vous.
gorko maoudo a douanaka
Il ira pian !!! Le vrai syndicat au Mali c’est la CSTM. Tout le monde sait que lesyndicat de Siaka
Diakite.
CET OPPORTUNISTE EST IL NORMAL? ON VIENT DE TROUVER UNE SOLUTON ET LUI LE FARFELU DE FAUX SYNDICAISTE S’AGITE ENCORE.
ON VA LE LUI FAIRE VOIR.
LE NORD BRULE ET TOI TU NOUS SOULE AVEC L’AFFAIRE DIONCOUNDA DEJA REGLEE.
Cet salopard de Guindo, s’il est garçon qu’il aille demain au CICB pour la trahison il verra et tout le monde verra ce qui adviendra. (Parole de Korodjouga)
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