«L’homme doit être une marmite, pour se mettre entre le feu et l’eau : on doit avoir de la patience, tout supporter, pour servir de médiateur, de conciliateur entre des personnes si différentes que le feu et l’eau», disait Me Alioun Blondin Bèye. C’est effectif, après moult tractations, les fils du Mali ont convergé dans la même direction. Afin de sauver la démocratie et d’éviter la catastrophe au peuple. Pour ce faire, sous la médiation de la sous région, le jeune Capitaine Amadou Haya Sanogo a confirmé son engagement patriotique en cédant, permettant du coup à l’inusable Professeur Dioncounda Traoré de présider la transition. Sous le regard patriotique du Capitaine Sanogo.
«Savoir, c’est porter la responsabilité d’agir, et agir c’est s’engager dans la voie de la reforme de la société. L’engagement est une responsabilité sociale de l’intellectuel.» Le professeur et le capitaine l’ont fait. Sauvant du coup notre pays de ne pas s’enliser dans une situation aux conséquences dramatiques.
C’est depuis ce samedi soir que la nouvelle est tombée comme un couperet sur la tête des pseudo-démocrates, Dioncounda Traoré assurera la présidence intérimaire de la transition. Cette déclaration intervient après que les députés, après de nombreuses tractations, aient accepté de voter l’amnistie pour l’ex-junte violant de façon voilée la Constitution du 25 février 1992. Alors, depuis avec les tractations, il fallait s’attendre à un accord entre le Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat (CNRDRE) et la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Ajouter à cela les négociations au niveau national, il ne pouvait en être autrement que de prouver à ceux qui ont trahi qu’ils tomberont dans leur propre filet.
C’est effectif et pour plus de précision, voici la déclaration du Ministre Burkinabé Djibril Bassolé : «Naturellement, nous avons des échanges réguliers avec le président de l’Assemblée nationale. Vous savez que l’Assemblée est un organe important dans le processus du retour à la normalité. Vous savez que la loi portant amnistie a été votée à l’Assemblée et nous avons fait le point des autres textes qui doivent bientôt venir devant l’AN. Et nous avons demandé naturellement la coopération bienveillante de cette Assemblée pour lui permettre d’adopter toutes les dispositions et des mesures d’accompagnement pour arriver à la normalité.
La solution retenue, c’est que le Président par intérim M. Dioncounda Traoré continue la présidence par intérim pendant la période de la transition. Ça c’est le 1er point sur lequel nous sommes parvenus à un accord. Naturellement un certain nombre de mesures d’accompagnement vont être discutées et adoptées mais il n’y a pas de conditionnalité. Je pense que l’adhésion des membres du CNRDRE aux dispositions prises par les Chefs d’Etat de la CEDEAO est pleine et entière.
Nous avons eu des débats fraternels très riches très francs par rapport auxquels nous avons senti une adhésion sincère. La CEDEAO mettra tout en œuvre également pour accompagner le Mali. Il peut se trouver des incompréhensions ça et là mais je pense que nous avons toujours eu le mérite de garder le contact et le dialogue. Et c’est ce dialogue qui nous permet de lever les incompréhensions et finalement de faire converger nos points de vue.
Les pleins pouvoirs du Premier ministre sont relatifs au gouvernement, nous avons voulu que le Mali ait un Exécutif de transition très fort mais cela ne veut pas dire que le Premier ministre cumule tous les autres pouvoirs législatifs, judiciaires et autres entre ses mains. Nous restons dans le cadre des principes constitutionnels et nous voulons que le Premier ministre ait l’ensemble des moyens de l’Exécutif pour conduire ce gouvernement de transition.»
CAPITAINE AMADOU HAYA SANOGO : «Depuis le début du processus de mise en œuvre de l’accord-cadre, nous avons tous eu une satisfaction avec la médiation de la CEDEAO et aujourd’hui ce n’était qu’une continuité. Je vous dis d’ores et déjà que l’accord de principe a été trouvé et nous continuerons à travailler (NDLR : la déclaration date du samedi soir) dans les heures qui suivent, le public malien sera de plus en plus édifié. Si j’ai un message, c’est toujours le même que j’ai tenu. De toutes les façons, on a posé cet acte parce qu’on l’a trouvé salutaire pour le pays. En aucun moment on ne va poser un acte qui peut encore amener la souffrance pour le pays.
Ce qui est sûr, c’est que votre Armée est là et sa mission demeure. Il s’agit de recouvrer l’intégrité du territoire. C’est ce qui est primordial pour nous. Tout acte que nous allons poser ne serait que dans l’intérêt supérieur de la Nation».
Avec cette effectivité de la transition, il est désormais opportun pour tous les fils du pays de se donner la main pour la libération rapide des 2/3 du territoire occupés par des terroristes. Alors, qu’Allah sauve le Mali !
Boubacar DABO
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Dieu aime le MALI c’est pourquoi DIONCOUNDA est Malien
Au pélérinage, à la Mecque, il y a trop de monde, pour ceux qui auront du mal à lapider Satan, peuvent se contenter de lapider Mariko, ils s’égalent. CHITANE DEN, tu ne cherche que ta position, S.Cissé te l’a dit en face, le coup de force est le seul moyen pou toi de briller.
Sanogo aussi doit être un maudit, on t’a ouvert toutes les portes, mais tu veux faire un 2em coup d’état, le chien va rire de toi ici et la chèvre te mordra ici. D’ailleurs que reproche t-on au president ? Rien de particulier, tous ces politiciens se valent. Samba et Demba : FOU GÔTÔ
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