Après le président de la République et le président de l’Assemblée nationale, le Médiateur de la République était face à la presse mercredi dernier pour dévoiler le contenu de son rapport annuel 2014.
D’entrée de jeu, le Médiateur de la République a fait savoir que la période a été marquée par une réorganisation des services de son institution, en vue d’une meilleure prise en charge des missions confiées au Médiateur de la République, notamment celles découlant de la loi n°2012-010/AN-RM du 8 février 2012 et du décret n°2012-117/P-RM du 24 février 2012.
Dans le cadre de cette réorganisation, poursuivra-t-il, deux réformes structurelles et une nouvelle dynamique communicationnelle ont été mises en œuvre. Ainsi, un secrétariat permanent prend désormais en charge la préparation, la tenue et le suivi de l’Espace d’interpellation démocratique (EID) en y associant des organisations de la société civile concernées, a-t-il indiqué.
A l’en croire, il a été mis en place dans les régions, des délégations territoriales renforcées visant à une prise en charge plus efficace, non seulement des réclamations, mais aussi des activités de l’EID sur le plan local.
Aussi, notera-t-il, l’ensemble des activités du Médiateur de la République bénéficie désormais d’un soutien documentaire et informationnel suivi grâce à l’adoption d’une nouvelle dynamique de communication basée sur une utilisation appropriée de nouvelles technologies.
Selon le Médiateur de la République, les recommandations ou propositions de réformes ont pour but d’amener l’Etat, dans ses rapports avec les administrés, à se soumettre lui-même à la légalité, à justifier son action par des règles de droit préalablement établies, à respecter les décisions de justice et tous ses engagements et à mieux respecter les droits des citoyens.
A noter qu’à la date du 31 décembre 2014, sur les 260 réclamations enregistrées, 181 ont été entièrement clôturées et 79 sont en cours de traitement. Il faut noter que ce chiffre est le plus important par rapport aux trois précédentes années. Une évolution significative qui s’explique en grande partie par l’impact des missions d’information, de sensibilisation et de restitution de rapports.
Le Médiateur de la République ambitionne de prendre toute la place qui est la sienne dans promotion de la bonne gouvernance, de la paix sociale, la consolidation de l’Etat de droit et le respect des textes fondamentaux.
Ben Dao
des criminels en attente de poste au nouveau gouvernement maliens des assassins. narco trafiquants ceux qui ont mis le mali dans une merde font etre récompensés dans quelques jours semaines sans que l on pense aux victimes et leurs familles. je demande a tout le peuple maliens unis de faire barage a cela . sans justice il n y aura pas de paix. et le vivre ensemble ne sera possible .
L’exemple du respect de la justice doit être donné par les hommes politique et le peuple doit s’impliquer dans la vie politique du pays personne va venir faire le Mali a notre place il est temps de se réveille
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