Invité du premier numéro de l’émission «Dialogue de générations», initié par la Maison de la presse en partenariat avec Malitel, le Pr. Ali Nouhoum Diallo s’est prononcé sur la gestion actuelle des choses au niveau de l’Assemblée nationale. C’était le samedi dernier à la Maison de la presse.
Initié par la Maison de la presse, «Dialogue de générations» se veut un cadre d’échanges entre les anciens et la jeune génération. Cette émission entend également servir de repères pour la jeune génération. Selon ses initiateurs, l’idée est née du constat que les anciens cadres du pays écrivent de moins en moins sur leurs parcours professionnel, politique, en un mot, sur leur vie. Ce qui fait que la jeune génération manque de repères. C’est pour combler ce vide que la Maison de la presse a initié cette émission pour inciter les anciens à venir parler de leur parcours et de leurs expériences à la jeune génération.
C’est le Pr. Ali Nouhoum Diallo qui a été l’invité de ce premier numéro de l’émission «Dialogue de générations» qui sera mensuelle. Après avoir longuement parlé de sa vie estudiantine depuis Sévaré où il a été reçu aux cours normaux destinés à former les enseignants à l’époque, l’ancien président de l’Assemblée nationale s’est plutôt montré prudent sur sa vie politique, reconnaissant qu’il n’est pas facile de concilier vie politique et celle professionnelle.
Actualité oblige, interrogé sur la crise qui affecte le Mali depuis 2012 et le conseil à donner aux jeunes maliens pour y faire face, le Pr. Ali Nouhoum Diallo a dit ceci : «Si j’étais jeune, j’apprendrais à manier les armes. Moi, à la place des jeunes, je m’entraînerais aux armes», ajoutant que la situation actuelle du Mali exige que chaque Malien soit soldat pour défendre la partie. «Que les populations se détrompent à croire que seules les autorités ont la solution à cette crise !» a-t-il déclaré.
Aussi, malgré sa bonne relation avec la presse malienne, l’ancien président de la l’Assemblée nationale s’en est pris aux journalistes pour avoir fait le travail de la CMA, qui a réussi à inculquer aux populations maliennes que l’Azawad est une «réalité mémorielle, historique, culturelle». Pour lui, le terme Azawad ne devrait pas être relayé par la presse malienne car «l’Azawad» est loin d’être une réalité mémorielle encore moins historique, mais purement et simplement politique.
Évoquant ses liens avec IBK, Ali Nouhoum Diallo dira que «nous sommes des frères. C’est mon aîné, c’est aussi un camarade. Nos rapports sont toujours bons».
Se prononçant sur la gestion des choses au niveau de l’Assemblée nationale, le Pr. Ali Nouhoum Diallo a fait savoir que les choses ne se seraient pas comme le sont actuellement, s’il était aux commandes de l’institution. Comme s’il se moquait de la gestion des débats par le président Issaka Sidibé.
Pr. Ali Nouhoum Diallo «désapprouve et déconseille» également la tenue des élections municipales, régionales et du district de Bamako. D’autant que, selon lui, leur organisation risque «de consacrer la partition définitive du pays».
Fombus
L iniative est a saluer mais l experiences de ces anciens restent inadaptable aux bons fonctionnement du système actuel .
ils n auront pas grande chose à dire de potable . tous ces gens ont participés à l appauvrissement du pays de près ou de loin. ont majoritairement hontes de leur saga .
Si le Pays est sur ses genous et a la peine de se relever ils en savent quelques choses .ces experts de detournement de fond public .s ils vomissaient parceque devenuent patriotes : fera de nouveaux riches au PAYS . 1000 milliards = 1million de nouveaux riches .
interessez vous plutôt aux sages des cases pour preserver ceux qui restent de nos patrimoines.
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