La fièvre préélectorale s’empare de plus en plus les partis politiques. Le candidat du parti Fare An ka wuli, Modibo Sidibé a pris son bâton de pèlerin pour se rendre dans des pays voisins.
Depuis dimanche, le candidat du Fare a été accueilli à Abidjan, capitale ivoirienne. Deux jours plus tard, il a débarqué au Burkina Faso où il passera deux jours avant de se rendre demain jeudi 11 avril à Niamey, capitale nigérienne. Modibo Sidibé devra boucler ce premier périple par l’étape du Sénégal. Dans chacune de ces capitales des pays de la sous-région, Modibo Sidibé aura des entretiens avec les autorités du pays. Il rencontrera d’autre part différentes personnalités du pays pour des contacts utiles. Modibo Sidibé profitera de son passage dans ces pays pour avoir avec la communauté malienne, singulièrement les partisans et membres du parti Fare An Ka Wuli, des rencontres d’information sur le niveau de préparation du parti en vue de l’élection présidentielle de juillet 2013.
Ce périple entamé dans la sous-région est la première partie du programme de visites que l’ancien Premier ministre envisage d’effectuer avant l’ouverture de la campagne électorale dans différents pays du continent, et également en Europe et aux Etats-Unis.
Quant au candidat de l’URD, Soumaïla Cissé, il est lui hors du pays pour les mêmes motifs. Hier, il était dans la capitale sénégalaise où il était question pour lui de nouer des contacts mais aussi de rencontrer la communauté malienne.
Dans la capitale sénégalaise, les deux candidats pourront-ils s’empêcher de rendre une visite de courtoisie à l’ancien chef d’Etat Amadou Toumani Touré, qui y réside depuis son renversement par la junte le 22 mars 2012 ?
Ousmane Daou
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Mais caporal Zankè qu’est tu fais sur ce site pendant les autres soldats sont au front.
Vive Soumi
Si l uns. De ces deux serait ELu ,la soufrance de nos parents du nord na rien servit, pendant 20 ans. Ils ont ocuper tout les meilleurs postes posible..ils ne se sont jamais soucier du moindre problemes , sauf que. S enrechir….jai peur pour l avenir de mon pays..
Il peut etre elu par Blaise,ce faux malien.
OUSMANE SY : Le Whistleblower de la Démocratie au Mali
L’expression « whistleblower » désigne à l’origine les policiers soufflant (« blow ») dans leurs sifflets (« whistle ») à la fois pour appeler les forces de l’ordre et pour alerter les citoyens d’un danger, qui menace la société.
Le « whistleblower » est un individu qui signale une mauvaise conduite à une autorité susceptible de mettre fin à cette mauvaise conduite. Cette dernière recouvre les violations de lois et règlements et/ou une menace directe contre l’intérêt général telle qu’une fraude, de la corruption ou une menace pour la santé et/ou la sécurité des hommes.
Depuis fort longtemps Ousmane Sy, avec d’autres citoyens, tout aussi soucieux de la bonne marche de la jeune démocratie malienne si durement acquise en 1991, ont tiré la sonnette d’alarme pour alerter les citoyens sur certaines menaces et dérives qui menaçaient la démocratie.
Dès 1992, après l’aboutissement de longues années de lutte dans la clandestinité et puis à visage découvert, il a toujours été là pour alerter que la démocratie est un chantier de longue haleine et qui peut êtredévié de ses idéaux et valeurs par ses propres acteurs.
C’est pourquoi, avec certains camarades, membres de l’association ils ont critiqué le premier gouvernement de l’Adema à travers un article publié dans le journal Les Échos, alors qu’ils étaient membres de ce parti.
En 1994, lorsque la situation politique s’est détériorée et que la stabilité du régime était menacée, Ousmane SY, avec d’autres patriotes ardent défenseur de la démocratie avaient publié un premier Manifeste pour la patrie, dans lequel, ils appelaient les Maliens à l’union pour sauver la démocratie.
En 2006, avec les camarades, il a activement participé à l’élaboration et le lancement du fameux « Manifeste pour la Démocratie ». Cette initiative, fortement décriée à l’époque par certains thuriféraires du régime ATT, dénonçait déjà les dérives qui allaient conduire notre pays à la situation qu’on est entrain de vivre présentement. Ce texte était une alerte sur la dépolitisation de l’appareil d’État et constituait une entreprise de renforcement de la démocratie dans notre pays avec la participation de tous les acteurs politiques et des organisations de la société civile.
Ousmane Sy, lors de la conférence de lancement a critiqué la dépolitisation de l’appareil d’État prônée par certains. C’est un mythe, jugera-t-il en précisant : “Je crois plutôt au caractère républicain de l’administration d’État”. De tout temps, souligne-t-il, la gestion des affaires de la société s’effectue à travers un système politique.
Ousmane Sy, se retirant de toute action gouvernementale ces dix (10) dernières années,s’est résolument engagé dans la refondation de la gouvernance au Mali et dans les pays africains et le renforcement de la société civile avec de nombreuses initiatives au niveau de son centre qu’il a créé en 2004. En sa qualité d’Expert Internationale en matière de Gouvernance et de développement locale, il continue à jouer son rôle de « lanceur d’alerte ». Et son engagement à été récompensé par le très prestigieux Prix du Roi Baudoin en 2004-2004.
Avec sa candidature, à l’investiture au niveau de son parti (ADEMA-PASJ), il apparaît évident qu’il veut aller au delà de son rôle de « sonneur d’alerte » pour être « Un Porteur de changement »
C’est les deux grands presidentiasables et qui sont les mieux placés pour la victoire à un degré moindre IBK.
IL FAUT FUSILLER CES 2 AL CAPONE AVANT LE JOUR J, ON NE GARDE PAS UNE BERGERIE AFFECTEE DE PESTE…CANARDER LES OU METTEZ LES AU GNOUFFFFF AVT LA DATE.
tes 2 koki-lidjan ouai et non présidentiables , qui osera choisir ces narko trafikans ?
Toi tu crois qu’on dirige un pays dans un grin de thé? regarde à travers le monde tu crois qu’on confit la gestion d’un pays à n’importe qui refléchit et tu me signe capral Zanké car ton nom sonne mal.
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