A peine sorti de la salle de réunion du cadre de concertation ministère de l’Administration territoriale-partis politiques, ce mardi 9 février 2016, le président de l’Adema-Pasj s’est confié à la presse. Dans cet entretien, Tiémoko Sangaré donne son point de vue sur le débat autour de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et ses impressions sur la relecture de la loi électorale. Le Pr Sangaré en a aussi profité pour dénoncer, encore une fois, la fraude électorale, partant, la classe politique malienne. Lisez l’entretien !
Quelle est votre position par rapport à la question du maintien de la Ceni actuelle ou la mise en place d’une nouvelle Ceni ?
Par rapport à la Ceni, je pense qu’on ne peut pas trancher aujourd’hui. Puisque les partis sont organisés en groupement, je préfère que le débat soit lancé au sein des groupements. Concrètement, je me dis que ça dépendra du temps qui nous sépare de l’organisation des prochaines élections. Si celles-ci ne sont pas organisées de sitôt, il serait effectivement indiquée que la Ceni, conformément à la loi, fasse son rapport et le dépose. En ce moment, la mise en place d’une nouvelle Ceni devra se faire conformément aux dispositions légales en vigueur.
Par rapport aux innovations introduites dans la loi électorale, l’Administration territoriale n’a pas toute de suite approuvé l’interdiction de campagne dans les lieux de culte et celle des gadgets de campagne, des points auxquels vous tenez beaucoup. Quel est votre sentiment ?
C’est vrai ! Quand j’ai reçu le document du Département, j’étais à la limite choqué parce que l’essentiel des propositions que nous avions eu à faire étaient apparues dans la colonne des propositions du Comité, non retenues par le Département. Mais, heureusement, au terme des débats que nous avons eus, on s’est rendu compte qu’il y avait peut être des nuances de formulation, mais que dans le fond, l’idée est retenue. Je m’en réjoui parce qu’aujourd’hui, et je l’avais dit depuis longtemps, la relecture actuelle de la loi électorale est une opportunité dont nous devons nous saisir pour apporter des améliorations à notre dispositif légale en matière électorale. Parce que l’essentiel des problèmes que nous avons, et qui affaiblissent notre démocratie, c’est justement la mauvaise qualité des élections. Et tant que les élections vont se faire dans la logique de l’acceptation de la fraude et du vol, on aura toujours des problèmes. La classe politique est aujourd’hui décriée par les citoyens. Les gens ne croient plus aux hommes politiques. Ils ont raison, parce que quand la classe politique se met à fonctionner sur la base du vol et du mensonge, il est évident que les citoyens ont raison de ne pas croire. Je pense qu’aujourd’hui, il faut que nous prenions toutes les dispositions pour nous donner les moyens d’avoir des élections propres. Cela n’est pas au dessus de nos moyens. Un pays comme le Burkina, qui sort de dix ans d’absence d’élection démocratique, vient d’administrer la preuve que quand dans un pays, les gens veulent bien faire, ils le peuvent. Donc, il n’y a pas de raison aujourd’hui qu’au Mali, nous continuons dans une démarche qui consiste pour la classe politique de penser qu’il faut aller aux élections et voler pour gagner. Maintenant, celui qui vole moins est celui-là qui se met à crier au vol, alors que tout le monde est en train de voler. Pourquoi cette politique de l’autruche ? Nous savons qu’en continuant comme cela, nous n’aurons pas de démocratie. Ce qui s’est passé en 2012 en est la preuve. Un pays avec plus de 20 ans d’exercice démocratique, qui subit un coup d’Etat et la population ne se sent pas concernée, simplement parce qu’elle était en rupture avec les autorités. Il faut le corriger.
Faut-il retenir de vos propos que le ministère de l’Administration territoriale doit remplacer la Ceni ?
Jamais ! Cela n’a jamais été de mon propos. Au contraire, depuis longtemps, la classe politique, dans son écrasante majorité, est acquise à l’idée qu’on mette en place une structure unique chargée de l’organisation des élections, comme d’ailleurs cela est le cas dans beaucoup de pays. Donc, aujourd’hui, nous pensons qu’il faut au Mali une structure qui sera exclusivement dédiée à l’organisation des élections et qui sera une structure pérenne. C’est cela qui va garantir la qualité des élections et c’est cela qui va faire en sorte que les gens vont de plus en plus croire aux élections. Naturellement, il faut que cette structure soit pilotée par des gens qui soient moralement irréprochables.
Quel sentiment avez-vous sur la relecture de la loi électorale de façon globale ?
Cette relecture est une initiative des partis politiques. Nous pensons que c’était une nécessité, non pas l’exercice en tant que tel, mais le contenu qu’on y met. Et aujourd’hui, c’est ce contenu que nous avons discuté, et Dieu merci, les éléments auxquels nous tenions, c’est-à-dire ceux qui favorisent la crédibilité des élections et qui avaient semblés n’avoir pas eu l’assentiment de l’Administration, ont été réintégrés. Je pense que dans la mouture qui va sortir sous forme d’avant-projet de loi, ces éléments seront reconduits.
Propos recueillis par Bakary SOGODOGO
Même si la démocratie dans notre pays ne date que de quelques années; elle est un exemple pour la sous-région. Nous devons juste renforcer nos structures afin d’offrir plus de crédibilité. L’exercice du pouvoir démocratique n’est pas du tout chose aisée mais c’est au fil du temps qu’on trouvera les voies et moyens pour rendre irréprochable notre gestion en la matière.
Ce que Tiemoko SANGARE ne sait peut être pas, c est que même sous le dictateur Blaise, les élections au Burkina étaient plus transparentes que celles qui se passent au bord du Joliba
On ne peut pas taper sur ‘Adema et épargner Ibk qui est un pur produit de l’Adema. Ibk ne peut pas changer parce qu il est arrivé au pouvoir en gagnant comme l Adema a toujours gagné, par la triche, l’intimidation, le chantage aux postes, le soudoiement ou la corruption des préfets et sous prefets, des gouverneurs et autres commandants de cercle de l époque. Non, la vraie face des élections au MALI c est ce que l’Adema et Ibk ont imprimé à notre système démocratique: la corruption pour gagner, hier comme aujourd’hui. Regardez les dernières législatives partielles d’Ansongo: comment une bourgade de 6000 électeurs inscrits peuvent voter à 98% pour le RPM et la cour constitutionnelle valide cela? C’est simplement honteux pour notre pays
Je pense que nous ne devons pas remplacer pour remplacer. Une structure peut être vieille de plusieurs années et être toujours d’actualité. Il suffit juste de faire des réaménagements pour rester crédible.
Aussi faut-il remarquer que l’administration territoriale ne peut jamais remplacer la CENI car pour des questions aussi sensibles; il faut des structures totalement indépendantes.
il n’y a pas de raison aujourd’hui qu’au Mali, nous continuons dans une démarche qui consiste pour la classe politique de penser qu’il faut aller aux élections et voler pour gagner 😯 😯 😯 😯 😯
Si tiemoko sangare pense ainsi je pense que ça doit être sa vision des choses car un bon homme politique ne peut pas avoir pour ambition d’aller aux élections pour voler et gagner; c’est complètement absurde. Si des personnes se déplacent pour aller voter; c’est parce qu’elles y voient un moyen de choisir leurs dirigeants.
Je pense que toute organisation; toute structure sociale qui n’innove pas est source de problèmes surtout dans ce cadre aussi sensible qu’est l’organisation d’élections. Il faut tirer les leçons du passé et les utiliser pour avoir des bases solides qui garantiront une crédibilité sans précédent.
On peut bien interdire de mener des activités politiques dans les lieux de cultes parce que la religion et la politique ne font pas certainement bon ménage. Mais pour ce qui est des gadgets de campagne nul part au monde je n’ai encore vu une quelconque interdiction en la matière car ce sont des moyens offerts à tout un chacun de pouvoir montrer sa présence et aussi de s’affirmer.
Et tant que les élections vont se faire dans la logique de l’acceptation de la fraude et du vol, on aura toujours des problèmes. 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
Les problèmes que nous avons n’ont absolument rien à avoir avec une quelconque mauvaise organisation d’élections. Notre pays n’est pas le plus parfait mais en matière d’organisation d’élections; on ne connait vraiment pas trop de problèmes.
On doit FORMELLEMENT et CARRÉMENT INTERDIRE toutes actions politiques dans nos lieux de culte car ces deux activités n’ont pas du tout les mêmes objectifs. On doit dissocier le politique du religieux.
Il a réussi à signer et à mettre fin aux hostilités du Nord. Merci infiniment IBK.
A ce qui concerne l’économie tout commence a rentre dans l’ordre. Il est en train de bannir du pays, les fraudes
IBK est un homme de parole. Il est en train de réaliser le rêve du peuple.
Le gouvernement d’IBK a été extraordinaire. Car le Mali a connu son développement grâce au régime d’IBK.
La question est de savoir pourquoi les gens critiques IBK et son gouvernement ?
Le Mali a connu le bonheur et l’honneur sous IBK.
Moi je ne sais pas pourquoi nous devrions changer la CENI car celle-ci est conforme pour ne pas dire réponds aux normes en vigueur. On ne peut envisager sa reconstitution que si celle-ci ne répondais plus à nos attentes. On ne doit pas mener des actions qui feront l’objet de contestation plus tard.
Toute ces fraudes ne date pas d’aujourd’hui, depuis de régime précédant c’est adire celui d’ATT.
Le régime d’ATT était basé sur la corruption et la mal gouvernance, c’est-à-dire la mauvaise gestion de l’administration et la désorganisation au sein de l’armée, et le détournement du dernier public
Accepter les résultats des urnes c’est accepter la démocratie. Si nous sommes incapables d’accepter les verdicts de nos structures alors qui viendra organiser nos élections.
C’est en Afrique, on crie à la fraude. Pourquoi.
Le président IBK avec le ministère de l’administration feront tout pour éviter les fraudes au Mali.
C’est une structure qui regroupe en son sein les représentants des partis importants. Je ne pense pas que la fraude soit possible à leur présence.
Il est temps que les maliens fassent confiance aux structures en charge des élections et accepter le verdict des urnes.
Les élections sont suivies par les organisations internationales et nationales. Le plus souvent en Afrique, ce sont les minorités qui crient à la fraude alors qu’elles sont incapables de remporter une élection
La population Malienne sait réellement que la paix est plus efficace que la lutte contre toute activitées de fraudes, car le pays vivait à une situation très dangereuse, alors le peuple voulait la paix et rien que la paix
Je pense que ce sont les appellations qui changent selon les pays mon professeur,
CENI au Mali, en Guinée, Niger, Burkina
CEI en Côte d’Ivoire
Et les résultats sont confirmés par le conseil constitutionnel
Que peut -on apprendre d’un tel professeur. Rien du tout
Le président IBK, est un président légitime et légalement élu avec 77,61% de voie, cela prouve que la population est avec lui.Et Avec IBK nous lutterons contre toutes tentatives de fraude.
Un professeur qui divague dans son interviews. Qu’il me dise la structure qui est pérenne qui organise les pays dont il fait allusion. Aucun Donc qu’il arrête d’accuser la CENI de fraude. L’ADEMA PJS ne fait pas le poids pour avoir des portefeuilles électifs.
Il faut que nous soyons des maliens forts et gardons nos positions envers le gouvernement.
La CNI ne peut pas être remplacer comme ça …
De tout ce qu’il faut comprendre, les politiques maliens sont fauché, il ne font que mentir aux populations.
Il faut que ses politiciens pensent à dire de la vérité aux populations…
Une très belle interview, 😀 😀 😀
🙄 🙄 🙄 🙄 Je ne peux rien dire contre la cni, depuis l’arrivé du président IBK la cni s’est redresser comme normal…
IBK est venu pour changer tout ça …
La proposition du remplacement du CENI est vraiment pas possible, car cela n’est pas chose aisé pour notre pays. La CENI mit en place est aussi en train d’accomplir un travail salutaire. Le Pr. Tièmoko Sangaré se plaint parce que son partie n’a plus la place dont elle occupa pendant plusieurs année au sein de la CENI.
La population malienne ne veut plus d’élection basé sur le vol et le mensonge car elle pourra porter atteinte à la stabilité et à la démocratie de ce pays. Les élections doivent être transparentes et démocrate.
Tout à fait je suis d’accord avec vous. Nous ne voulons plus des élections basé sur le vol et les magouilles…
Je me demande qu’elle élection basé sur le vol dont nous parle Pr, Sangaré, les élections sous le régime d’IBK d’une manière général a été très salutaire. La CENI jusqu’à preuve du contraire est rester irréprochable dans son travail.
je remarque dans l’intervention du Pr. Tiemoko Sangaré il ne défend que la cause de son parti politique qui n’a malheureusement plus la force qui lui était accorder pendant plusieurs année au sein de la CENI. Le Pr. Tiemoko Sangaré est entrai de mener un débat d’intérêt personnel.
On ne veut plus des élections basées sur le mensonge et le vol. Car un pouvoir issu de tels pratique ne peut offrir une bonne gouvernance à cette nation qui en a besoin depuis plus de deux décennies. Mais le seul parti politique responsable de cette situation est et reste l’Adema-Pasj.
On a déjà une structure de ce genre dans notre pays, M. Tièmoko Sangaré. Il faut tout simplement doté la Commission électorale nationale indépendant pour que les élections soient crédibles et transparentes, comme cela a été le cas lors des élections présidentielles passées dans ce pays. Le Mali n’avait pas connu de telle transparence et de telle crédibilité dans les élections.
Le demande du remplacement de la CENI est plus ou moins pour le moment impossible. Car la CENI est une commission qui ne se reconstruit pas aussi facilement. La CENI actuel met tout en œuvre pour la bonne marche de son travail. Le gouvernement malien aussi n’est pas rester indifférent car il veuille à ce que la CENI mène à fond son travail.
C’est parce que son parti n’a plus de crédibilité et aucune chance de gagner encore des élections dans ce pays que le Pr Tièmoko se met à dénoncer le mauvais fonctionnement de la Commission électorale nationale indépendante. Sinon depuis des années cette pratique existait dans ce pays. Mais il n’a rien parce que c’était son parti qui était à la tête des affaires de l’État.
Je pense que Pr. Tiemoko Sangaré met la charrue avant les bœufs et problème au sein de la CENI n’a pas un problème qui demande la mise ne place d’un nouveau CENI. Les classes politiques représentative doivent entamer des négociations pour avoir un terrain d’attentes sur les différents tâches qui leur sont demander.
LA CENI ne sera pas remplacer, en tout cas pas à la demande du Pr Tièmoko Sangaré et autres militants de l’ADEMA-PASJ. Si le Mali se trouve aujourd’hui dans l’impasse avec la corruption, le clientélisme, le favoritisme, j’en passe, c’est du à la mauvaise gouvernance de ce parti politique.
Actuellement la commission nationale indépendante ne doit être remplacer car cela demande encore un défis énorme à relever. L’État malien a d’autre préoccupation plus importante à régler, d’autant plus que ceci n’est même pas une préoccupation, car la CENI jusqu’à preuve du contraire travail bien.
Tous les partis politiques sont bien placés pour dénoncer le fonctionnement des élections, sauf l’Adema de Tièmoko Sangaré qui a eu à gouverner ce pays pendant qu’il devenait une démocratie. Cela avec le régime d’Alpha Oumar Konaré quia été le premier président du Mali démocratique.
Les élections, dans presque touts les pays africains, sont fondées sur le vol et le mensonge. La commission électorale nationale indépendante (CENI) doit être maniée pour éviter que les élections ne soient faites sur la base du mensonge et du vol. Ce qui nous conduira directement vers la mal gouvernance avec comme système de gouvernance la corruption. Ce qui aura comme corollaire, le retard de développement.
Le Pr Tièmoko Sanagré a parfaitement raison sur les piliers de la commission électorale malienne.La classe politique fonctionne sans aucun doute sur la base du vol et du mensonge. Mais pour pouvoir combattre cela, il faut faire le diagnostic de ces piliers. Ce qui nous amènera à inviter M. Sangaré à recourir à l’histoire pour connaître que c’est son parti qui est à la base de cette situation, l’Adema-Pasj.
Le problème est que s’est la classe politique représentative au sein de CENI qui n’arrive point à s’entendre, car les partie politiques jouent tous à un jeu d’intérêts au sein de la CENI. Même si une nouvelle CENI devrait être mis en place je pense que ce sera les même problèmes alors autant chercher régulariser la situation avec la classe politique en place.
Si la Commission électorale nationale indépendant doit être remplacée,je dirai que les autorités seront mise face à de grands défis à relever. Car ce n’est pas du tout une chose aisée de bien organiser une élection sans une commission en charge bien qualifiée.
La commission électorale nationale de ce pays n’est pas dans toutes les conditions requises pour pouvoir jouer son rôle comme il le faut. L’indépendance fait défaut à cette commission. Raison pour laquelle, il y a des vols et des mensonges partout.
Je pense que Mr Sangaré ce plaint pour rien. Il ne raconte que des balivernes, c’est pas parce qu’il n’a pa eu gain de cause qu’il se permettra de raconter des balivernes du travail de la CENI. La CENI est en train d’accomplir un travail salutaire.
La classe politique et ses diversités fonctionnent sur la base de tout sauf en bien. Les élections sont toutes truquées et les partis politiques jouent bizarrement leur rôle. Cela depuis que l’Adema-Pasj a pris le pouvoir dans les années 1990.
La CENI est une organisation indépendante qui doit jouir de tous ses droit et devoir. La liberté de la CENI joue un rôle très important dans la stabilité d’un pays. La CENI est aussi l’une des piliers de la démocratie d’un pays.
Je crois que cette situation n'est pas externe à l'ADEMA qui a occupé la présidence dans ce pays des décennies. Donc si la classe politique fonctionne sur la base du vol et du mensonge, je pense que la première responsable sera bien ce parti.
Le Mensonge, le vol est un acte que l'ADEMA a instauré au Mali.
Mon très cher Tiémoko, un adage bamanan dit “Niye minke tièw la, tièw boke y la” (ce que tu fais aux hommes, les hommes te ferons de même), c’est ADEMA qui est à la base de toutes ces fraudes organisées après qu’on ai fini de faire tomber l’UDPM de Moussa TRAORE. Maintenant que vous n’êtes plus au pouvoir les choses ont changé et vous vous retrouviez dans le camp de plus faible; sinon vous aviez fait les mêmes choses ici devant dieu et devant les hommes. De toutes les façons, vous aviez semé les graines du vent et sans équivoque nous aurions ensemble à la récolte une série de tempêtes sans équivoque. ADEMA dans sa précipitation de recherche du pouvoir en 1992 a fait toutes sortes de bêtises ici devant dieu et devant les hommes et cela affectera notre jeune démocratie jusqu’à l’avènement d’une 4ieme République qui balayera toutes les racailles de cette 3ieme République mal venue. Venue avec les tares du régime anti-démocratique de Moussa TRAORE. Nous nous débarrasserons de ces tares seulement dans la douleur.
Qu’Allah le tout puissant aide et protège notre très cher Mali.
Une réalité indéniable est évoquée par un français dont le contenu est ceci “La cooptation et la corruption sont des leviers bien plus puissants que le mérite. Il faut libérer les énergies si on ne veut pas que le dividende démographique ne devienne une bombe à retardement.” Fin de citation.
😯 😯 😯 ,
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 ,
Merci Yacouba Coulibaly,
Requins, crocodiles, coyotes, rapaces, loups, anacondas et vampires depuis AOK a IBK en passant par ATT pensent que tout le peuple malien sont des tares, il y a en a plein qui les connaissent et d’autres quo restent dans leurs filets 😆 😆 😆 . Un Tiemoko qui a le culot de Nous raconter des con-neries de la sorte je n’en reviens simplent. 😆 😉 .
Comments are closed.