Fortement pressenti à la succession du président de la République sortant, le Pr. Dioncounda Traoré polarise tout naturellement les intérêts de ses concitoyens. Les interrogations fusent de toutes parts sur celui qui semble sur la meilleure rampe pour accéder à la magistrature suprême, en tant que candidat de la première force politique au Mali.
Modeste et humble jusqu’à l’effacement, son allure pensive lui donne l’air d’un personnage introverti à la limite de l’indifférence au monde extérieur. Derrière cette apparence d’insensible se cache pourtant la dimension profondément humaine d’un mortel pour qui la vie n’a de sens que quand elle est partagée avec le semblable, le prochain. Pr. Dioncounda Traoré, puisque c’est de lui qu’il s’agit, n’a rien perdu de cette marque d’africanité, de cette authenticité malienne, en dépit d’une jeunesse partiellement vécue au contact de cultures étrangères, cursus académique oblige.
Issu d’une famille nombreuse, il conserve encore jalousement le sens aigu de partage et de solidarité qu’imposent les réalités d’une telle appartenance. Ce père de sept (7) enfants acquis de deux mariages – plusieurs fois grand-père – continue d’entretenir sa famille avec les mêmes pratiques et habitudes acquises de ses éducations soninké et bambana.
Jusqu’à une date encore récente, le président de l’Assemblée nationale, nonobstant les contraintes liées à cette haute fonction, n’avait pas encore consenti à abandonner le toit qu’il a toujours partagé avec ses enfants, son épouse, ses sœurs, ses petits enfants et sa vielle maman. Il a certes fini par se plier aux exigences de ses attributs institutionnels, mais rien ne peut l’empêcher de savourer une fois par jour au moins les délices d’une ambiance familiale qui lui manque tant, depuis qu’il a aménagé à la résidence du président de l’Assemblée nationale.
Au domicile paternel sis à Lafiabougou, il continue toutefois de se réchauffer journellement à la chaleur de l’affection filiale et en donne autant qu’il reçoit, à travers des histoires drôles, des sourires, des échanges et recueillir des nouvelles de proches parents, etc. Chef de famille, il y veille aux doléances et besoins de ses sujets au détail près ; enfant, il échange des tendresses avec sa vieille maman et reste à ses petits soins aussi longtemps que son court temps le lui permet.
Les plus fidèles amis ou proches de la famille, sachant la régularité de telles retrouvailles, en profitent souvent pour s’épargner les lourdeurs protocolaires d’accès aux audiences avec le président de l’institution législative à l’hémicycle. Sa présence quotidienne auprès de la famille donne donc lieu à toutes sortes de rendez-vous improvisés au cours desquels des doléances sont exposés mais aussi des échanges de points de vue sur les évolutions de scène politique et tant d’autres sujets de l’actualité brûlante.
C’est dans une ambiance tout aussi conviviale que le Pr Dioncounda Traoré a coutume de passer les fêtes traditionnelles qu’il affectionne tant et qu’il attend chaque année avec impatience, rien que pour l’affluence humaine qu’elles occasionnent au domicile paternel. Il en profite pour recevoir les salutations et vœux de nombreux visiteurs parmi lesquels des voisins, des gendres, belles-filles, cousins, amis, entre autres, et partage par les mêmes occasions des tasses de toutes sortes de mets avec son proche entourage.
Très regardant et respectueux de sa part de devoir social ainsi que sur la consolidation des amitiés interfamiliales, il veille personnellement, avec la minutie requise, à ce que la viande de Tabaski parvienne aux destinations habituelles.
Ce n’est pas tout. Les plus proches du candidat de l’Adéma/PASJ retiennent de lui une propension si prononcée pour le partage et la chaleur humaine qu’il en crée les conditions même quand ses charges et responsabilités le défavorisent. Par exemple, pour partager, comme à ses habitudes, le contenu de la marmite familiale avec un cercle suffisamment élargi de convives, son déjeuner, préparé au domicile, lui est souvent servi sur une table réservée à la cantine de l’Assemblée nNationale et où il le déguste avec tous les collègues députés qui le désirent. Autre illustration de son penchant pour le social, une fidélité irréprochable au ‘’grin’’, ce cercle d’amitiés qui s’élargit progressivement et avec lequel il partage tous les samedis, depuis plus de trente ans, le traditionnel plat sénégalais le ‘cheb’ – dont il marchande lui-même le poisson au marché.
Quand on sait combien la proportion d’attachement au social est indicative du degré de connexion de l’individu malien avec son milieu social, il est loisible de comprendre que cette caractéristique est un facteur déterminant dans la motivation du choix de dirigeants au Mali.
Correspondance particulière
DIONCOUNDA TA DONNER COMBIEN MESIEUR LE GRAND GRIOT.DIEU NOUS DEMANDERA COMPTE DE NOS VOIX MES TRES CHERS MUSULMANS LE MEME DIONCOUMDA A VOTER LE CODE DES FAMILLE DICTEE DIRECTEMENT PAR LES OCCIDENTAUX CONTRE NOTRE RELIGION DIONCOUMDA ETAIT A LA TETE D UN COMPLOT ORGANISER PAR LES YAOUDIAS ET LES NANSARAS.CONTRE L ISLAM.UN CONSEIL POUR TOUTS LES VRAIE MUSULMANS.DIONCOUMDA A DEMONTREE PAR A PLUS A QU IL EST CAPABLE DE VENDRE SON AME AU DIABLE POUR SES BESOIN POLITIQUE.FAITE BIEN ATTENTION AU POLITICHIEN QUI NE VISE QUE LEURS INTERET TOUT SAUF DIONCOUNDA
GO ! … Dionkiss… GO ! ……. 😀 😀 😀
Tu diriges la plus grande formation politique du Mali… c’est normal que tu sois le Président… C’est ça la démocratie… 😀 😀 😀
Quand IBK parle : … moi… je… je… moi… 🙁
Quand Soulaila parle : je… moi… moi… je…
uand Dionkiss parle : … notre parti l’Adema… l’Adema… l’Adema… 😀 😀 😀
C’est ça la différence ! 😀 😀 😀
Dionkounda se fatigue pour rien.Il ne sera jamais président du Mali.Nous attendons Zorro avec impatience.
Les prestations de l’ASSEMBLEE NATIONALE sont a l’image de votre homme social…Ce type est un danger pour le Mali…Peut etre que le reveil viendra quand la nouvelle constitution rendra le Mali ingouvernable….C’est tout simplement un SUICIDE COLLECTIF… 😳
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