Dans une interview exclusive, le Pr Ali Nouhoum Diallo, ancien Président de l’Assemblée nationale du Mali, jette un regard critique sur le comportement des Nations Unies envers notre pays concernant le Mnla. Il évoque aussi les raisons pour lesquelles son parti, l’ADEMA/PASJ, a décidé de rejoindre la majorité présidentielle. Dans cette interview, Pr Ali Nouhoum Diallo se penche sur les premiers mois d’IBK au pouvoir et désapprouve le qualificatif de «grand républicain» que le Président de la République a accordé au général Moussa Traoré lors de son investiture au CICB. Lisez plutôt.
Pourquoi votre parti a décidé de rejoindre la majorité présidentielle?
Pr Ali Nouhoum Diallo: Merci de bien vouloir me donner l’occasion de dire ce que je pense de certains problèmes du Mali d’aujourd’hui. Il a été largement dit qu’après avoir géré le pays pendant 10 ans, avoir eu un candidat au second tour de l’élection présidentielle en 2002 et avoir été battu, le Parti africain pour la solidarité et la justice (ADEMA/PASJ) devait aller à l’opposition. Autant en 2002 je comprenais qu’une partie de la classe politique et une partie de la société civile disent que la place de l’ADEMA/PASJ devrait être à l’opposition. Autant, aujourd’hui, je comprends moins bien cette tendance à traiter les membres du parti d’hommes qui ont peur d’aller à l’opposition, qui ne veulent qu’être proches du pouvoir. Donc, qui veulent, à tout prix, être près du plat national, autour de la table. Je comprends moins bien cela, cette fois-ci. A mon avis, pour dire qu’on va à l’opposition, on doit se dire: on s’oppose à quoi? On s’oppose à un homme, à un groupe d’hommes. On va à l’opposition, parce qu’on a été trop longtemps au pouvoir ou aux côtés du pouvoir. On s’oppose à des idées, à un projet de société, à un programme. C’est très clair dans ma tête qu’on s’oppose à des idées avec lesquelles on n’est pas d’accord, à un projet de société et à un programme. Il se trouve qu’IBK et le RPM, dans son ensemble, disent qu’ils sont des socio-démocrates, qu’ils sont de l’Internationale Socialiste. Pendant six ans, IBK était le président du Parti africain pour la solidarité et la justice. C’est à ce titre qu’il a représenté le parti à l’Internationale Socialiste. Et ceci a naturellement facilité qu’il reste très lié à l’Internationale Socialiste et que le parti qu’il a créé aussi demande son adhésion à l’Internationale Socialiste. Nous ne pouvons pas dire que nous partageons les valeurs sociales démocrates sur le plan international et que sur le plan intérieur, nous voulons appliquer un programme social démocrate et dire que nous allons à l’opposition. Ce sont des choses que je ne comprends pas. Pour moi, c’est manquer d’esprit de suite. Si tant est qu’on se bat pour des idées, sur la base des projets de société et des programmes.
Donc, vous voulez dire que l’ADEMA et le RPM ont le même programme?
C’est ce que je constate. Je n’ai pas connaissance d’une renonciation d’IBK et des hommes qui sont autour de lui, surtout ceux qui sont partis de la Ruche pour créer le Rassemblement pour le Mali, qu’ils aient dit un jour qu’ils renoncent au projet de société et au programme défini, les 25 et 26 mai 1991, lors du Congrès constitutif du parti ADEMA. Je n’ai pas connaissance, un jour, d’une déclaration de ce parti, issu de la Ruche, disant qu’il renonce au projet de société et au programme fondateur de la Ruche. Ibrahim Boubacar Kéita a fait essentiellement campagne avec le mot d’ordre «le Mali d’abord», «l’honneur du Mali d’abord», «l’unité du Mali d’abord», «le bonheur des Maliens d’abord». Je crois-même si le programme est laconique-qu’il est difficile pour l’ADEMA/PASJ de dire qu’il n’est pas d’accord avec «le Mali d’abord». Je ne pense pas que, ainsi explicité, le PASJ, au nom duquel il a milité à l’Internationale Socialiste, ne peut pas se démarquer d’une telle profession de foi. Sauf s’il est question de problèmes subjectifs: les Maliens vont penser de nous de ceci, les Maliens vont penser de nous de cela. Ce sont, pour moi, des considérations subjectives. En plus, dès qu’il a pris les affaires en mains, dans toutes les missions où il est allé, il a fait des affirmations fortes concernant l’intégrité de notre territoire, la souveraineté de notre nation, la laïcité de l’Etat, la forme républicaine du Mali. Il a fait aussi des affirmations fortes sur la nécessité d’un Etat démocratique décentralisé, avec la possibilité pour les populations de s’administrer tout en veillant jalousement sur l’unicité du pays dans la diversité. Il a particulièrement affirmé cela à Paris, à Berlin et, avant, à Bruxelles. Un, il dit qu’il ne négociera pas avec des hommes armés. Deux, il n’y aura pas d’autonomie, a fortiori d’indépendance de l’Adrar. La paix reviendra au Mali par une négociation inclusive. Il faudrait que ce soit les Maliens, sans armes, toutes communautés confondues, toutes sensibilités confondues, toutes peaux confondues, s’asseyent ensemble pour définir l’avenir du Mali. Il ne peut pas affirmer des opinions aussi fortes et voir le PASJ l’abandonner et le laisser et dire que l’on s’oppose à lui.
Mais Monsieur le Président, l’URD est aussi issu du PASJ, il veut aller à l’opposition…
Je ne peux pas répondre à sa place. Les considérations qui font que l’URD veuille aller à l’opposition, je crois qu’il faut les tenir de sa bouche. Je suis en train de vous dire, comment je conçois l’opposition. Sur la base de quel fait je vais m’opposer dans la vie et sur quelle base le Parti africain pour la solidarité et la justice, dont je suis membre, devrait s’opposer.
Que diriez-vous alors à vos camarades politiques qui veulent aller à l’opposition?
J’ai évoqué, tout à l’heure, les raisons pour lesquelles je ne prônerai pas aujourd’hui au PASJ d’aller à l’opposition. Et je sais qu’en le disant, nul au Mali, qui s’en tient au fait, n’osera dire que c’est parce que je veux tourner autour du plat national, que je vais être à table. Je crois qu’il ne faut pas avoir ce complexe. Je ne peux pas m’opposer à IBK il proclame ce qu’il a dit sur l’intégrité territoriale, l’unité de la nation, la laïcité de l’Etat, la forme républicaine de l’Etat, sur le caractère démocratique de son régime… Et je ne conseille pas à mon parti de le faire. Quand IBK entreprend une lutte résolue contre la corruption et qu’il passe aux actes, il fait arrêter des hommes fortement suspects, aujourd’hui, de corruption, je ne peux que conseiller à mon parti de soutenir vigoureusement cette action qui devrait être le mot d’ordre d’un parti qui se dit africain, pour la solidarité et la justice. Il est vrai que, personnellement, je pense qu’il ne faudrait jamais, au nom de la lutte contre la corruption, qu’on se livre, un tant soit peu, à des règlements de comptes de toutes natures, particulièrement de nature politique. Il faut donc, de la sérénité, de la méthode, le respect de toutes les règles de l’art en matière judiciaire pour qu’on ne puisse pas aboutir encore à des verdicts de non lieu, parce qu’on n’a pas pris le temps nécessaire ou qu’on n’a pas suivi correctement toutes les procédures. Ou qu’on n’a pas fait les investigations comme il faut dans la sérénité. Pour tout dire, on n’a pas pu faire en sorte que le droit soit réellement dit. Mais le PASJ doit soutenir vigoureusement l’opération qui consiste à assainir l’administration. D’autant que chaque membre du parti, qu’il soit homme, femme, jeune ou moins jeune, a vécu des situations dans sa propre famille l’amenant à déplorer le comportement de ceux qui devaient dire le droit. Le peuple malien souverain attendait d’eux des pouvoirs de juger. Quand le Président IBK dit qu’il va lutter contre l’impunité et qu’il demande à son ministre de la Justice, à ses procureurs, de prendre en main des dossiers plus difficiles que ceux concernant le Général Amadou Aya ou l’ouverture d’une information judiciaire concernant le Général ATT par la saisine de la Haute Cour de justice, je ne peux que l’approuver.
Vous êtes d’accord qu’on poursuive ATT?
Absolument! Ce n’est pas qu’on poursuive mais qu’on ouvre une information judiciaire pour donner l’occasion au Général ATT, ancien Président de la République, de répondre de tous les actes d’accusation. Je crois même, c’est dans l’intérêt de tout citoyen, accusé, de venir répondre devant la justice de son pays de tous les délits supposés qu’on lui reproche. Je crois que c’est une règle d’or, quand un homme a géré, à tout moment, quand la justice de son pays le demande, de venir justifier ses faits et gestes. Un jour, on a eu un débat au sein de notre parti. On parlait du ministre Tiéna Coulibaly, le dernier ministre des Finances de Moussa Traoré et premier ministre des Finances de la transition. Quel scandale?
S’insurgeaient d’entre nous. Je disais aux camarades : « essayons d’être objectifs. Le ministre Tièna Coulibaly a été blanchi par ce qu’on pourrait appeler le tribunal des vainqueurs. Quand même, ce sont les tribunaux, dirigés par les juges, nommés par ceux-là qui ont gagné les élections en 1992, qui ont blanchi le ministre Tièna. Ce n’est pas la même chose pour chacun d’entre nous ici. Nous n’avons pas eu cet honneur d’aller devant les tribunaux de notre pays et d’être blanchis » Je ne comprends pas les citoyens qui se scandalisent, parce qu’on demande à un autre citoyen, fut-il haut placé, de venir répondre devant la justice de son pays. Je ne vois pas en quoi c’est scandaleux. En principe, si quelqu’un est accusé et qu’il est blanchi, eh bien, il sort du tribunal tête haute et avec les applaudissements de toutes les honnêtes gens. Donc, il dit qu’il va lutter contre l’impunité, que nul n’est et ne saurait être au-dessus de la loi, tout citoyen doit s’attendre à ce qu’un jour il rende compte de l’exécution de la parcelle de pouvoir, grande ou petite, qu’il a eu à exercer. Ce que les gens appellent aujourd’hui la redevabilité. Tout homme doit être redevable. Je trouve que tout homme politique doit être redevable devant les citoyens et rendre compte. Il faut qu’on s’habitue à cette pratique. Ce n’est ni méchant, ni scandaleux de demander à quelqu’un de rendre compte quand il a assumé des responsabilités dans un pays. En tout cas, je ne serais jamais scandalisé si, demain, on me dit : « Ali Nouhoum vient répondre de ta gestion à l’Assemblée nationale ». C’est tout à fait normal. Si les crimes que j’ai commis sont imprescriptibles, même au soir de ma vie, je dois m’attendre à ce qu’on me demande des comptes. Donc, il faut soutenir IBK et je ne vois pas le parti ADEMA, au risque de se discréditer, de dire qu’il n’est pas d’accord avec tout ce que, dans les premiers mois, IBK a posé comme acte. Je crois qu’on tend à confondre deux choses: la façon dont IBK et son parti peuvent traiter les autres partis, y compris le nôtre, qui n’est pas toujours une attitude de respect, d’estime et de différence et le fait que le programme d’IBK, son projet de société, sont différents du programme et du projet de société du parti ADEMA.
Il y a des choses que je n’ai pas approuvées. Quand IBK dit que Moussa Traoré est un grand républicain. Il est évident que ce sont des propos auxquels je n’adhère pas. Surtout la raison pour laquelle il l’a dit. J’ai compris que c’est parce que le Général Moussa Traoré, ancien Président de la République, a répondu à son invitation. Alors que le Président Alpha Oumar Konaré ne l’a pas fait. Cela ne fait pas du Président Moussa Traoré un grand républicain. J’imagine mal un officier d’une armée républicaine faisant un coup d’Etat. Il était bien le chef des prétoriens ayant perpétré le coup d’Etat du 19 novembre 1968. Le seul fait d’inviter un citoyen condamné deux fois à mort et ne bénéficiant pas d’une amnistie pour recouvrer ses droits civiques et politique est un acte antirépublicain. IBK n’a pas posé un acte républicain. Ceci dit, j’ai dit souvent que le Général Moussa Traoré, au cours de sa carrière politique, a formé des gouvernements très compétents. Donc, ce n’est pas la personne de Moussa qui est en cause, même si les patriotes maliens n’oublieront jamais tous les martyrs morts après d’atroces souffrances, à Kidal, à Taoudénit, pendant 5, 10 ans. Tout comme sont inoubliables ceux qui, sortis de prison, sont revenus très diminués même s’ils ont gardé un moral d’acier jusqu’à leur dernier souffle, en tant que combattants de la liberté. Il est évident qu’aujourd’hui où il est question d’accorder une base militaire à des puissances étrangères, le Général Moussa Traoré, ancien Chef d’Etat, doit être salué pour n’avoir jamais cédé à cette tentation bien qu’il fut traité, à tort ou à raison, d’agent patenté de l’impérialisme et du néocolonialisme.
Voulez-vous dire que vous désapprouvez la signature de ces accords de défense?
Je privilégie des accords de coopération militaire signés avec toutes les puissances, qui, depuis notre indépendance, se sont avérées d’authentiques partenaires au développement. Peut-être par ignorance, j’incline à penser que les accords de défense avec base militaire sur notre territoire est une cession d’une partie de notre souveraineté et une obligation pour nous de nous ravitailler en armements et à tout autre matériel de défense avec uniquement la puissance avec laquelle nous avons signé l’accord de défense et sans avoir la possibilité d’acheter avec les autres pays moins chers. En tout état de cause, il serait souhaitable que tout accord qui serait signé dans le domaine de la défense fasse l’objet de concertation nationale et soit soumis à la ratification de l’Assemblée nationale.
Que pensez-vous de l’élection du beau-père du fils aîné du Président de la République comme Président de l’Assemblée nationale?
A mon avis, le choix des hommes ou femmes à des postes de responsabilité ne devrait rien avoir avec leurs attaches sociales avec le Chef de l’Etat ou sa famille. Si l’Honorable Issaka Sidibé est intègre, compétent, cultivé, attaché à l’intégrité territoriale de notre pays, à l’unicité de la nation, à la cohésion sociale, à notre diversité politique et culturelle et confessionnelle et a des capacités d’anticipation et de créativité, peut importe, qu’il soit beau-père de l’Honorable Karim Kéita ou beau-frère de l’ancienne première dame, Adam Bah Konaré. Maintenant, je vais vous raconter une histoire vécue. Je suis affecté à Ségou comme Médecin Chef de l’hôpital régional. Le lendemain de mon arrivée, une assemblée générale de tous les travailleurs est convoquée. J’assiste à cette rencontre dont le motif est la renonciation au départ du Dr Bakary Coulibaly, affecté à Bamako, parce qu’il est jugé un très bon chef de la famille médicale et de tout le personnel. Le responsable syndical qui intervenait fortement pour déclarer toutes les qualités du Dr Coulibaly a eu un mot gentil à mon endroit. « Dr Diallo, cette Assemblée générale n’est pas dirigée contre vous mais nous savons ce que nous perdons mais nous ne connaissons pas celui qui arrive » avait-il déclaré. Pour le mettre à l’aise, avec la permission du Dr Coulibaly, je lui ai dit de vérifier auprès des populations de Gao ce qui s’est passé le jour où mon affectation à Ségou a été sue. Les mouvements des jeunes, des femmes, l’organisation régionale de l’UNTM, ont voulu marcher pour protester et j’ai eu à user de tous les talents que Dieu m’a accordés pour dissuader tous mes amis. Qui, eux aussi, disaient savoir ce qu’ils perdaient mais ne pas savoir qui allait venir. Ainsi va la vie. Je connais bien Abdrahamane Niang. Bien sûr, si mon choix devait compter, il serait porté sur l’Honorable Niang que je connais depuis la seconde moitié des années 50. Je l’ai connu dans les combats pour le progrès social, pour la démocratie. D’abord au sein de l’US-RDA, de l’UDPM, organisation dans laquelle, il a fallu 10 conférences de section pour arriver à le déboulonner à la demande du sommet. Qui sait si, à l’expérience, je ne vais pas me rendre compte que l’Honorable Issaka est aussi valable que Niang. Seule la pratique permettra de démentir tous ceux, nombreux aujourd’hui, qui disent que l’Honorable Sidibé n’a pas le profil.
Quelle lecture faites-vous des amendements apportées au règlement intérieur de l’Assemblée nationale, notamment l’augmentation du nombre de députés pour former les groupes parlementaire?
Je pense qu’il est difficile, à mon sens, de voir en mal le fait d’augmenter le nombre de députés pour constituer les groupes parlementaires. Si l’objectif n’est pas politicien mais vise à de vastes rassemblements dans la classe politique au sein de l’Assemblée nationale. Politicien, pour être la manœuvre dont l’objectif est d’ôter à l’URD sa place de 2e force politique et à faire perdre à l’ADEMA sa place de 3e force politique. Ce qui entravera aussi, en conséquence, la qualité de leur représentativité au sein du bureau de l’Assemblée nationale, dans les commissions de travail. Politique – c’est-à-dire objective – si cette manœuvre vise à faciliter la distribution du temps de parole et rendre plus profonds et plus larges les débats à l’Hémicycle. Politique serait aussi cette manœuvre si l’objectif est d’obliger ceux qui se sont regroupés à travailler ensemble, à mieux se connaître et à aboutir demain à un projet de société commun, un programme commun d’actions et pourquoi pas une fusion à la fin de la législature. En ce moment, le RPM aura joué un rôle qui doit être celui d’une majorité saine qui est de tout faire pour remédier à la multiplicité inféconde des partis politiques, voulue, il est vrai, par les marcheurs dans l’unité du 30 décembre 1990 qui scandaient «multipartisme intégral ici et maintenant».
Le Conseil de sécurité de l’ONU vient d’effectuer une visite dans notre pays. Quelles sont vos impressions sur cette visite?
J’ai l’impression qu’ils sont partisans. Ils mettent sur le même pied d’égalité un membre souverain, membre des Nations unies et une minorité de rebelles irrédentistes, minorité au sein de tous les touaregs du Mali, minorité au des Touaregs de l’Adrar. Ils nous mettent sur le même pied d’égalité que les rebelles. Le peuple malien doit sérieusement prêter attention au choix de Mopti, a fortiori de Douentza ou de Gao comme lieu des négociations. Car toutes, ces villes citées pourraient, dans l’imagination des rebelles, être des villes de leur fameux Azawad. Leur refus de venir négocier à Bamako, en fait, est un refus de reconnaître Bamako, comme étant la capitale de leur pays, le Mali. Et les soutenir dans cette optique, serait, en réalité, nier les dispositions pertinentes de la résolution 2100 du Conseil de sécurité, qui répète qu’on ne saurait mettre en cause l’intégrité du territoire du Mali et la souveraineté de la nation malienne. Conformément à ces disposition pertinentes, la MINUSMA, Serval ne devraient pas accepter qu’un drapeau, autre que celui du Mali, flotte dans l’Adrar des Ifoghas. Dans les débats de ce matin sur RFI, animé par Juan Gomez, à l’occasion de la visite de la délégation du Conseil de sécurité, certains intervenants tendaient à opposer l’Accord de Ouagadougou à la résolution 2100, qui, à mes yeux, prime sur ledit accord. Encore une fois, le peuple tout entier doit rester derrière le Président de la République et son Gouvernement pour demander au Conseil de sécurité d’appliquer ses propres résolutions et désarmer le Mnla afin qu’il vienne à la table de négociation. Il nous donne l’impression que sans eux nous allons procéder à un génocide touareg au Mali. Il faut qu’ils arrêtent de nous insulter. Nous avons vécu avec les Touaregs depuis des années. Il n’y a jamais eu de problèmes entre nous. Le peuple malien est un peuple de paix et qui a toujours vécu en parfaite symbiose dans sa diversité.
Interview réalisée par Youssouf Diallo
CE ALY NOUHOUM DIALLO N’EST PAS DIGNE. IBK DOIT SE MEFIER DE LUI.
De Mr Aly fous la paix au G M T c est un vrai républicain comme l a dis I B K en son temps ce pays n est pas tombé aussi Bas ,quand vous étiez président de l assemblée c est sous votre règne que le pays à été sabote de partout la corruption à grande échelle le mensonge j en passe ,vous avez trop menti au peuple malien pour la chute du régime de G M T 😉
Hamadi tu ne decois ici, tu n’as rien dit qui me fait penser a toi au moment de dire la verite, non Hamadi tu as abandonne la verite pour je ne sais quoi. Mais tout ce que tu dis ici contredit tout ce que devrait etre l’ADEMA-PSJ. Mais tu es un autre opportuniste, dommage Hamadi. Ton frere de l’Ecole de Medecine et de Pharmacie du Mali.
Merci professeur Ali DIALLO, le peuple a besoin de vos points de vue sur les situations récurrentes du Mali.Ceux qui vous critique ne sont pas raisonnable ou ont une coloration politique, mois, j’ai voté Soumaila, mais j’approuve la majeure partie des actes posés par IBK.
Merci
Notre pays traverse une periode tres perilleuse de son Histoire.
Quelle que soit la position des partis sur les points d’influence politique,il est absolument essentiel que le consensus se fasse sur
les problemes clefs resumes par Dr Nouhoum Diallo.L’integrite territoriale,la Souverainete Nationale,le refus de negocier avec des
rebelles minoritaires armes manipules de l’exterieur.L’ensemble du pays doit approuver un proces pour elucider les fautes commises qui
ont conduit le pays a cette crise grave;le pays doit s’opposer a un accord de defense qui ferait du Mali la “chose” de la France dont la responsabilite dans cette crise est manifeste.Le Mali doit rester ouvert a tous les pays,particulierement amis pour sa defense,sa Securite et son developpement.J’ajouterai que le Mali doit donner une priorite a la ccoperation regionale sans laquelle nous resterons un pays dependant.Nous devons exiger une fin de la zone monetaire CFA dans les 5 ans a venir et etablir une Alliance avec le BRIC.
ALY NOUHOUM DIALLO VRAIMENT TU ES MALHONNETES, QUAND TU DIS QUE CHAQUE CITOYEN DOIT REPONDRE DE CES ACTES QUAND IL GERE UN PAYS. CERTES C’EST VALABLE POUR ATT. MAIS CE QUE TU OUBLIES TOI AUSSI TU DOIS ETRE POURSUIVI POUR ” HAUTE TRAHISON”, CAR LORSQUE TU ETAIS PRESIDENT DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE TU AS CAUTIONNE LA CREATION DE DEUX NOUVELLES COMMUNES EN 2001 SPÉCIALEMENT POUR LE CAPORAL IBRAHIM AG BAHANGA DEVENU LA MEME ANNEE LIEUTENANT. RAISON POUR LAQUELLE ON EST ALLE 701 COMMUNES ON EST ALLE 703 COMMUNES ACTUELLEMENT. LES MALIENS DOIVENT LE SAVOIR. ALY C’EST HONTEUX C’EST TOI QUI DISAIS A LA BOURSE DU TRAVAIL EN 2012 QUE LE COUP D’ETAT CONTRE ATT ETAIT UNE MAUVAISE CHOSE CONTRE LE MALI. MAINTENANT LES MASQUES COMMENCENT A TOMBER SUR LES AUTEURS D’UN AUTRE PRESUME COUP D’ETAT QUI A ECHOUE.
SI CE QUE J’AI DIT, ALY NOUHOUM DIALLO ME DEMENTE. ET NOUS SOMMES PRETS A ALLER A UN DEBAT SUR CE POINT PRECIS.
SINON, ON LE SAIT LA CHUTE DES REGIONS DU NORD EST UNE DES CONSEQUENCES DES 20 ANS DE MAUVAISE GESTION DU PAYS A LAQUELLE ALY NOUHOUM DIALLO A PARTICIPE. DONC, IL EN EST RESPONSABLE. POUR EVITER D’ETRE MIS EN ACCUSATION, IL S’ACHARNE LUI,MOUSTAPHA DICKO ET AUTRES CONTRE ATT. ALY NOUHOUM DIALLO SOIS DIGNE. IBK NE FAIT PAS ATTENTION, TU LE CONDUIRA TOUT DROIT AU MUR.
Comme j’ai toujours eu à le dire, lorsqu’il s’agit de problement de haut niveau pour la nation, il n’y a pas de gauche ou de droit, mais un Mali. N’est ce pas notre hymne qui dit un BUT?
Laissons de coté nos affaires personnelles, quand on a en face de nous une menace de vie pour la pays. À defaut de penser aux millions de maliens, faites le au moins pour vos enfants et petits enfants.
Refuser ceci revient à vouloir vendre le pays et aucun malien n’a droit à cela. Merci
Merci Professeur Diallo. On en n’attendait pas moins de vous. Votre courage et votre liberté dans la parole font de vous l’un des plus écoutés de notre classe politique. Vous ne faites certes pas l’unanimité, à entendre certains, mais c’est juste parce qu’il ne vous connaissent pas. En réalité ce que l’on attend de l’ADEMA, ce n’est pas qu’il justifie ses liens avec IBK ou le RPM ou qu’il dise “si nous ne soutenons pas ATT, nous aurons la police et la justice à nos trousses”. On veut qu’un parti qui a dirigé le pays pendant dix ans s’assume, qu’il martèle ses convictions, qu’il dénonce les travers et des ses propres représentants d’abord et ceux des autres après. Quand on est l’ADEMA, on doit avoir une liberté de critiquer ATT depuis son renoncement à sa première conviction ( “Il faut être fou ou con pour accéder à la présidence du Mali”) jusqu’à la généralisation du chienlit, à anéantissement de l’état du Mali.
Après sa gestion du Mali post dictature, l’ADEMA devait rester une alternative crédible en faisant son propre bilan objectif de ce qu’elle a réussi et de ses échecs multiples dont l’école est l’illustration parfaite. L’ADEMA n’a pas inscrit la culture du débat critique dans les mœurs politiques du Mali, dans les média d’état. Le temps d’antenne dévolue à l’autre, hors campagne élective est au dessus de l’intelligence ADEMA.
Les milliardaires de la démocratie étant la marque de fabrique de l’ADEMA, il n’est pas crédible de vous entendre soutenir la lutte contre la corruption , il en est même du président IBK qui lui déclare une année de lutte.
Parfaitement d’accord avec vous quant à la mauvaise lecture que l’ONU fait de la question touareg au Mali. C’est la faute à nos représentants au sein de ces institutions, qui sont d’un niveau de culture du zéro absolu. Il eut un débat au cour duquel notre représentant, je crois que c’est celui de l’UA, avec la tignasse des playboys année soixante; un élève de la septième année fondamentale de l’ère démocratique fera mieux. Est ce que vous pouvez imaginer que feu Alioune Blondin Beye à l’ONU, elle se méprenne de la sorte? Quelle ne fut notre honte, lorsque de jeunes journalistes camerounais se demandaient si cet homme (El ou quelque chose de la sorte) était là par procuration? Oui, même si Général Moussa n’a jamais été républicain, une fois de son règne, il faut s’accorder sur la valeur des choix de responsables, qui firent les siens. A l’exception de son ministre des finances guinéen, le seul à ce jour ayant réussi une balance économique excédentaire en république du Mali. En définitive l’ADEMA , n’aura de crédibilité que si elle se recycle dans une opposition de propositions qui excellera dans ce qu’elle fera différemment d’IBK et de tout prince du jour.
PITOYABLE POUR UN PROF. QUI EST A QUELQUES METRES DE SA TOMBE RIEN QUE POUR SAUVER SON AMI MINISTRE DICKO
Le Peul aime toujours le gâteau beurré avec un peu de lait.
Nous n’avions pas la mémoire courte et nous ne laisserions pas ces vieux serpents de mer nous ôter la confiance du peuple Malien. Les cupides doivent nous laisser et se mettre à coter pour le BONHEUR ET L’HONNEUR DU MALI
Lynx21
Ali n’est pas un Peul. Un peul c’est l’honneur, et lui ce qui compte c’est la pitence. Ne l’a-t-on pas vu courrir derrière Soumi en 2002 contre IBK? N’a-t-il pas soutenu le FDR et l’ADR contre le même IBK en 2012/2013?
Il a vraiment déçu tous ceux qui le prenaient pour une référence.
Ce n’est pas surprenant,qu’avec des dirigeants de cet acabit que l’ADEMA descendent aux enfers. L’opportunisme n’a jamais payé, c’est dégueulasse, le moins qu’on puisse dire.
J’arrête pour ne pas tomber plus bas que celui que j’avais eu le tord d’admirer:
JE DÉCOUVRE SON VRAI VISAGE.
Ali Diallo, pauvre de toi.
Jeunes du Mali, voyez vous vous comment sont nos soi disant repérés?
Vraiment Ali Diallo,tu es décevant et pitoyable. Si je fait une analyse de tes propos, tu étais avec l’udpm ensuite avec l’adema, puis avec ATTT et maintenant tu veux être avec IBK.
Un vrai Pheul n’agit jamais de la sorte à cause d’une sordide pitance tu veux vendre ton âme au diable, Que nenni.
Ali , dis pourquoi l’adema, sachant bien qu’il a les mémés idéaux que le rpm, n’a pas supporter IBK comme candidat unique?
Je te dis une chose, attends toi à être interpellé , jugé et même condamné. Pour tout ce que tu as eu à faire pendant des présidences à l’AN et au parlement de la CEDEAO. Tu n’es pas pas blanc comme neige et tu le sais, donc ne fait pas une fuite en avant en faisant ce verbiage
Ton analyse n’est nullement critique,; c’est du coq à l’âne.
Maintenant, tu as perdu, vas te caser , dinosaure!!!
merci professeur.digne fils du Mali.vive le Mali un et un divisible .vive le président IBK.le Mali d’abord.encore merci professeur pour ton expérience au service du Mali.bon van pour le nouveau Mali plus fort et plus puissant.a bas les jaloux .a bas les voleurs au col blanc.a bas les ennemis du Mali.vive la république du Mali uni est fort.merci.merci.encore merci!
FAITES ATTENTION AUX SERPENTS DE MER. NOUS AVONS LE QUITUS DU PEUPLE ET NOUS NE DEVONS PAS SE LAISSER TROMPER PAR CES OPORTUNISTES TROMPEURS CHERCHEURS DE PLACES POUR NOUS DETRUIRE.
😉 Bravo, Prof. Aly Nouhoun DIALLO,
Ceux qui interviennent contre vous sont tous “coloré politiquement” c’est leur coloration politique qui parle et non leur raison…
je ne suis d’aucun parti politique, mais j’ai voté pour IBK et là j’en suis très content… 😀 😀 😀
Mr DIALLO vous êtes avec IBK par pur opportunisme si non rien n’oblige l’ADEMA à être avec IBK surtout personne n’ignore comment il a affaibli l’ADEMA.
merci Professeur que dieu vous donne une longue vie on ne peut rien ajouté après ce que vous venez de dire .
le Vieux Aly, tant que vous ne cessez pas la démagogie, le mensonge et la recherche effrénée du profit, le taux de participation des votes sera toujours réduit et les pouvoirs issus seront toujours illégitimes et les coups d’état ne pourront jamais être écartés. Comment comprendre qu’avant-hier vous étiez avec Alpha, hier vous étiez avec ATT, et aujourd’hui vous voulez être avec IBK, Juste après être vaincu par ce dernier aux élections présidentielles. Non vieux, ce n’est pas maintenant que vous allez nous dire que vous ne pouvez pas vous opposez à IBK, alors que vous n’avez rien fait pour l’aidez dans sa campagne encore moins le désigner comme le candidat unique de l’ADEMA et du RPM deux poumons du même corps, selon vous au point de vue idéologique. c’est ce qui énerve les électeurs le fait de croire que d’être un professeur est la seule condition sine canon pour être mieux pourvu de bon sens que les autres. Non vieux, ce n’est pas à votre âge que l’on doit chercher à mieux mentir.
Pitoyable, simplement! Vous alignez des propos de IBK “intégrité territoriale, laïcité …”(et on est loin des actes) et vous en déduisez “un programme qui agréerai l’ADEMA!” Vous rapportez un autre propos du même IBK “GMT est un républicain”: au lieu de considérer que là également c’est un “programme”, non vous “trouvez” une explication liée à la présence physique de GMT! Trop fort FOULAKE!
Le jour où l’ADEMA a signé l’accord de l’ADR avant le 1er tour de la présidentielle, vous auriez fait cette sortie pour nous dire ces histoires de IS et autres balivernes; on aurait compris! Mais là là c’est juste une histoire de marmites et de marmitons ni plus ni moins!
Enfin pour ce qui est des accords de défense avec la France, vous jouez à la vierge effarouchée, à votre âge! Pitoyable simplement!?!
Bien dit mon professeur . Il faut aider le soldat IBK
Professeur Aly Nouhoun, je dirai que c’est tout simplement pitoyable pour Le Mali si un Professeur de grande renommée avec une grande expérience comme vous ne veut s’éloigner du pouvoir. Professeur je te suis il y a plus de vingt (20 ans) lorsque vous parlez de trente (30 ans) de pouvoir ADEMA au Mali alors vous restez fidèle à ce projet machiavélique qui n’a d’autres objectifs que de sucer le contribuable malien. C’est regrettable si un professeur d’une telle envergure pense que l’opposition est synonyme du désordre ou d’occuper la rue. Moi j’ai une autre idée de l’opposition, c’est à dire ce n’est qu’un contre pouvoir qui a son mot à dire dans la construction de l’état. Un exemple très frappant lorsque le Président de la République son Excellence François Hollande a pris son courage à deux mains de venir intervenir au Mali sans un quelconque avis de son assemblée nationale même ses opposants ont approuvé ce geste car à travers la sécurité du Mali c’est le monde qui était menacé.
Prefesseur je vous respecte beaucoup et suis de votre avis sur l essentiel des sujets évoqués sauf celui de l’ADEMA dans la majorité présidentielle. En effet le plebiscite de IBK n ‘était pas en fait une consécration des qualités de l’homme mais une désapprobation générale de la façon de gérer le pays et puisque lADEMA était fortement representée dans les instances de gestion du pays il va de soi ke c’est sa gestion qui est desapprouvée, L ADEMA doit donc aller dans l opposition pour se faire une virginité. Tout le monde est camarade de tout le monde au Mali. Cependant les lois de la democratie sont claires quand on perd une éléction on s assume non seulement l’ADEMA se discredite en voulant manger dans toutes les sauces mais aussi en rejoignant le parti au pouvoir elle prive le peuple de son choix qui est le changement. Comment rejoindre un homme qui a passé tout son temps pendant la campagne à vous dénigrer, il faut un minimum de dignité dans la vie même politique.
La queestion n´est pas si L’ADEMA peut ou pas abandonner IBK et dire qu’il s’oppose à lui, mais est ce que IBK et le Mali ont besoin de cet accompagnment.. J´ai du respect pour vous mon Prof mais lä vous decevez un peu… C´est quoi le role d´un parti dans un pays?? Ce n´est pas pour l´interet et la bonne marche du pays?? On dirait que chez vous, etre ä l´opposition c´est la fin du monde.
Je ne reconnais plus mon professeur cest pitoyable.
Merci Hamadi. Vous avez parfaitement raison de ne pas reconnaitre votre prof. Mais selon les Analystes c’est une manière de sauver son Ministre M. DICKO
Détrompez vous aussi le Peul aime toujours les gâteaux beurrés avec un peu de lait.
Nous n’avions pas la mémoire courte et nous ne laisserions pas,ces vieux serpents de mer nous ôter la confiance du peuple Malien. Les cupides doivent nous laisser et se mettre à coter pour le BONHEUR ET L’HONNEUR DU MALI.
Professeur aucun parti politique ne prône la division ou l’occupation du Mali.
La feuille de route Kassin pour le nord!
1. Définir clairement les modalités concrètes de la décentralisation telles que arrêtées par les états généraux de la décentralisation tenus à Bamako.
En y précisant clairement les compétences, les prérogatives et les ressources à transférer aux communes décentralisées urbaines et rurales avec à la clé des exigences de résultats sur le plan du développement économique et social.
RESPONSABILITÉ RIME AVEC RENDRE COMPTE!
Cela passe par:
a) une redéfinition des rôles dans la chaîne de gouvernance:
-Le rôle des gouverneurs et des préfets dans la gouvernance décentralisée
-Le rôles des maires et des élus locaux.
-Le rôles des chefs coutumiers
-Le rôles des leaders d’opinions
-Le rôle des ONG et associations
-Le rôle des organisations féminines
-Le rôle de la jeunesse
-La place de armée malienne dans les communes décentralisées et la nouvelle carte militaire pour le nord du Mali et pour les 100 prochaines années.
b) La définition claire de la politique sécuritaire du pays et sa déclinaison dans les communes décentralisées du pays eu égard aux menaces permanentes erratiques et imprévisibles sur la stabilité et la sécurité du Mali.
c) La définition claire des modalités de coopérations des communes décentralisées avec l’extérieur et particulièrement les pays limitrophes.
d) La place et le rôle des services de sécurités et du renseignement du pays.
e) La relecture du code pénal et du code de procédure pénal du Mali eu égard aux agissements des voyous armés au nord du Mali
f) La place et le rôle des juridictions du pays au nord du Mali dans le combat contre l’insécurité et le banditisme armé et les trafics de stupéfiants
g) La place des médias publics et locaux dans la gouvernance décentralisée
h) La place et le rôle des écoles publiques et privées dans la sensibilisation et l’information aux exigences d’un état de droit et du caractère intangible de la forme républicaine de l’Etat malien un et indivisible.
i) La place et le rôle des communes décentralisées dans l’éducation des masses populaires aux valeurs de la république du Mali.
2. Réunir à Bamako tous les chefs coutumiers, élus locaux, membres de la société civiles et leaders d’opinion pendant un séminaire d’un mois pour expliquer de fond en comble la nouvelle politique de décentralisation dans ses aspects de la gouvernance décentralisée (compétences, prérogatives, relations entre institutions, ressources transférées aux structures décentralisées, obligation d’éducation et de sensibilisation, droits et devoirs dans la république, modalités de coopération extérieure, aspects sécuritaires, aspects juridiques et pénaux de la gouvernance décentralisée etc).
Une fois les leaders locaux formés à la gouvernance décentralisée, il faut définir un calendrier et un chronogramme de transferts des compétences et des ressources.
Une structure de contrôle des transferts et de l’avancement de la feuille de route de la décentralisation poussée doit être mise sur place.
L’aspect sécuritaire et économique doit faire l’objet d’un Observatoire National de la gouvernance décentralisée.
Le dialogue inclusif demandé par l’ONU ne doit être fait qu’avec les leaders locaux formés par la république du Mali à la gouvernance décentralisée telle que définie et mise sur place par le Mali.
Les propositions d’amélioration de cette gouvernance décentralisée doivent être adressées à l’Observatoire National sur la gouvernance décentralisée, constitué à cet effet et logé à l’Assemblée nationale du Mali.
Tous les autres groupes armés et organisations ou associations parallèles n’ayant pas été prévus dans la gouvernance décentralisée est un ennemi de la république à combattre comme tel jusqu’au dernier sans autre forme de procès.
LA CONFUSION EST LA PIRE ENNEMIE DE LA RÉPUBLIQUE
L’action militaire et judiciaire doit être permettante tant que des menaces du banditisme armé sévit sur le territoire malien.
LE MINISTRE DE LA DÉFENSE DOIT MENSUELLEMENT PRÉSENTÉ UN RAPPORT SÉCURITAIRE À L’ASSEMBLÉE NATIONALE SUR LA SÉCURITÉ DANS NOS COMMUNES DÉCENTRALISÉES!
C’est une soupape de sécurité, car on n’est jamais prudent!
Aucune négociation ne doit être faite avec aucun groupe armé illégal au Mali.
À cet effet il faut déchirer, toute de suite et maintenant, l’accord préliminaire bidon de Ouagadougou du 18 juin 2013, parce qu’il ne sert à rien.
C’est un nid de banditisme armé et rien d’autre.
L’ONU s’en sert pour se donner de la valeur sinon elle sait mieux que nous que c’est du caca nerveux.
Une attaque armée contre un symbole de l’état malien doit être requalifiée juridiquement en crime imprescriptible contre le peuple malien et punie d’une peine de condamnation à mort par pendaison.
La guerre contre le banditisme armé et les rébellions armées doit être la raison d’être de l’armée malienne (qui doit pour refroidir l’ONU et sa bêtise, sans tarder renouer une dense coopération militaire avec la Russie et la Chine) dont la présence doit être multipliée par 100 au nord du Mali pour les 100 prochaines années.
QUI VEUT LA PAIX AU MALI APPLIQUE SCRUPULEUSEMENT CE QUI PRÉCÈDE.
Wa salam!
Mr, SVP arrêtez de polluer nos sites d’info.
Tu peux aller au diable toi!
Qui t’a obligé de me lire?
bravo , mention excellent Mr KASSIN , va , court , vole et nous informe , partout où besoin se veut ! ceux la qui vous détestent feront mieux de zapper tes propos plutôt que de pleurnicher. Bah ! c’est de la pure jalousie rien que du NYENGOTISME légendaire d’une certaine classe Malienne !
WA SALAM SAMLAMA ! 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
“Et ceci a naturellement facilité qu’il reste très lié à l’Internationale Socialiste et que le parti qu’il a créé aussi demande son adhésion à l’Internationale Socialiste. Nous ne pouvons pas dire que nous partageons les valeurs sociales démocrates sur le plan international et que sur le plan intérieur, nous voulons appliquer un programme social démocrate et dire que nous allons à l’opposition. ”
Omar Mariko tient a peu pret la meme rhetorique,c’est tout simplement pitoyable .:(
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