Pour un Mali unifie, fort et prospère : Tous pour IBK ! IBK pour tous !

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Aujourd’hui, les bonnes nouvelles s’enchaînent et se ressemblent pour le Mali. Le pays sort lentement mais sûrement de la grave crise politique (qui a pris des allures sociales) qui le secoue depuis la proclamation, par la Cour constitutionnelle, des résultats définitifs des élections législatives 2020, double scrutin émaillé d’incidents électoraux sans précédent dans l’histoire démocratique du Mali. Les remous sociaux post électoraux ont connu leur point d’orgue avec le rassemblement du 5 juin 2020 de la CMAS qui accoucha du M5-RFP (Mouvement du 5 juin-Rassemblement des Forces patriotiques) lequel fit une démonstration de force le 19 juin courant sur le Boulevard de l’Indépendance, devenu le temple de la contestation politique sous l’actuel régime.

De même qu’il consacre le top des Tops des manifestations de foules de ces dernières années à Bamako, le rassemblement du 19 juin délivre également les signaux d’une décrispation diligente de la situation. Et là réside justement la bonne nouvelle.

En effet, en amont du 19 juin et après, le dialogue engagé entre fils du pays, la médiation enclenchée par le Comité d’action et de veille de la société civile et des religieux, la clairvoyance par les compromis du chef de l’Etat Ibrahim Boubacar Kéïta, l’accord sur l’application de l’article 39, les recommandations de la Mission ministérielle de la CEDEAO, la sagesse retrouvée de l’imam Mahamoud Dicko et de son porte-parole Issa Kaou Djim, les démissions consommées dans les rangs des Conseillers de la Cour constitutionnelle et le sort quasi scellé de l’Assemblée nationale etc, sont autant d’acquis qui fondent l’espoir que la FIN DE LA CRISE EST PROCHE. Les mêmes éléments viennent prouver une fois de plus que « chaque fois que les Maliens regardent dans la même direction, ils déplacent les montagnes et vainquent tous les maux ».

Alors, tous autour du président IBK ! Pour un Mali, enfin, EN PAIX !

Sékou TAMBOURA

 

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10 COMMENTAIRES

  1. Quelle belle parole ! 7 ans au pouvoir et sept chefs de gouvernement préparez vous vos bagages et vous sortez dans la grande de porte.

  2. Pendant sept ans vous ne faite que des bêtises et aujourd’hui vous parlez de prospérité et d’unité, qui peut croire à de telles assertions sans fondément? Peut-être prospérité et unité à vous, vos parents et vos acolytes c’est tout, aucun malien ne peut croire à ce cinéma et ces fourberies de votre part. On dirai que les Présidents issus de cette ère démocratique se comportent comme des moins que rien, ils se focalisent sur leurs femmes, leurs enfants et leurs proches pour gérer le pouvoir en oubliant totalement le cas du dictateur Moussa TRAORE qui a mis en péril son pouvoir avec gestion familiale et clanique, cela pourtant était un exemple pattant et très élucidant pour ces Présidents de cette l’ère démocratique. Le cas de notre très cher IBK et lié à son fils Karim et sa femme Aminata, nous ne savons pas comment il se met dans de telle posture indélicat en foulant au sol toutes ses capacités managériales?, c’est dommage, nous sommes totalement sidérés et stupéfaits par les comportements de cet homme.

  3. Les opportunistes de la CFR et le Street Check and balances: Poids et contre de la rue!

    Le combat politique au Mali tourne depuis l’independence en 1960 dans la quête d’un régime démocratique derrière laquelle court toujours le peuple malien sans jamais l’atteindre.

    Si en mars 1991, l‘ avènement d’un soulèvement populaire a conduit à la l’adoption en février 1992 d’une constitution jugée démocratique censée facilité la conquête et l’exercice des pouvoirs de façon démocratique force est de reconnaître que la pratique en la matière au Mali est une tout autre histoire.

    Mais comment parler de démocratie et d’exercice du pouvoir sans parler de Montesquieu et son esprit des lois?

    Le philosophe de la lumière a théorisé la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire mais il a aussi posé les principes moraux telles la vertu et l’égalité des citoyens comme fondements de la démocratie.

    La constitution malienne du 25 février 1992 essaie de répliquer non seulement le principe de la séparation des pouvoirs comme l’a voulu Montesquieu mais aussi et surtout elle n’oublie pas les principaux moraux qu’étaient chers au philosophe.

    Mais 28 ans après 1992, Manassa et sa cour constitutionnelle qui normalement font partie du pouvoir judiciaire ont bafoué ses principes moraux et la vertu qui va avec pour usurper les votes du peuple souverain du Mali en falsifiant le résultat des élections.

    La conséquence immédiate de cette usurpation du droit constitutionnel du peuple malien par une institution de la république du Mali a été d’installer une Assemblée nationale constituée de législateurs non élus par le peuple malien mais coptés par une cour constitutionnelle qui est sortie de son rôle pour défendre un régime politique corrompu qui détourne depuis 7 ans la majorité des recettes publiques et qui achète ensuite les consciences et les autres institutions de la république par cet argent volé au peuple malien.

    Cette histoire de bandits cowboys entre la présidence budgétivore de la république du Mali et la cour constitutionnelle sans vertu ni foi ni loi donne naissance à une Assemblée nationale incolore inodore et sans saveur.

    Il n’y a plus 3 pouvoirs au Mali (exécutif judiciaire et législatif) mais un seul et au service d’une seule famille, la famille d’IBK et ses laquais.

    Les défenseurs de cette mascarade démocratique se base sur la constitution sans nous expliquer pourquoi le président de la république, la cour constitutionnelle et l’assemblée nationale à l’unisson ont tous foulé au sol les principes moraux et juridiques édictés dans la constitution du 25 février 1992 alors qu’ils sont pour la plupart sous serment.

    Donc ni la séparation des pouvoirs ni les vertus de l’égalité des citoyens ne sont respectées par le régime IBK et ses valets telles que écrits dans la constitution du Mali.

    Dans cette situation null ne peut et doit se baser sur la constitution violée pour défendre un tel régime qui le viole.

    Mais un regroupement d’opportunistes à la peau dure et aux dents longues se nommant CFR (convergence des forces républicaines) ou (confédération des forces rétrogrades) c’est selon comment vous les voyez, se décide de marcher le samedi prochain 27 juin 2020 pour dit on défendre les institutions de la république.

    Pourquoi ne défendent-ils pas la constitution qui est la mère des institutions décriées aujourd’hui à cause de leur propre cupidité et de leur propre forfaiture en république du Mali?

    Pourquoi ne demandent-ils pas à ces institutions honnies par le peuple malien d’appliquer les principes moraux édictés dans la constitution du 25 février 1992 dès son préambule qu’elles ont sciemment foulé au sol par leur vol, leurs trucages et leurs falsifications des consultations électorales pendant les quelles le peuple souverain s’est pourtant clairement exprimé et que son expression a été volée et truandée par Manassa et ses 8 autres juges achetés par IBK?

    Vous ne pouvez pas affamer un peuple pendant 7 ans en volant plus de 5 000 milliards et laisser ce peuple sans sécurité, sans éducation, sans santé, sans emploi, sans électricité, sans infrastructures routières, sans logements, sans pouvoir d’achat et sans dignité et revenir dire à ce même peuple que les temps sont dures qu’ils faut se ressembler derrière les voleurs qui sont à l’origine de leur malheur et qu’ils doivent accepter ce triste et sinistre sort.

    Ce mépris est tellement scandaleux que la marche du samedi prochain de la CFR est une invective grave au peuple malien.

    Vouloir opposer la rue des opportunistes du CFR à la rue des manifestations de ras le bol du peuple méprisé par IBK et sa fourmilière de vermines qui boivent le sang malien, est un système de poids et contrepoids de la rue qui remplace le système de poids et contrepoids des pouvoirs judiciaire exécutif et législatif bafoué par Manassa et IBK en république du Mali 🇲🇱.

    Salute.

    Bvccghhjkkkk

    Bvcfghggghhhjjjjjjjjjjj

  4. Il faut rendre l argent des équipements de l armée nationale malienne, rendre 1/3 que vos soutiens piquait du salaire de nos militaires avant toute négociation .

    Mise à jour du fichier de l armée nationale, un audit internationale et indépendant de l intendance militaire à fin que les militaires soient dans leurs droits salaires primes, et moyens pour assurer la sécurité. C est un droit.

  5. Des gens comme ce Tamboura se disent journalistes. Puff, avec des gens comme ça, je me demande comment le Mali peut avancer. Si vous n’avez rien à dire, fermez là. N’emprunter pas de gros tire pour qu’on regarde vos fesses sales.

    • Bonjour

      Les 𝓒IG𝔄ℒ𝔼𝔖 sont de retour dans la région …

      Bon anniversaire CAR0L∈ ℕ. de Miribel 79, j’ai toujours pensé à toi

      Quand le sage montre la lune, le 𝔖0T regarde le doigt…

  6. j’etais outré et offusqué en lisant ces mots mais quand j’ai vu l’auteur oh !!!!.Venant d’un tamboura, cela ne m’etonne guerre sinon comment tenir des propos comme “Aujourd’hui, les bonnes nouvelles s’enchaînent et se ressemblent pour le Mali” ou encore “la clairvoyance par les compromis du chef de l’Etat Ibrahim Boubacar Kéïta”
    Tou Dimadio

    • J’ajoute TOU BINGEL DIMADIO. Un autre SOURANKOMO LEME qui a faim et qui cherche un peu de CFA de l’achat surfacture des avions militaires que Boua le ventru IBK le Franco-Malien a achete pour nos FAMA alors qu’ils ne volent meme pas.

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