L’ADEMA-Parti africain pour la solidarité et la justice a tenu, ce samedi 30 décembre 2023, les travaux de la 19è Conférence nationale ordinaire du parti, à la Maison des Aînés. Ce forum national du Parti a été une occasion pour les délégués d’échanger sur le rapport d’activités du Comité Exécutif, ceux des Commissions spécialisées et d’écouter les messages des Mouvements affiliés et des Coordinations régionales du Parti.
L’ouverture des travaux était présidée par Abdel Kader KONATE dit ‘’Empé’’, président par intérim du parti entouré de plusieurs autres membres du Comité exécutif l’intérieur du pays ; des représentant des parti amis.
Hommage
A l’entame de son propos, le président Empé a fait observer une minute de prières à la mémoire Marimantia DIARRA, Président sortant du Parti décédé le 23 juillet 2023 dernier, et en celle de tous les autres camarades rappelés à Dieu au cours de l’année 2023,
Pour EMPE, nous avons vécu une année 2023 où il nous a été rappelé que la paix est essentielle et la qualité de notre « vivre-ensemble » fragile, où des concitoyens ont été obligés de quitter leurs villes et villages, parce que leur environnement a été agressé par des individus sans foi ni loi.
À ce propos, il a tenu à féliciter et d’encourager nos FAMa pour les efforts inlassables consentis afin de ramener l’accalmie sur les différents fronts.
«La reprise de Kidal est un motif de fierté nationale et l’amorce du recouvrement de l’intégralité de la souveraineté de l’Etat sur l’ensemble du territoire national», a-t-il déclaré.
Faire face ensemble aux périls
Dans un contexte marqué par le regain de confiance des FAMa sur le théâtre des opérations militaires, notre pays, a-t-il expliqué, a besoin de rassemblement pour un véritable sursaut national, une union sacrée autour des Autorités de la Transition.
Pour ce faire, Empé invite les Maliens à taire leurs divergences et leurs intérêts partisans, pour faire face ensemble aux périls qui guettent le pays.
A en croire Abdel Kader KONATE, le parti fait aujourd’hui l’objet d’incompréhensions, pour diverses raisons. Pour changer la donne, d’autres cadres seront créés pour apporter la contradiction à ces détracteurs et édifier davantage les Maliens sur le Parti et les transformations sociales opérées par ses cadres au bénéfice des Maliens, a-t-il promis.
En tout cas, malgré les critiques, la stabilité du pays, la recherche de voies idoines pour sortir de la Transition dans les meilleures conditions, reste la seule boussole de l’ADEMA.
Un président au service de l’unité et de la cohésion
Alors qu’il assume l’intérim depuis la disparition du président sortant, Empé a promis aux militants de l’ADEMA d’être un président au service de l’unité et de la cohésion de l’Adéma-PASJ. Il s’agit pour lui d’inscrire toutes ses actions dans la continuité de celles de mes devanciers.
« Je n’ai qu’une seule aspiration aujourd’hui : marcher dans leur sillage et être digne de leur héritage», a-t-il fait le serment avant d’appeler les cadres et militants du parti au rassemblement et au pardon.
« Je serai le président au service de notre idéal commun», a-t-il assuré.
D’ailleurs, cette nouvelle mission sera placée sous le signe du respect, de la considération et de l’inclusion, trois valeurs qui fondent la vie en commun.
Reconquérir la confiance des Maliens
Pour Empé, il est temps d’amener les Maliens à avoir confiance en leur classe politique. En tout cas, c’est la nouvelle offre que l’Adéma-PASJ voudrait faire aux Maliens dans le cadre d’une vaste alliance politique et électorale bâtie autour d’une nouvelle offre politique fondée sur la redevabilité et la gouvernance vertueuse.
«Les électeurs maliens ne veulent plus d’alliances de circonstance, au contenu douteux, qui seront brisées dès que les objectifs personnels ne sont plus assurés», a diagnostiqué Empé.
«Les Maliens et les Maliennes ont besoin de stabilité et de sécurité. Ils veulent des femmes et des hommes politiques engagés pour une démocratie vraie et des pratiques transparentes», a-t-il poursuivi.
Au passage, M. KONATE a salué la détermination, l’engagement et la foi des militants qui ont permis de surmonter les obstacles dressés sur le chemin de l’Adéma-PASJ.
Dans son propos, Abdel Kader KONATE a salué l’adoption de la nouvelle constitution et d’autres textes de lois portant sur les réformes politiques et institutionnelles, le réaménagement du Gouvernement.
Il a également évoqué la fin des Conseils de cercles, la dissolution de certains conseils communaux dont la mairie du district de Bamako dirigée jusque-là par un militant du parti.
Soutien à Adama SANGARÉ
À l’adresse du maire du district, Adama SANGARÉ, en prison depuis des mois, il lui a témoigné du soutien de l’ADEMA et affirme placer sa confiance en notre justice pour que le droit soit dit.
Dans son intervention, le président Empé a rappelé que les élections générales annoncées sont certainement pour très bientôt et elles doivent se préparer dès maintenant.
«Avec plus de cohésion, plus d’engagement militant, plus de solidarité et plus d’unité d’actions, nous remporterons certainement des victoires», a-t-il promis aux participants de cette 19è conférence.
Et cela, dans le cadre d’un vaste rassemblement, avec d’autres formations politiques.
«Nous sommes en négociation très poussée pour mettre en place une Plateforme politique et électorale. Une Plateforme qui a pour objectifs, entre autres d’élaborer un programme de gouvernement commun pour une République sociale et solidaire. La Plateforme reste ouverte à tous les partis politiques, regroupements de partis politiques, mouvements et associations politiques qui partagent ses valeurs et soutiennent son projet politique», a précisé Empé.
L’Appel patriotique
Du haut de cette tribune, a tenue à lancer un appel patriotique au Président de la Transition en lui demandant de poursuivre encore et toujours le dialogue avec toutes les forces politiques et sociales du pays, afin d’aboutir à un large consensus national autour du pays, en vue de conduire dans les meilleures conditions le processus de transition en cours.
Avant de terminer, il a adressé, au nom des militants et sympathisants de l’Adéma-PASJ, les vœux les plus sincères et les plus chaleureux de santé, de bonheur et de prospérité pour l’année 2024 qui pointe à l’horizon à l’ensemble du peuple Malien ainsi que tous les étrangers résidents au Mali.
Correspondance particulière
Par Abdoulaye OUATTARA/maliweb.net
Kingy a fait une prière. AMEN!
sangare n’est aveugle que celui qui ne veut pas voir! Te souviens-tu de Mande Sidibe le grand frere de Modibo Sidibe et ses roles au Mali? Si tu es honnête tu dois admettre que l’ADEMA-PASJ a tout perdu depuis sa tres mauvaise gestion et gouvernance sous le tres mediocre Alpha Omar Konare qui a crée la corruption a ciel ouvert avec les premiers fonctionnaires milliardaires au Mali et finalement l’ADEMA-PASJ est devenue un faiseur de roi c’est ainsi que nous avons eu ATT puis IBK comme presidents
Rebel
Si l’ADEMA PASJ a perdu quel parti a gagné?
Tu as la réponse?
ATT A GAGNÉ CONTRE SOUMAILA CISSE, PAS CONTRE L’ADEMA PASJ.
MODIBO SIDIBE a été le directeur de cabinet d’ATT pendant la transition de 1991.
Il est devenu un proche d’ALPHA OUMAR KONARE du fait qu’il a été proposé par ATT.
Après l’élection d’ATT en 2002,ATT a fait deux nominations:le chef de gouvernement AG HAMANI et MODIBO SIDIBE, secrétaire du gouvernement.
La proximité d’ATT explique les fonctions occupées par MODIBO SIDIBE.
C’est incontestable!!!
Sangare :
Il faut arrêter de tourner en rond, car votre question est tout simplement dénuée de sens… C’est vous-mêmes qui dites que c’est le peuple qui élit son président (qu’il soit issu d’un parti ou qu’il soit un indépendant). Eh bien, vous savez très bien celui qui a raflé à l’Adéma la mise de la présidentielle de 2002. Donc continuez à faire l’autruche.
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Pensées rebelles.
Quel parti a raflé à l’ADEMA PASJ la présidentielle de 2002?
Soutenir un candidat ne veut pas dire que c’est le parti qui competit.
LA PRÉSIDENTIELLE,C’EST ENTRE L’HOMME ET LE PEUPLE!!!
C’est ATT qui a affronté SOUMAILA CISSE au deuxième tour,non ATT contre l’ADEMA PASJ.
En 1986 quand le parti de Jacques CHIRAC a eu la majorité absolue,il s’est imposé chef de gouvernement au président MITTERAND.
Ce n’était pas le PS qui était à la présidence de la République, mais MITTERAND soutenu par son parti et d’autres pour gagner les élections présidentielles.
Si SOUMAILA CISSE gagnait les élections présidentielles contre ATT, mais le CNID arrive à avoir la majorité absolue à l’assemblée nationale, c’est toujours l’ADEMA PASJ qui serait au pouvoir du fait que son candidat SOUMAILA CISSE est devenu président de la République.
Qui joue réellement à l’autruche?
@Sangare :
Vous tournez en rond pour ne rien dire. La vérité indéniable est que depuis le départ d’AOK, l’Adéma n’a jamais été en mesure de dicter ou imposer quoi que ce soit à qui que ce soit. Ni à l’assemblée nationale, ni ailleurs… Comparaison n’est pas raison. La comparaison avec la situation française est une habile fuite en avant et rien d’autre. La cohabitation politique au sein de l’exécutif français sous Mittérand a été un choix de gouvernance de celui-ci ; tout comme il aurait pu choisir de dissoudre l’assemblée nationale fraîchement élue pour reprendre tout bonnement les élections législatives, ou encore démissionner lui-même pour remettre son mandat présidentiel en jeu. Chirac n’a rien imposé, c’est Mittérand qui a décidé comme bon lui semblait du haut de sa sagesse et son expérience politiques.
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Pensées rebelles.
Un autre parti,en dehors de l’ADEMA PASJ, a imposé quelques choses depuis 2002?
Même le RPM, à partir de 2013, a été ignoré.
TANT QU’IL N’Y A PAS UN PARTI POLITIQUE QUI S’IMPOSE SUR LA SCÈNE POLITIQUE MALIENNE PAR UNE MAJORITÉ ABSOLUE À L’ASSEMBLÉE NATIONALE, L’ADEMA PASJ N’A PAS PERDU LE POUVOIR.
C’est pourquoi ses éléments sont toujours dans les allées du pouvoir.
Imaginer que le CNID a la majorité absolue à l’assemblée nationale,tous les éléments de l’ADEMA PASJ vont disparaître des allées du pouvoir.
Ils seront chassés car ils sont détestés par les dirigeants de ce parti.
C’EST À LA SUITE DE LA DISSOLUTION DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE QUE LE PARTI DE JACQUES CHIRAC A EU LA MAJORITÉ ABSOLUE À L’ASSEMBLÉE NATIONALE APRÈS L’ORGANISATION DES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES.
Ce sont les électeurs qui ont imposé JACQUES CHIRAC à MITTERAND
En démocratie, on perd le pouvoir par la sanction des urnes en votant pour le concurrent.
Les maliens n’ont pas voté pour les concurrents de l’ADEMA PASJ.
Ce qui signifie qu’ils n’ont pas sanctionné l’ADEMA PASJ, que ce parti panafricainiste est plus affaibli par la division en son sein que par la sanction des maliens.
Sangare :
Il faut arrêter de noyer le poisson dans l’eau. ATT n’était nullement le candidat naturel ou pas de l’Adéma. Il y avait bien Soumaila Cissé en lice au nom de l’Adéma. Il faut assumer l’échec de l’Adéma qui ne peut avoir d’autre nom. Les faits sont têtus.
Sangare :
Le frère de Modibo Sidibé que vous cité n’était-il pas un baron de l’Adéma ? En plus, réduire les compétences de ce Monsieur à sa proximité avec ATT, pour justifier son passage dans les gouvernements du régime AOK, c’est lui faire une sacrée insulte que lui seul appréciera. D’ailleurs, AOK lui-même fut ministre du régime de GMT, et en est par ricochet aussi comptable du bilan. Ce qui ne l’a pas empêché de briguer le suffrage de Maliens au nom de l’Adéma…
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Pensées rebelles.
NOS PRIERES POUR LA NOUVELLE ANNEE SONT: QUE MEURENT EN 2024 L’ADEMA-PASJ, LE PARENA, LE SADI, LE FARE, LE CODEM, LE RDA, LE YELEMA ET LE RPM.
Rebel
On peut en dire autant de l’ANC en Afrique du Sud, du PDCI en Côte d’ivoire…..
LES PARTIS POLITIQUES SONT ÉVALUÉS PAR LEURS BILANS, PAS PAR LA QUALITÉ DE CERTAINS DE LEURS ÉLÉMENTS QUI SONT APPELÉS À DISPARAÎTRE DE LA SCÈNE POLITIQUE ALORS QUE LES PARTIS POLITIQUES DEMEURENT DES ANNÉES.
L’ADEMA PASJ a un bilan très positif.
Il suffit de jeter un regard sur la situation du pays quand il accédait au pouvoir et un autre quand il a passé le témoin.
Les maliens n’ont pas sanctionné l’ADEMA PASJ puisque aucun des partis politiques qui l’ont combattu pendant son exercice du pouvoir ne l’a succédé jusqu’au jour d’aujourd’hui.
Ce sont les cadres émergés pendant son au exercice du pouvoir qui ont profité de son bilan élogieux.
Un BILAN, c’est l’ ACTIF et le PASSIF.
Ses adversaires politiques appuient fortement sur le PASSIF en ignorant sciemment l’ ACTIF.
Le PASSIF est aussi celui de ceux qui l’ont succédé c’est-à-dire la corruption exponentielle sans qu’ils aient les qualités de son ACTIF.
La corruption est systémique c’est-à-dire n’est pas liée à la politique d’un parti politique ou d’un homme politique.
Jugé le BILAN de l’ADEMA PASJ par la corruption, c’est faire une mauvaise analyse de la situation.
Sangare :
On peut voir le verre à moitié plein, comme à moitié vide. Tout dépend du point de vue. Certes, l’Adéma a fait bien mieux que l’Udpm qu’il a succédé. C’est indéniable, mais ce n’est pas une fin en soi. Car les vraies attentes du peuple (telles la gestion vertueuse, la formation politique du peuple, etc.) ont été royalement oublié à cause de la gloutonnerie au sein de ce regroupement. C’est un fait que bien de choses se sont fortement dégradés au moment du passage de témoin de l’Adéma.
Sangare :
Les Maliens ont fait pire, en rejetant globalement les partis politiques dont l’Adéma était le fer de lance, et justement à cause de la gestion calamiteuse de l’Adéma pour élire un indépendant sans aucune base politique. Cela aussi est le boulet rouge que l’Adéma traînera et devra assumer ad vitam æternam ! Et le comble est que malgré la boutade du peuple, l’Adéma refusa d’assumer la sanction du vote pour aller s’empêtrer dans un honteux consensus politique, au lieu de jouer le vrai jeu démocratique… Ce qui est lamentable sur le plan politique pour tout parti digne du nom.
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Pensées rebelles.
La présidence de la République n’est pas un élu d’un parti politique,mais du PEUPLE MALIEN.
Le pouvoir d’un parti politique est à l’assemblée nationale.
C’est à ce niveau que l’ADEMA PASJ perd le pouvoir.
Quel parti politique qui l’a combattu pendant son exercice du pouvoir l’a dépassé en terme de nombres de députés?
Un parti politique apporte son soutien à un candidat qui peut être son militant ou pas.
S’il est élu, cela ne veut pas dire qu’il a le pouvoir car s’il perd la majorité à l’assemblée nationale,c’est son candidat qui aura à partager le pouvoir avec un autre parti politique, lui étant obligé d’animer l’opposition.
L’ÉLECTION D’ATT EN 2002 N’A PAS SIGNIFIÉ QUE L’ADEMA PASJ A PERDU LE POUVOIR.
On a vu les manipulations qu’ATT a menées pour empêcher l’ADEMA PASJ d’avoir la majorité absolue notamment à sikasso et à nara ,la localité du président de L’ADEMA PASJ d’alors DIONCOUNDA TRAORE provoquant un rixe entre le vice-président IBA NDIAYE et le syndicat de la magistrature.
La cour constitutionnelle a empêché DIONCOUNDA TRAORE d’être député.
C’est aujourd’hui un mauvais souvenir car après l’ADEMA PASJ s’est réconcilié avec ATT permettant à l’ADEMA PASJ d’être moins harcelé par le président de la République afin que la politique s’exerce.
Ainsi pendant le deuxième quinquennat D’ATT,l’ADEMA PASJ a retrouvé la majorité sans être absolue à cause de l’URD de SOUMAILA CISSE, son candidat en 2002.
À L’ASSEMBLÉE NATIONALE, AUCUN DES PARTIS POLITIQUES QUI A COMBATTU L’ADEMA PASJ PENDANT SON EXERCICE DU POUVOIR N’A PU CONTESTER SON POUVOIR.
Un parti travaille pour avoir la majorité à l’assemblée, pas uniquement pour faire élire son candidat à la présidence de la République.
Le pouvoir d’un parti politique est à l’assemblée nationale.
L’ADEMA PASJ n’a pas été contesté à l’assemblée nationale par le CENID de MOUNTAGATALL, le SADI d’OUMAR MARIKO,encore moins le MPR de CHOGUEL MAIGA, ses principaux opposants pendant ses deux quinquennats au pouvoir.
ATT est le candidat naturel de l’ADEMA PASJ puisqu’il s’est mis du côté du mouvement démocratique pour chasser son patron.
Il devrait être soutenu par le parti pour éviter qu’il perde sa majorité absolue à l’assemblée nationale comme l’a souhaité ALPHA OUMAR KONARE.
Mais heureusement qu’en face, il n’y a rien.
Rien que des grincheux incarnés par ce journaliste AMADOU NFA DIALLO.
Sangare :
Au Mali, le pouvoir d’État a trois composantes : l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Si le dernier est purement technocratique, les deux premiers sont exclusivement politiques et ouverts à la concurrence des partis politiques ; le plus important étant sans doute le pouvoir exécutif car c’est lui qui impulse l’action gouvernementale. Alors, en perdant la présidentielle face à un indépendant et en temps que parti sortant en plus, l’Adéma devait avoir la dignité de garder profil bas au lieu de fanfaronner au nom d’un prétendu pouvoir à l’assemblée nationale. D’ailleurs le président dissout l’assemblée nationale si bon lui semble… Pour rappel, l’Adéma est le parti qui a perçu le plus de ressources du contribuable pour conquérir et exercer le pouvoir d’État. En échouant lamentablement à l’élection présidentielle qui est le scrutin le plus important du pays devant un indépendant sans base politique ni subvention de l’État, les cadres de l’Adéma devaient avoir le courage d’en tirer toutes les conséquences.
Sangare :
Oui, c’est bien compris qu’à défaut de sa mère, l’on se contente de téter sa grand-mère. L’Adéma a perdu la présidentielle, et c’est indécent de minimiser cela ou encore le nier tout simplement. Vos élucubrations sur le pouvoir à l’assemblée nationale sont tout simplement risibles et ridicules pour qui sait que le Mali est doté d’un système politique présidentiel. L’échec de l’Adéma est indéniable. Voyez simplement comment les cadres de ce groupuscule ont récemment vendus leurs âmes à des putschistes…
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Pensées rebelles.
On n’a pas la même conception de la politique expliquant l’incompréhension de mes commentaires.
ON PERD LE POUVOIR QUAND CEUX QUI LE CONTESTENT ASSURENT L’ALTERNANCE.
ATT a contesté le pouvoir de l’ADEMA PASJ?
Était il le soutien de ceux qui ont combattu l’ADEMA PASJ?
ATT est le candidat naturel de l’ADEMA PASJ car pendant la présidence ADEMA PASJ, ses proches sont restés dans les allées du pouvoir.
L’exemple palpable, c’est MODIBO SIDIBE ministre de la santé pendant le premier quinquennat, ministre des affaires étrangères pendant le deuxième.
LES CAMARADES DE PROMOTION D’ATT ÉTAIENT AU SOMMET DE L’ARMÉE MALIENNE.
Ce n’est pas un secret qu’ALPHA OUMAR KONARE aurait souhaité que l’ADEMA PASJ fasse d’ATT son candidat.
Des cadres au sein du parti ont contesté son choix avant de l’adopter cinq ans après en 2007.
Si l’ADEMA PASJ a perdu le pouvoir, quel parti politique l’a succédé?
ATT n’est pas quand même un parti politique.
Si le pouvoir, c’est l’exécutif,ALPHA OUMAR KONARE n’a t’il pas passé le témoin à un allié politique qu’il consultait chaque semaine pendant ses deux quinquennats, que même ses opposants les plus farouches ont reconnu cette alliance en confondant le pouvoir d’ATT à celui d’AOK?
L’ADEMA PASJ aurait perdu le pouvoir, si l’alternance était assurée par ses opposants MOUNTAGA TALL, CHOGUEL MAIGA, OUMAR MARIKO….
Même avec IBK l’ADEMA PASJ était toujours au pouvoir car ayant largement participé à son bilan.
Sa photos est bien placée dans son siège pour l’éternité.
L’ADEMA PASJ perd le pouvoir,si ceux qui contestent sa conception de gestion du pouvoir gagnent les élections,si vous voulez l’exécutif puisque tu ne sembles pas accorder d’importance au pouvoir legislatif.
Ce regroupement ne mérite plus le titre de parti politique, tant ses membres et animateurs se sont illustrés par leur arrivisme nauséabond…
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Pensées rebelles.
Le temps est seul juge!!!
IL EST AVÉRÉ QUE LA CORRUPTION N’EST PAS UNE PRATIQUE POLITIQUE DE L’ADEMA PASJ.
Ce parti a hérité d’une ADMINISTRATION PUBLIQUE CORROMPUE influencée par une société façonnée par deux décennies de DICTATURE MILITAIRE CORROMPUE.
L’ADEMA PASJ n’est plus au pouvoir depuis 2002,mais la pratique de malversation financière n’a jamais diminué.
LA GÉNÉRATION FAÇONNÉE PAR LES OFFICIERS SUBALTERNES DU 19 NOVEMBRE EST MAJORITAIREMENT CUPIDE.
Les enfants de cette génération sont nés à partir des années 1960.
Celles qui les ont succédé sont encore plus CUPIDES c’est-à-dire la génération des CINQ COLONELS.
L’ADEMA PASJ a mis en place une politique qui a énormément enrichi la société malienne et l’Etat du Mali.
Ça a donné l’impression que la corruption y était plus prégnante que pendant l’ère de la DICTATURE MILITAIRE.
L’ADEMA PASJ, de part sa politique économique favorisant la croissance économique,a permis une multiplication de jeunes millionnaires.
Certains de façon frauduleuse,mais une grande majorité de jeunes dynamiques a créé des entreprises pour profiter de la croissance économique impensable pendant l’ère de la DICTATURE MILITAIRE.
L’ADEMA PASJ a hérité d’un pays insécurisé, d’une école dégradée obligeant les élèves et étudiants à se révolter contre le dictateur GÉNÉRAL MOUSSA TRAORE,mais son successeur a hérité d’un pays sécurisé, économiquement puissant
Ce héritage a été dilapidé par ATT et les opposants de l’ADEMA PASJ qui l’ont accompagné parmi lesquels CHOGUEL MAIGA et MOUNTAGA TALL.
Le Mali doit lui redonner le pouvoir pour qu’il ramène la sécurité et la croissance économique.
Il a prouvé
C’est un fait irréfutable!!!
La corruption est plus liée au système politique favorisant un pouvoir énorme entre les mains du président de la République qu’à la pratique politique d’un organe politique.
Avec ce système, la corruption restera en l’état quelque soit le parti politique qui va gagner les élections.
L’exemple, c’est ASSIMI GOITA.
Un clan intouchable exerce à la présidence de la transition
Le problème de l’EDM l’a éloquemment révélé.
NOS PRIERES SONT: QUE MEURENT L’ADEMA, LE PARENA, LE SADI, LE FARE, LE CODEM, LE YELEMA, LE RPM, EN 2024
Empe devrait dire: «Nous y sommes obligés en tant que Maliens et en tant que politiques, qui avons décidé de dédier nos vies à la délinquance financière et au vol du denier public dans la cite et le pays», a-t-il conseillé.
ASSIMI N’A PAS DE TEMPS A PERDRE POUR RENCONTRER ET PARLER A DES VOYOUS ET DELINQUENTS FINANCIERS,******* CONTINUER A SOUTENIR ADAMA SANGARE CAR UN A*** COMME VOUS TOUS!