Pour la paix et la réconciliation nationale : Le parti SADI enregistre l’adhésion d’environ 50 élus de la région de Tombouctou

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Oumar Mariko et Nouhoum Keita (photo archive)
Oumar Mariko et Nouhoum Keita (photo archive)

Le dimanche 7 juin 2015, dans la salle Tientiguiba Danté de Ségou, le parti Sadi a enregistré l’adhésion d’une cinquantaine d’élus locaux de la région de Tombouctou. Impressionnés et convaincus par l’approche et la vision du parti Sadi dans la résolution de la crise du nord, ils ont décidé, pour certains, de quitter leur parti politique pour rejoindre le parti Sadi afin que le monde entier comprenne que des Maliens du nord et du sud sont prêts à se donner la main pour se battre pour sauver l’unicité et l’intégrité du territoire malien.

Comme cela est de coutume en pareilles circonstances, le parti Sadi a organisé, le dimanche 7 juin 2015, une cérémonie à Ségou pour recevoir à bras ouverts ces nouveaux adhérents. Après la présentation individuelle des nouveaux adhérents, Dr. Oumar Mariko, président du parti Sadi, leur a remis à chacun les statuts et le règlement intérieur du parti Sadi. Mais avant, Mamadou Coulibaly, secrétaire général de la section Sadi de Ségou, a salué les nouveaux adhérents pour leur choix de venir renforcer le combat du parti Sadi, pour l’unité et l’intégrité du Mali. «Nous vous accueillons à bras ouverts pour construire un Mali nouveau dans la paix et la transparence. Nous allons ensemble construire un Mali nouveau au service de toutes ses filles et fils», a-t-il déclaré.

Saloum Baby, porte-parole des élus locaux de la région de Tombouctou, qui ont décidé de rejoindre le parti Sadi avec armes et bagages, pour symboliser que le Mali est un et indivisible, a décidé de faire son discours en bambara, avant de procéder à la présentation individuelle des nouveaux adhérents. «Tous les élus locaux qui arrivent aujourd’hui au parti Sadi sont tous des élus locaux», a-t-il déclaré.

Lisez les propos des nouveaux adhérents, tous des personnalités de Léré

Ahmed Ould Aly : «Je n’appartenais à aucun parti politique. J’ai décidé d’adhérer au parti Sadi par conviction. Pour moi, la meilleure politique est celle qui nous unit dans nos différences. Et, le parti Sadi c’est ça».

Amajar Attaher : «Je n’’ai jamais été militant d’un parti politique au Mali. J’ai été impressionné par le parti Sadi et j’ai décidé d’y commencer une carrière de militant. J’y suis venu pour apporter ma pierre à l’édification de l’unité nationale dans la diversité». Amadou Thiao : «J’étais le président du MPR à Léré. Je suis aujourd’hui libre de tout engagement politique après une alliance avec l’URD. Aujourd’hui, j’adhère volontairement et consciemment au parti SADI». Souleymane Ag Nadroune : «Je suis né libre. J’ai la conscience tranquille alors j’ai voulu pour la première fois de ma carrière politique me donner âme et corps à un combat politique qui vaille la peine d’être mené. Pour cela j’ai décidé de rejoindre le parti Sadi, grand parti politique malien des Hommes libres et indépendants». Moussa Diarra : «Je n’étais ni militant ni leader d’un parti politique, mais le parti Sadi a attiré mon attention, raison pour laquelle je débute ma carrière de militant politique avec le parti Sadi». Moussa Touré : «Moi, j’étais au RPM, mais j’ai démissionné. J’y étais parce que je n’avais pas encore compris le sens de la lutte du parti Sadi. Mais aujourd’hui, avec tout ce que nous avons vu et entendu, j’avoue que dorénavant, je suis militant Sadi sans arrière-pensée». Bata Dicko : «Je n’avais jamais adhéré à un parti politique, mais aujourd’hui j’adhère solennellement au parti Sadi, pour son combat au service des pauvres au Mali. C’est le vrai parti politique qui se dédie à la défense des intérêts des Maliens. Et, j’estime que ma place c’est dans un tel parti». Fatata Oularey : «J’étais militante du parti Adéma. Mieux, j’étais la présidente des femmes du parti de l’abeille à Léré. J’ai démissionné pour des raisons personnelles et aujourd’hui, je déclare, ici à Ségou, mon adhésion au parti Sadi». Ibrahim Ag Alhanty : «J’étais à l’Adéma, mais j’ai démissionné pour opter pour le parti Sadi car c’est ma conviction personnelle». Abdou Ag Ibrahim : «Précédemment secrétaire général de la Section des jeunes de l’Adéma de la fraction Chattabela II, je déclare aujourd’hui que je ne suis plus à l’Adéma ? J’ai trouvé le parti de mes convictions et je vous informe de mon adhésion au parti Sadi».

En somme, ces leaders communautaires et élus des communes de Tombouctou ont choisi de venir dans le parti Sadi à cause du combat que ce parti mène avec son président Dr. Oumar Mariko, pour le bonheur des populations maliennes, surtout celles qui sont brimées et humiliées chaque jour que Dieu fait dans leur propre pays par ceux qu’ils ont choisi de les gouverner.

En plus de ces adhésions, c’est le lieu de dire qu’en octobre 2015, le parti Sadi projette l’organisation d’une grande rencontre à Tombouctou pour enregistrer l’arrivée officielle de 18 élus de grands calibres et leaders communautaires. Et, pour qui connaît le mode de fonctionnement des électeurs au nord du Mali, il n’y a aucun doute, le parti Sadi est parti pour prendre attache dans les villages et fractions de Tombouctou.

Assane Koné

 

Voici la liste des nouveaux militants du parti SADI à Banikane, le village de Soumaïla Cissé, chef de fille de l’Opposition

  • Seydou Touré, précédemment président de la Commission de soutien à Dr Oumar Mariko à Banikane, est désormais militant SADI et sera probablement le fer de lance de l’implantation de SADI dans cette localité.
  • Youssouf Cissé, Enseignant Généraliste à Banikane a quitté le RPDM pour rejoindre le parti SADI
  • BOUREIMA Yattara, conseiller ADEMA PASJ, a quitté l’ADEMA pour rejoindre le parti SADI
  • Yéhia TOURE, Conseiller ADEMA PASJ a démissionné de son parti pour rejoindre le SADI

La rencontre de Ségou a aussi enregistré la participation d’une forte délégation de nos compatriotes réfugiés dans le camp de M’berra en Mauritanie. Ils ont été désignés par leurs compatriotes à M’bera pour venir dire tous leurs soutiens aux leaders du parti SADI et leur volonté de rejoindre leurs rangs.

  • Mohamed Salem Jiddahlou Baby, conseiller communal de Léré, a démissionné de l’URD, pour rejoindre les rangs du parti SADI.
  • Mohamed Ould Najim, comptable à Léré, a décidé de regagner les rangs de SADI
  • Ely Ould Mohamed, conseiller communal à Léré. Il démissionne de l’ADEMA pour le SADI.
  • Yéhia Ould Ahmed, conseil de cercle de Tombouctou quitte l’US-RDA pour le SADI
  • Litni Dicko, Personne ressource de la commune de Léré démissionne de l’URD pour le SADI
  • Ibrahim AG intimoulou, 1er Conseiller au Chef Fraction de Toroma, démissionne de l’URD pour le SADI.
  • Attaye AG Aghaly de la Fraction de Toroma, démissionne de l’URD pour le SADI
  • Sidy Mohamed Ould Abdallahi de la Fraction Oulad Driss, démissionne de l’URD pour le SADI
  • Alla Ag Mohamed Alu, revendique désormais les couleurs du parti SADI

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5 COMMENTAIRES

  1. Cher Docteur,pourrez -vous nous exposer de facon magistrale la strategie et la vision de votre parti.

  2. Bravo le parti SADI et DR, Oumar Mariko vous êtes courageux et un grand patriote vous êtes le seul à dire la vérité à ATT

  3. Qu’il nous foute la pas.Le pays est entain de sombrer et il nous parle de sadi ou je sait quelle malediction.

  4. Bravo le SADIque !! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
    Où étaient ces braves gens quand ce parti joignait ses capacités de nuisance à celles d’une junte maudite pour laquelle (on l’a vu) le Nord était le dernier des soucis ?
    Où étaient-ils quand ce parti et celui de IBK manifestaient pour empêcher le conseil de Ministre de se tenir pendant que KONNA était sur le point de tomber ?
    Quelle est à leurs yeux la ligne de ce parti quand on sait qu’il est à la fois de la majorité et de l’opposition ? 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

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