Il y a juste quelque temps, on s’acharnait sur lui : traduire en justice pour haute trahison, mettre en prison et saisir je ne sais quoi, etc. Le langage a changé et on tente même de louer ses qualités. C’est pour se refaire une santé en matière de popularité ou de faire un coup de pub. Deux scénarios se dessinent, en cas de perte de pouvoir en 2018. Ce qui est évident, on ne sait pas ce qui nous attend et donc, il faut renoncer à un jugement d’un prédécesseur. Ensuite, en panne de popularité, il faut remonter sa cote en faisant appel à Amadou Toumani Touré pour noyer le poisson dans l’eau et se refaire une image.
« Je suis reconnaissant à mon jeune frère Amadou Toumani Touré dit ATT et ex président de la République du Mali pour avoir initié la Journée du paysan. Beaucoup de choses se disent dans nos relations, mais je sais qu’il n’y a rien d’intrigue, ni de méchant. Merci pour l’instauration d’une journée agricole au Mali. ATT, à très bientôt ! ».
« Je n’ai aucun problème avec ATT. On se verra bientôt. Je n’ai pas fait partir ATT, je ne le bloque pas à Dakar non plus. Je sais qu’il m’entend, je le remercie d’avoir initié la Journée paysanne au Mali. C’est à son actif ».
Mais qui est dupe ? A l’ancien président de savoir faire dans ces genres de situation et à IBK de voir clair, car 77% ont voté pour lui afin de changer un système et il laisse ces populations sur leurs faim en faisant appel encore à celui qui aurait été la cause des malheurs des maliens. IBK change en fonction de la situation et ce qui est dommage pour quelqu’un qu’on croyait ferme, véridique et imperturbable. Wait and see !
Dia
Source : L’intelligent
Cela ne suffira pas!!!
Il y’a rien n’a dire ton article est impeccable, n’écoute pas la bande de clochards, qui essaie de distraire les gens. Qui sont en cours d’argument. Et animé par la haine.
Ces éloges à ATT, c’est bien. Mais, qu’attend t-il, lui IBK, pour poser des actes similaires? Il n’a rien inauguré depuis 3 ans qu’il est là. Et puis, pour inaugurer, il faut avoir commencé. Quand va t-il poser la première pierre d’un de ses projets. Ce Monsieur, par son insouciance et son laxisme a plombé les négociations. Personne ne sait, à quelle date les négociations vont reprendre. Les rebelles n’en foutent. Aux frais de la princesse, Ils sont logés dans les hôtels, bénéficient de l’essence et des primes à leur guise. Même ceux d’entre eux, qui ont une maison à Bamako, l’ont abandonné au profit de l’hôtel où la bière et le whisky coulent à flot. Les versements de leurs primes se poursuivent, même lorsqu’ils font une virée à Kidal. Ils s’en foutent, comme s’en foutent les autorités gouvernementales. C’est la même insouciance, même prétention à l’enrichissement par tous les moyens, et ce sont les Maliens qui trinquent. Ceux qui critiquent l’opposition, savent-ils seulement de quoi ils parlent? Que peut proposer l’opposition, si elle n’a pas droit à la parole. Elle n’est pas conviée à la table de négociations. Dans quel pays au monde, vous avez vu, une opposition qui n’est pas partie prenante, lorsqu’il s’agit des intérêts bien compris de la nation? C’est du jamais vu, y’a qu’au Mali que cela se passe et personne ne dit rien. Au contraire, elle se fait insulter par les mercenaires du cyber au service du MPR.
Ce journaliste est un carrent il est limite son texte est bourre de faute du début a la fin. C’est vraiment la honte. Il prendre le temps de relire son texte avant publication. Nous qui sommes a l’extérieur on a souvent honte de ces genres de journalistes qui ternissent l’image de toute la profession. Ce monsieur est sorti de quelle école pour venir pendre la plume. N’importe qui ne peut devenir journaliste. A bon entendeur salut.
vraiment, c’est dans le désert que le poisson se noie.
On a l’impression que le journaliste Malien ne se relis pas.
Avec internet on ne s’adresse pas qu’aux Maliens.
vraiment, c’est dans le désert que le poisson se noie.
On l’impression que le journaliste Malien ne se relis pas.
Avec internet on ne s’adresse pas qu’aux Maliens.
Dia, merci pour l’intelligence, nous ne sommes pas fous au Mali, nous savons assez de choses et nous savons surtout que l’on ne noie pas le poisson dans l’eau.
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