A croire que c’est le même Sanogo qui reprochait à ATT après son coup de force d’avoir favorisé des amis ! Mieux le capitaine devenu général était un président de la république bis, mieux gardé que le premier magistrat et chef suprême des armées, IBK. En effet, il ne s’était pas débarrassé de sa veste de « président » putschiste.
Cette promotion d’une personnalité, en réalité, encombrant a suscité le courroux de certains de ses camarades superbement ignorés. D’où leur ire, avec comme corollaire : l’embrasement de Kati, la ville garnison.
Si IBK est monté sur le ring en exhibant ses muscles et en mettant hors d’état de nuire les mutins d’un jour, il n’en demeure pas moins que des zones d’ombres subsistent car un doigt accusateur est pointé sur des personnes soupçonnées d’être les auteurs des assassinats planifiés. Le Mali est-il devenu une république bananière où un homme est un loup pour un autre homme ? Pourquoi autant de méchanceté gratuite à l’égard de son prochain ?
Ce qui suscite, aujourd’hui, des interrogations, c’est que des anti-Sanogo sont aux arrêts au moment où les partisans de « ce don de Dieu » jubilent et sur lesquels pèsent des présomptions de culpabilité. IBK est interpellé sur cette question, lui qui a déclaré que « Kati ne fait plus peur… »
Issiaka Sidibé
tellement vous racontez des ragots ca donne mm pas envi de lire vos info
MON FRERE JOURNALIST,
LE JOURNAL C POUR DONNE LES NOUVELLE ET LES EVENEMENT ET PAS POUR LA NARATION ET PARLE DES CHOSE UNITILE.
si l’information relayée par presse ce matin est vraie, deal de sécurité et général à 4 étoiles, entre dioncounda et sanogo, c’est une honte.
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